Tu m'as apporté cette bouffée d'oxygène dont j'avais besoin dans la vie. Tu es une des rares personnes sur cette terre qui me fasse du bien.
Lorsque l'on est mordu de littérature, nous nous évadons à travers toutes ces histoires passionnantes et notre esprit prend son envol pour se réfugier dans des endroits magiques.
Nous avons certaines fois, besoin de redémarrer notre vie à zéro loin de nos racines pour tenter de nous reconstruire.
Je le double, car nos vies se croisent inlassablement, puis reviennent sceller leur pacte une fois encore. Nous sommes liés indéfiniment pour l’éternité. Ce signe se réfère à des choses qui n’ont aucune limite, tout comme l’amour que je ressens pour toi.
"Son regard est si intense qu'il me transperce de part en part,
et même le ciel n'est jamais aussi bleu que ses yeux qui me dévorent à cet instant.
Ils sont magnifiques. Il a ce « je ne sais quoi » qui provoque en moi une guerre sans fin
où je serais vaincue, allongée dans l'attente qu'il m'achève d'un coup fatal et dévastateur."
« Une vie ne me suffirait pas à vous contempler,
Mademoiselle Evans. »
« Reviens-moi. Les vagues de l’océan sont comme l’amour que j’éprouve pour toi. On a parfois le besoin de partir et de revenir là où tout a commencé. On revient toujours chez soi, tôt ou tard, afin de s’y retrouver… »
« Comment est-il possible d’aimer une personne sans la revoir, sans même la toucher une dernière fois, et continuer envers et contre tout, à la désirer plus que tout au monde. Jamais son visage ne pourra s’effacer de ma mémoire. Jamais aucun baiser que nous avons échangé ne pourra être égalé par un autre. Elle est, et restera à jamais, l’unique… »
« Tu es le pacte éternellement lié à ma vie.
Je le signerai indéfiniment et jusqu’à mon dernier souffle.
Après un long voyage, restent les souvenirs, et tu es la preuve vivante
que je l’aurai un jour vécu avec toi… »
« Melinda… Sais-tu combien je rêve de passer cette nuit auprès de toi ? Entendre ton cœur battre au rythme du mien… Comprendras-tu seulement un jour, combien l’amour que je te porte ne connaîtra jamais de fin ? »