Citations sur Je suis simplement ce que je suis : Lettres à Harrison .. (27)
« Rire souvent et beaucoup ;
Gagner le respect des gens intelligents et l’affection des enfants :
Savoir qu’un être a respiré plus aisément parce que vous avez vécu .
C’ est cela , réussir sa vie » ...
« J’aimerais mieux m’asseoir sur une citrouille et l’avoir à moi seul , qu’être pressé par la foule sur un coussin de velours » ...
Faites ce que vous savez devoir faire. Pourquoi devrions-nous nous mettre en route pour aller demander conseil à un voisin, ne serait-ce qu'en face? Il y a en chacun de nous un voisin plus proche qui nous dit sans cesse comment nous devrions nous comporter. Pourtant nous allons tout de même trouver ce voisin à l'extérieur, qui nous entraînera sur la voie de la facilité et du fourvoiement.
Je suis reconnaissant pour ce que je suis et pour ce que j'ai. Mon action de grâce est perpétuelle. Je ne cesse d'être surpris en constatant à quel point on peut se satisfaire de petits riens - la simple sensation d'exister.
PERSONNE N'A LA RESPONSABILITÉ DE TOUT MAIS CHACUN DOIT FAIRE QUELQUE CHOSE
Réchauffez votre corps en faisant de l'exercice et non en vous blottissant contre un poêle. Réchauffez votre esprit en accomplissant de nobles actes en toute indépendance, et non en recherchant ignoblement la sympathie de vos semblables, qui ne valent pas mieux que vous.
Poursuivez votre route sans relâche, tournez autour de votre vie comme un chien autour du fauteuil de son maître. Faites ce que vous aimez. Apprenez à connaître votre os, rongez-le, enterrez-le, déterrez-le et rongez-le encore. Ne soyez pas trop moral. Vous risqueriez de vous priver de beaucoup de vie. Visez plus loin que la moralité. Ne soyez pas simplement bon pour quelque chose. Certes, toutes les fables ont leur morale, mais l'innocent aime l'histoire.
Il est vrai que je professe contre lui mais, dans ma grande folie, je suis le monde que je condamne.
Si les mots ont été inventés pour cacher la pensée, je pense que les journaux sont une invention bien pire encore. Ne souffrez pas que votre vie soit accaparée par les journaux.
Je suis de la race du gazon et partage largement sa patience monotone - attendant en hiver le soleil du printemps.