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EAN : 9782070466771
224 pages
Gallimard (10/03/2016)
  Existe en édition audio
3.87/5   1449 notes
Résumé :
«Il y a deux siècles, des mecs rêvaient d’autre chose que du haut-débit. Ils étaient prêts à mourir pour voir scintiller les bulbes de Moscou.»

Tout commence en 2012 : Sylvain Tesson décide de commémorer à sa façon le bicentenaire de la retraite de Russie. Refaire avec ses amis le périple de la Grande Armée, en side-car! De Moscou aux Invalides, plus de quatre mille kilomètres d'aventures attendent ces grognards contemporains.

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Critiques, Analyses et Avis (221) Voir plus Ajouter une critique
3,87

sur 1449 notes
Avec Sylvain Tesson, chez moi, c'est haine et passion.

Il a, d'abord une fâcheuse tendance à m'énerver de par son orgueil, sa façon de balancer son savoir littéraire, ses leçons de géographie et d'histoire (qui ne nous apprennent rien de plus que d'autres manuels), et son faux côté cool dans les moments difficiles.

Et, j'oubliais ses aphorismes à deux balles qui nous sont envoyés, certainement pendant une intraveineuse de vodka.

Et puis, il y a cet autre côté du personnage de Tesson, qui m'aimante et qui me pousse à l'admiration. C'est un type "no limit", un électron libre, un casse cou, un forcené aux pieds d'argile; un peu comme le pays qu'il arpente depuis des années : la Russie.
Pour Tesson, tout est à explorer chez ce voisin Slave, et le territoire et l'âme. Il est un amoureux indéfectible de cet Empire qui a vu naître Tolstoï et Dostoïevski.Il baigne, là bas dans une Vodka de bonheur, quitte à s'y noyer. Parce que Monsieur Tesson veut toujours explorer cette Russie, jusqu'à la mort s'il le faut. C'est un suicidaire qui n'a de comptes à rendre à personne.

Entre cette haine et cette passion que je rumine, j'ai donc attaqué ce énième récit de cette figure de proue de la littérature voyageuse française. Je m'y suis engouffré :
- pour suivre l'épopée Napoléonienne en Russie?
- pour suivre les nouvelles aventures de ce post-adolescent, fils à papa de Tesson?
- pour vivre jalousement son périple que je ne serais pas en mesure de faire?
...
Le livre, je l'ai fermé avec les mêmes questions qu'avant. J'ai envie de débiner ce géographe (comme moi), comme j'ai envie de l'encenser. Je n'arrive plus à prendre du recul.
Mais, c'est sûr, son prochain livre, je le lirai.
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Il y a ceux qui reconstituent les batailles de l'Empereur avec des soldats de plomb. Et puis il y a Sylvain Tesson qui à bord d'une Oural, aux mêmes dates, nous fait suivre la route empruntée par la grande armée.
L'auteur nous emmène sur son side-car et nous fait découvrir à l'aide de nombreux documents, le trajet suivi pour revenir en France, la description des lieux et les réflexions qu'imposent le retour sur ces hauts lieux chargés d'histoire sont émouvants, tant de détresse, de souffrances humaines et animales. Sylvain Tesson cherche d'une certaine façon des raisons pour cette guerre, ces hommes qui suivaient l'Empereur de campagnes en campagnes. A la page 203, il nous dit : " L'Empereur avait réussi une entreprise de propagande exceptionnelle. Il avait imposé son rêve par le verbe. Sa vision s'était incarnée. La France,l'Empire et lui-même étaient devenus l'objet d'un désir, d'un fantasme. Il avait réussi à étourdir les hommes, à les enthousiasmer, puis à les associer tous à son projet : du plus modeste des conscrits au mieux né des aristocrates." Les français avaient fait un rêve qui s'achevait avec la Bérézina.
C'est un livre que j'ai énormément apprécié pour les connaissances qu'il m'a apporté et puis qui n'aurait pas envie de faire la route sur une Oural cheveux aux vents sur les traces de l'auteur. Je me dois aussi de remercier Nadiouchka, une e amie, sans ses critiques de Sylvain Tesson, je n'aurais peut-être pas rencontré cet auteur auquel je laisse le mot de la fin :
"Qui était Napoléon ? Un rêveur éveillé qui avait cru que la vie ne suffisait pas. Qu'était l'histoire ? Un rêve effacé, d'aucune utilité pour notre présent trop petit."
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C'est après avoir déposé ce livre chez son éditeur que Sylvain Tesson a eu son accident stupide dont il est miraculeusement ressorti mais non sans séquelles. C'est avec impatience que j'attends ses écrits de l'après car je pense que cet accident l'aura mûri. J'entame la lecture de Berezina, bérézina, une expression commune mais j'avoue connaître moins les faits historiques qui en ont fait un nom commun tout en n'ignorant pas cette guerre menée par Napoléon en Russie. Une chose qui m'a étonnée est qu'il n'ait fallu que treize jours pour couvrir la distance de Moscou à Paris. Sylvain Tesson, Goisque, Gras et deux Russes embarquent à bord de side-cars Oural, marque Russe, et entreprennent plus ou moins le même itinéraire qu'a suivi Napoléon deux cents ans plus tôt, Napoléon en décembre 1812 et l'équipe de Sylvain Tesson en décembre 2012. Un voyage éprouvant, il neige et les températures sont négatives tout comme deux cent ans auparavant à la différence que Sylvain et ses amis ont le gîte assuré tous les soirs, la chaleur d'un lit et la vodka pour déconner entre amis. Les narrations de l'époque Napoléonienne et le présent se suivent dans un même chapitre, ceux-ci étant titrés suivant les énièmes jours du voyage. de la campagne Napoléonienne, les faits que racontent Sylvain Tesson sont crus, la réalité dépasse l'imagination, il faut avoir le coeur bien accroché mais toutes les guerres sont cruelles et la cruauté est le propre de l'homme.
J'ai apprécié Berezina comme tous les livres que j'ai lu de Sylvain Tesson ; en attente du suivant.
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Sylvain Tesson, grand voyageur amateur de vodka et russophile de longue date, a choisi, pour son nouveau périple, de nous conduire à bord de son side-car, une Oural, sur les traces de Napoléon Bonaparte et de la Grande Armée au moment où celle-ci, après s'être trop enfoncée dans les terres russes, se voit contrainte de rebrousser chemin face à un ennemi absent, une terre hostile et un froid de plus en plus mordant.

C'est accompagné de Julien Gras, autre voyageur de renom, du photographe Thomas Goisque et de deux compères russes, que l'expédition se met en route au départ de Moscou, direction Paris, réalisant en deux semaines un trajet que l'Empereur et son Armée auront mis deux mois à faire.

Au fil de son périple, Sylvain Tesson nous replonge en pleine campagne napoléonienne, faisant sans cesse des sauts entre 2012 et 1812, raccordant ainsi les étapes de son parcours à la grande Histoire et agrémentant celle-ci d'anecdotes et d'explications pour le moins intéressantes. Malheureusement, si toute la partie sur Napoléon, ses troupes et la débâcle m'a véritablement passionnée (mes connaissances en histoire étant plutôt limitées…), je dois dire que je n'ai pas ressenti le même intérêt pour le voyage de l'auteur…

Je trouvais pourtant l'idée de départ géniale et l'aventure tout à fait exaltante, mais la façon dont Sylvain Tesson se met en scène et la répétition de ses mésaventures ont fini par me lasser. On a finalement assez peu d'informations sur le visage, 200 ans après, des pays qu'il traverse et sur les rencontres qu'il va faire. Ce sont elles aussi qui rendent le récit de voyage vivant et enrichissant, or je trouve qu'elles manquent au texte… le style, cependant, est encore une fois très littéraire, travaillé et agréable à lire. L'humour, un brin grinçant, reste également très présent et permet d'alléger la lecture.

Finalement, le mélange récit de voyage/ récit historique s'avère un peu décevant car difficile à doser, mais, point positif, « Berezina » me donne envie de combler mes lacunes et de me plonger dans un ouvrage entièrement consacré à Napoléon !


Challenge Variétés : Un livre qui ne soit pas de la fiction
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La relation entre signifiant et signifié fait naître des locutions cocasses. Par exemple ce « motocyclette à panier adjacent » a un côté pratique et descriptif, à la limite du mignon. Je vois déjà une vieille mémé au guidon de sa mopette, fichu sur la tête, se rendant au marché; le « panier adjacent » ne serait pas autre chose que son panier de courses accroché à l'épaule. La définition réelle de cette locution est bien différente puisqu'il s'agit d'un rutilant side-car prêt à avaler les kilomètres de bitume pour le plaisir de deux personnes, l'une étant aux commandes tandis que l'autre à la place du mort – dans le panier.

C'est ainsi que Sylvain Tesson a relié Moscou à Paris en motocyclette à panier adjacent en empruntant le même chemin que pris Napoléon lors de sa Retraite de Russie en 1812. Cela donne le livre Berezina. Analyse.

Le titre du livre est bien évidemment celui de la bataille épique qui opposa l'empire français au russe sur les rives de la rivière Berezina. La débâcle qui suivi est entrée dans le jargon populaire. C'est la Berezina! Qui d'autre que Sylvain Tesson pour nous conter cette histoire à cheval sur la culture russe et française. Ce dandy franchouillard. Cet amoureux de l'âme slave. Ce casse-cou un brin réactionnaire jamais à court d'aphorismes:

« En Russie, l'art du toast a permis de s'épargner la psychanalyse. Quand on peut vider son sac en public, on n'a pas besoin de consulter un freudien mutique, allongé sur un divan. »

Au niveau purement historique, l'auteur français nous apprend qu'une des raisons clés, qui a transformé cette Retraite de Russie en débandade, est le mépris avec lequel Napoléon traitait la météorologie, croyant plus en sa destinée qu'aux lois rugueuses de l'hiver. Il avait beau être un fin stratège, c'est finalement une trop haute estime de lui-même qui entraînera sa chute.

Sylvain Tesson, en coupant le moteur de son side-car Oural dans des endroits stratégiques de l'ancien bloc de l'Est rend non seulement hommage à Napoléon et Koutouzof, ainsi qu'aux centaines de milliers d'hommes morts sur les champs de bataille mais aussi au nombre incalculable de chevaux morts, dépecés, mangés, dont la peau a été utilisée comme vêtements de secours. Ainsi la peinture de Bernard-Edouard Swebach, sobrement intitulée Retraite de Russie, donne une représentation de l'atmosphère générale même si elle ne va pas aussi loin que Tesson dans la description de cette boucherie équine:

« Ils furent les grands martyrs de la Retraite. On les creva sous les charges, on les écorcha vifs, on les bouffa tout crus, à même la carcasse ou bien en quartiers, braisés au bout d'un sabre. Pour les bâfrer, on ne prenait pas l'égard de se détourner des bêtes encore vivantes. »

Au delà de nous conter certaines facettes de l'Histoire, Sylvain Tesson nous livre le récit de son voyage sur les routes de l'Europe de l'Est où il se gèle les miches toute la journée sur son side-car en compagnie d'une poignée d'acolytes eux aussi motorisés. Cela se termine chaque soir, dans un bistro paumé où la joyeuse bande d'adolescents se verse des rasades de vodka jusqu'à plus soif comme dans un film d'Andreï Zviaguintsev. Cela refait le monde à chaque toast, cela se chamaille comme une bande de bons potes et ça décuve, le lendemain, sur les routes de l'Europe de l'Est en espérant que les motocyclettes à panier adjacent ne tombent pas en panne jusqu'à la prochaine étape.

Avec Berezina, Sylvain Tesson nous plonge avec brio dans les détails de cette désastreuse Retraite de Russie où s'est joué le début de la fin pour Napoléon. Grâce à ses digressions personnelles sur le paysage et la géographie de ces mille-quatre-cents kilomètres, l'auteur français (géographe de formation si je ne m'abuse) a réussi à me donner envie d'en savoir plus, non seulement sur ce pan de l'Histoire napoléonienne mais aussi sur ces pays que sont la Biélorussie et la Pologne.
Lien : https://lespetitesanalyses.c..
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critiques presse (13)
Liberation
07 juillet 2015
Le dernier livre de Tesson est probablement le meilleur et pour plusieurs raisons qui ne méritent que peu de discussion.
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Chro
17 mars 2015
Par son rythme, son allant, son élégante désinvolture, son sens aigu de la formule, Tesson, littérairement, rappelle les Hussards, tout en évoquant les Grognards.
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Lexpress
18 février 2015
Ce qui me retient d'être pleinement embarquée dans son épopée historique, c'est le sentiment de dénaturation de son oeuvre depuis la médiatisation du personnage Tesson. Sa plume est parfois condescendante et prodigue un peu trop de préceptes de vie.
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Lexpress
16 février 2015
Berezina est un récit d'aventure atypique car sans se vouloir historien, Sylvain Tesson nous livre une vision profondément humaine de cette retraite de Russie. [...] Les deux épopées n'ont rien de comparable et le périple de cinq motards n'est pas un objet de fascination en soi mais il a le mérite de nous aider à mieux comprendre ce qui a fait la grandeur de cette armée napoléonienne.
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Lexpress
10 février 2015
Je n'ai trouvé aucun intérêt au récit de voyage, qui m'a semblé sans consistance, sans surprise, un peu sans vie. Ce qui ne m'a pas aidé non plus, ce fut ma difficulté à lire certains passages, pas très bien écrits, comme si des idées avaient été jetées sur le papier, à la va-vite, juste avant de remonter dans le side-car, sans être retravaillées.
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Lexpress
10 février 2015
L'ensemble demeure austère, malgré l'humour de Tesson et de sa bande de potes. Ce qui est bluffant, en revanche, c'est une écriture "à la dynamite", tellement puissante, qui prend le lecteur à la gorge lorsqu'est évoqué le calvaire des hommes, mais aussi celui des animaux, victimes et oubliés de l'Histoire.
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Lexpress
09 février 2015
Ce n'est pas Kerouac, juste "un pont de singe par-dessus le temps". Peut-être même un manuel de survie au travers de deux siècles de décombres pour nous mener, justement, là où nous sommes tombés. Peut-être.
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Lexpress
06 février 2015
Un roman - ou plutôt un essai original - puisque l'auteur, écrivain voyageur, s'embarque dans un side car pour revivre deux siècles plus tard la retraite napoléonienne de Russie de 1812, et nous raconte chronologiquement son périple. La redécouverte des grands maréchaux de l'empire comme Caulaincourt et Ney mais également des références constantes à Guerre et Paix de Tolstoï dans lequel le lecteur a envie de se replonger.
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Lexpress
06 février 2015
J'ai envie de débiner ce géographe comme j'ai envie de l'encenser. Non dénué d'humour, on a trop souvent la sensation d'une virée entre copains, enlevant toute solennité et émotion à ce périple. Bérézina est moins travaillé que ses précédents livres.
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Lexpress
05 février 2015
Non que ce récit - emblématique du travel writing mais certainement pas d'une oeuvre littéraire, il faudrait arrêter de confondre - ne soit pas distrayant, drôle et bien écrit, il l'est. Mais son intérêt ne va pas beaucoup plus loin, à moins d'éprouver pour Napoléon une passion éhontée, coupable et vertigineuse.
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Lexpress
05 février 2015
Instructive, rondement menée, une lecture qui interroge également l'honneur, la gloire ou la patrie. Fort utile par les temps qui courent.
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Lexpress
04 février 2015
Berezina est un livre remarquable. Parce que face à la rudesse des éléments, aux froids charniers des mornes plaines qu'exhume, kilomètre après kilomètre, le périple de l'auteur et de ses compagnons de route, il y a le dépassement de soi qu'incarne à merveille Sylvain Tesson.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Lexpress
29 janvier 2015
La juxtaposition des histoires est brillante. Riche et instructive. Sylvain Tesson livre avec brio et pas mal d'humour le retour de Bonaparte aux Invalides. A mettre dans les mains de tous les grands voyageurs...
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Citations et extraits (364) Voir plus Ajouter une citation
Nous voulions bien combattre, mais pour le salut de nos paliers d'appartement. Nous n'aurions plus surenchéri d'enthousiasme à l'idée de nous sacrifier pour une idée abstraite, supérieure à nous-mêmes, pour un intérêt collectif et -pire- pour l'amour d'un chef.
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Un haut lieu, dit-il, c'est un arpent de géographie fécondé par les larmes de l'Histoire, un morceau de territoire sacralisé par une geste, maudit par une tragédie, un terrain qui, par delà les siècles, continue d'irradier l'écho des souffrances tues ou des gloires passées. C 'est un paysage béni par les larmes et le sang.
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La France, petit paradis peuplé de gens qui se pensent en enfer, administrés par des pères-la-vertu occupés à brider les habitants du parc humain, ne convenait plus à son besoin de liberté.
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Avec les Français, il faut, comme avec les femmes, ne pas faire de trop longues absences.
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Des congères flanquaient les trottoirs. Il y avait certainement des cadavres d'ivrognes sous la neige. Au printemps ils réapparaient. En Russie, on les appelait "les perce-neige", ils annonçaient les beaux jours avec autant de fiabilité que les oiseaux migrateurs.
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Vidéo de Sylvain Tesson
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
Invité : Sylvain Tesson
Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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