Théorie de la classe de loisir

Une critique de l'apparence, du gaspillage (ostentatoire), de la consommation qui date de... 1899. le plus fou là-dedans c'est que ça n'a pas trop vieilli et que notre société en est restée à un stade assez primitif ! Ce livre est fascinant à mi-chemin entre la sociologie, l'économie, et fait partie des livre fondateurs de l'économie humaine.

Un petit bémol, plus pour la forme, le style d'écriture est assez difficile d'accès, le livre est donc parfois un peu fastidieux à lire. le pire est que la préface de Raymond Aron est encore plus fastidieuse à lire que les textes de Veblen. Sans doute est-ce là la marque des économistes de vouloir opacifier ce qui devrait être limpide !