Un frère de trop

Ce roman n'est absolument pas un thriller contrairement à ce que j'ai pu lire dans plusieurs commentaires y compris en première de couverture.
Pas davantage un policier.
C'est juste le récit de secrets familiaux dans une famille richissime à Nice.

Ecriture fluide certes mais le style est simpliste, sans compter les trop nombreuses répétitions sur la ville de Nice, l'arrière pays, les plages, les restos, son Negresco. Au fil des pages, c'est vraiment lassant, et j'avais l'impression de lire un guide touristique.
(Je n'en ai guère besoin en plus, étant de la région)

C'est dommage car en lisant la 4ème de couverture, je m'attendais à une histoire captivante, addictive, mais ce ne fût pas le cas.

Bref, un roman à lire si vous voulez passer un petit moment de détente sans aucune prise de tête.

Une lecture facile sans gros suspense ni triturage intellectuel. Je regrette le style un peu empoulé et les trop nombreux clichés.
Disons que c'est un bon roman de plage ou de train !

Je découvre Sébastien Theveny avec cette histoire mais je n'ai pas été totalement séduite. J'ai apprécié le duo de journalistes sympathiques mais l'histoire reste malheureusement sans surprise. J'ai compris l'issue de l'intrigue très rapidement. J'ai quand même été jusqu'au bout pensant qu'il y aurait peut-être des rebondissements auxquels je ne m'attendais pas mais ce ne fut pas le cas. Dommage !
Peut-être retenterai-je le coup avec le prochain polar dans lequel les 2 protagonistes se retrouvent mais ce ne sera pas dans l'immédiat. J'espère pouvoir mettre une étoile de plus au moins au suivant.

Je ne comprends pas la note si haute.
La lourdeur du texte, dialogue parfois complètement "nunuche" voir niais, les personnages peu travaillés et stéréotypés (et compte tenu du dénouement, la réaction de Édouard par exemple est incohérente avec le caractère donné), sans compter tous les clichés que le livre comporte.
Des phrases hors contexte ou au contraire bien lourdingues sont placées, juste histoire de mettre un "joli" mot.
Le point positif, c'est que malgré tout c'est un page turner, même si on devine très vite le dénouement de l'intrigue.
J'ai été déçu, mieux vaut vous tourner vers le livre, mon voisin que j'ai adoré.

Charles Lacassagne est un ponte de l'immobilier de la région niçoise. Il a quatre vingt ans et souhaite laisser une trace de sa vie. C'est ainsi que le journaliste Jérôme Bastaro arrive sur la Côte d'Azur, envoyé par son patron pour signer un contrat avec ce chef de clan afin de lui écrire ses mémoires, en somme, être « son nègre ».
Monsieur Lacassagne est marié, il a eu quatre enfants. Trente ans auparavant l'aîné est décédé tragiquement lors d'une sortie en mer avec son frère et sa soeur et la dernière est trisomique.
Le récit évolue entre 1986 et 2016. Écrire les mémoires de quelqu'un n'est pas chose aisée, la vie d'un homme n'est jamais lisse. Bien vite Jérôme Bastaro, secondé par une étudiante en journalisme, va vite comprendre qu'il y a bien des secrets et des mensonges qui jalonnent la vie de cette famille malgré l'apparente réussite. de l'écriture des mémoires de cet homme devient finalement une enquête sur les secrets de famille.

L'histoire est assez bien ficelée c'est vrai. Même si j'ai trouvé que c'était parfois un peu trop facile. L'écriture est plate, pleine de clichés. de plus, quand un auteur décide de situer une histoire dans une région, il est souhaitable qu'il se renseigne bien. Gorbio, le village où il situe la villa de la famille n'est pas dans l'arrière Pays niçois mais mentonnais. pour qui connaît la région cela fait une réelle différence.
Vous l'avez compris, ce livre ne m'a pas emballée. Mais je remercie toutefois Babelio et les Éditions Michel Laffon qui m'ont donné l'opportunité de le lire.