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Critique de kikenbook
Qu'on se le dise une bonne fois pour toute, l'adage qui proclame que "plus c'est long, plus c'est bon", n'est valable que pour les tartines de Nutella et encore, mon diététicien n'est pas d'accord, mais bon, celui-là il fait rien qu'à me vouloir du mal !
Pour les romans, idem, la valeur n'attend pas le nombre de pages imprimés. Preuves en sont les 12 nouvelles de Franck Thilliez réunis par Pocket. Quand certains romanciers aiment étirer leurs histoires en longueur au risque de faire claquer la patience de leurs lecteurs, Thilliez a, dans ses nouvelles, choisi de faire court et bon. Comme quoi, ça n'a pas besoin de durer des plombes pour être très satisfaisant, voire carrément jouissif.
Je ne résumerai pas chacune des 12 nouvelles, ce serait trop long et JE TE REPETE QUE NON, C'EST PAS PARCE QUE C'EST LONQ QUE… Bref, tu m'as compris. On retrouve Thilliez et ce qui fait son talent dans chaque page de ces nouvelles, dans chaque histoire. Si un point commun devait se dégager de la majorité d'entre elles, ce serait le jeu permanent entre réalité et imagination. Sans cesse, l'auteur prend un malin plaisir à mettre ses personnages dans des situations où le lecteur et eux ne savent plus que croire, s'imaginent le mal, fantasment l'horrible, reviennent à la réalité et vivent le pire. Lire ce recueil de nouvelles, c'était un peu comme déguster une douzaine d'épisodes de la Quatrième Dimension : si la recette de chaque fiction est originale et se réalise dans des moules tous différents qui vont du quotidien le plus réaliste à la SF d'anticipation, on reste avec un goût prononcé de sciences, d'énigmes et de machination et un arrière-goût assez récurrent de thèmes environnementaux, terriblement d'actualité.
Bref, ce recueil c'est une assiette de petits gâteaux qu'on grignote avec grand plaisir… comme de délicieux petits amuse-gueules qu'on savoure en attendant le vrai bon gros repas que le chef prépare dans le secret de son labo. du moins c'est ce qu'on espère.
Pour les romans, idem, la valeur n'attend pas le nombre de pages imprimés. Preuves en sont les 12 nouvelles de Franck Thilliez réunis par Pocket. Quand certains romanciers aiment étirer leurs histoires en longueur au risque de faire claquer la patience de leurs lecteurs, Thilliez a, dans ses nouvelles, choisi de faire court et bon. Comme quoi, ça n'a pas besoin de durer des plombes pour être très satisfaisant, voire carrément jouissif.
Je ne résumerai pas chacune des 12 nouvelles, ce serait trop long et JE TE REPETE QUE NON, C'EST PAS PARCE QUE C'EST LONQ QUE… Bref, tu m'as compris. On retrouve Thilliez et ce qui fait son talent dans chaque page de ces nouvelles, dans chaque histoire. Si un point commun devait se dégager de la majorité d'entre elles, ce serait le jeu permanent entre réalité et imagination. Sans cesse, l'auteur prend un malin plaisir à mettre ses personnages dans des situations où le lecteur et eux ne savent plus que croire, s'imaginent le mal, fantasment l'horrible, reviennent à la réalité et vivent le pire. Lire ce recueil de nouvelles, c'était un peu comme déguster une douzaine d'épisodes de la Quatrième Dimension : si la recette de chaque fiction est originale et se réalise dans des moules tous différents qui vont du quotidien le plus réaliste à la SF d'anticipation, on reste avec un goût prononcé de sciences, d'énigmes et de machination et un arrière-goût assez récurrent de thèmes environnementaux, terriblement d'actualité.
Bref, ce recueil c'est une assiette de petits gâteaux qu'on grignote avec grand plaisir… comme de délicieux petits amuse-gueules qu'on savoure en attendant le vrai bon gros repas que le chef prépare dans le secret de son labo. du moins c'est ce qu'on espère.
