Labyrinthes

Bravo à vous tous qui avez aimé ce livre : vous êtes sortis du labyrinthe, vous avez vu le soleil et ne vous êtes pas brûlés les ailes.
Quant à moi, je me suis tout d'abord complètement perdu pour trouver la "crête" me permettant d'avoir accés à l'entrée de ce foutu labyrinthe.
J'ai pourtant lu les deux premiers tomes de cette trilogie mais j'ai perdu le fil à la dixième page du premier roman !.
J'ai donc entamé ce troisième opus complètement épuisé en arrivant enfin à l'entrée de ce foutu labyrinthe.
J'espérais trouver Ariane pour m'aider mais non, seul mon courroux m'a permis de terminer ce thriller.
Au fil des pages je rencontre une recette expliquant tous les ingrédients pour faire un bon thriller en 2023 ; séquestration à la Kampusch, tueur en série, amnésie, , jumeaux, femmes fortes et complexes, hommes bêtes et méchants et j'en passe. J'ai pris à droite, quel idiot, j'aurais dû comprendre qu'il fallait prendre à gauche toute !
J'ai dû prendre plusieurs jours de RTT pour trouver la sortie et là, j'ai trouvé un vrai labyrinthe dessiné ; 30 secondes pour le résoudre. Et alors, et alors, pourquoi tout çà, quelle prise de tête pour savoir qui a tué qui !

Monsieur Thilliez, j'ai lu pratiquement tous vos romans : vertiges, la chambre des morts, par exemple, font partie de mes thrillers préférés et je continuerai évidemment à vous lire
Mais, pitié, Monsieur Thilliez, pensez aux personnes veillissantes comme moi qui n'ont plus que deux ou trois neurones, évitez de nous surmener pour nous raconter des banalités que nous avons déjà lues mille fois !

Mais ce n'est que mon humble ressenti

Je suis en colère.
Très en colère.
Je n'ai rien compris à l'histoire, c'est trop touffu, complexe, brouillon.
Il est question du Manuscrit inachevé, l'un des livres de Thilliez, mais comment s'en souvenir avec précision ?!
Il faut le lire d'une traite je pense, sans s'arrêter, tant l'histoire part dans tous les sens.
Et,puis autre chose, ce dernier livre de Thilliez est hyper violent, gore et bien sanglant et malsain.
Moi qui me targuais d'apprécier cet auteur justement pour cette non quasi-violence, j'ai été servi.
Beaucoup de choses ne sont pas expliquées.
Je ne vais pas les relater pour ne pas spoiler l'intrigue, mais bon courage.
Une vraie prise de tête.
Je suis bien d'accord avec une Babelienne qui disait que le fonctionnement était si complexe que l'on appréciait peu ou pas du tout le plaisir de lire.
Non, vraiment, je suis en colère, et bien dépitée.
Dégoutée.

J'ai quasiment lu tous les livres de Franck Thilliez, mais je crois que celui-ci sera le dernier avant une longue période sans cet auteur. J'avais été bluffé par ceux avec Hennebelle et Sharko ensemble, du Manuscrit Inachevé et Il était deux fois, mais là je crois qu'il tourne trop en rond, ou bien c'est moi qui tourne en rond.

On retrouve toujours les mêmes thématiques

Je suis un peu fatigué de cette surenchère de malaise, de gore et de macabre. Autant avant je trouvais les données scientifiques très intéressante, autant là, j'ai juste l'impression de lire des thématiques vu et revu. J'ai trouvé ça même un peu long. Je ne pense pas qu'il était nécessaire de faire une suite à Il était deux fois, laissez des zones de mystère permet de faire travailler notre imagination...

Après cette critique peu enthousiaste, je crois qu'une pause Thilliez s'impose.

Déçue par une histoire qui n'apporte rien au lecteur, du déjà vu, du recyclé ... et dès les premières pages pour peu qu'on soupçonne la fin, on s'ennuie ... le livre enchaîne des scènes déjà vues.... séquestration, jeu d'échecs, labyrinthes, faux souvenirs, perte d'identité.
La seule question originale , à savoir l'art justifie-t-il la cruauté, est elle aussi d'un ennui profond et ne m'a pas du tout intéressée. Pour faire court, un mauvais cru !

Un debut qui révèle beaucoup trop le mécanisme du roman. J'ai tout compris dès le premier chapitre, ce qui ne m'a pas empêché de devorer le livre ^^
Le dénouement m'a donc déçu car j'ai espéré me tromper.
On sent que Thilliez aime beaucoup l'oeuvre de Paul Auster… sans parler de Shutter Island ^^

Twist : Structure narrative dans laquelle une fin inattendue amène le lecteur à voir l'histoire sous un angle différent et le pousse vers une nouvelle interprétation de l'ensemble.

Tout l'intérêt de ce procédé scénaristique réside dans le fait que le lecteur ne s'y attend pas, et se retrouve estomaqué lors de la révélation... A condition que le retournement final soit inattendu et cohérent bien évidemment.

Et sur ce coup la, Franck Thilliez n'a pas été très inspiré !
Tout son livre est basé sur ce renversement de situation, au sein d'une histoire qui galope en permanence telle un fiacre sans cocher avec pour seul objectif que de nous amener là où il avait décidé dès le début.
Ce serait acceptable si le dénouement n'était pas aussi prévisible ... Et pourtant dès la lecture de la quatrième de couverture, tout semble déjà évident.

Une déception pour moi et une question qui me taraude : F. Thilliez n'est il pas en train de se perdre à vouloir courir trop de lièvres a la fois ?
Entre l'écriture de plus d'un roman par an (14 depuis 2011), de scenarios pour la télé ( Alex Hugo, c'est FT), d'adaptations de ses romans en BD, n'est il pas un peu en manque de temps et tenté d'aller au plus court quitte à "bâcler" ses livres ?

Je dois néanmoins concéder être peut être un peu responsable de cette désillusion, n'ayant pas lu
"le manuscrit inachevé " et "il était deux fois" mais rien ne précise que cela est indispensable ou même nécessaire ...

J'ai découvert cet auteur avec "Il était deux fois". J'ai re-tenté l'expérience avec "Labyrinthes" et définitivement je ne suis pas amatrice de ce genre de lecture. Personnellement j'accroche difficilement et cette violence, ce glauque, ces esprits torturés ne m'apportent pas grand chose. Donc, j'ai survolé la dernière moitié et laisse cette littérature aux amateurs de sensations fortes.

bonjour,
je suis globalement déçu par ce livre loin des polars ou thrillers habituels. .
Trop d'invraisemblances, d'explications "savantes" superflues, de complications, de manque de repères, de longueurs, font que j'en ai sauté beaucoup de pages et de descriptions, sans jamais éprouver d'émotion. Les passages gores de cette histoire hors du réel (personne ne fait appel à la police) n'ont pas suffit à me distraire.
On peut aimer, mais je suis trop logique pour y croire.
Lien : https://lucien.berre@orange.fr

A vouloir trop en faire (marque de ses 3 derniers livres), Thilliez nous offre un pudding indigeste mais assez creux au final. Les fausses pistes et les rebondissements sont bidons et previsibles et les liens avec ses précédents bouquins (qu'il faut avoir lu n'en deplaise à certaines critiques) paraissent même tirés par les cheveux. L'auteur tentent ici de boucler sa trilogie Traskman mais rate totalement son coup en mettant en avant un scenario incompréhensible et complètement foutraque à base de persos multiples, jumeaux et troubles de la personnalité (qui, limite, nous prend pour des cons)... Quelques moments intéressants notamment liés au traitement psychologique de Julie, la jeune kidnappée mais au final beaucoup d'enfumage pour pas grand chose. Bref, un mauvais thriller, comme celui pondu par Traskman durant ce bouquin...

Occasionnellement, je pose mon dévolu sur un thriller. "labyrinthes" a croisé ma route .

Je tiens à informer que je n'ai pas lu les 2 opus précédents "le manuscrit inachevé" et "il était une fois" - à vrai dire, c'est en vous partageant cette lecture que j'en prends connaissance - , ni même un autre ouvrage de F.Thilliez.

Mon premier Thilliez, donc. Ô déception !
Dès le premier chapitre, j'en soupçonne l'intrigue. J'ai espéré me tromper ... alors je vais jusqu'au bout pour savoir.

La lecture a une autre saveur quand les rouages vous apparaissent. Loin de m'être égarée dans ce dédale, je me suis sentie petite souris dans l'envers du décor. Et quel décor ! Des murs organiques, un méandre macabre et au détour d'un miroir le minotaure guette.

Un roman qui m'a mis mal à l'aise. L'auteur au détour de son récit questionne : L'art justifie-t-il la cruauté ? La question s'égare. Etait-il nécessaire de déployer une telle machination sinistre et glauque ?

Mauvais choix.