Dieu, la chair et les livres fait écho à un autre titre: celui de l'ouvrage célèbre par lequel Mario Praz découvrait, en 1930, le continent du romantisme noir ou de la décadence, La Chair, la mort et le diable. Il a paru légitime, à l'heure où ces terres paraissent mieux connues, de reprendre la question de la décadence, afin de cerner ce qui s'y jouait et de mesurer en quoi nous demeurons tributaires de la vision éclatée, décentrée, qu'elle proposait des œuvres et ...
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