Ce qui frappe en lisant ce recueil c'est le côté «gore», sanglant. La réapparition des personnages d'un conte à l'autre se fait sans trop de cohérence. Un personnage que l'on croyait mort revient comme si de rien n'était, mais on ne s'en choque pas réellement (enfin, pour ma part). La majorité des contes sont situés dans un même hameau. Hameau qui semble construit sur la bestialité et la folie. Une expression brute d'une violence effarante, violence qui vient des profondeurs de l'homme et non d'une forme démoniaque comme cela se voit dans les contes populaires québécois.
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