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EAN : 9782366584059
32 pages
KERO (24/04/2019)
4.27/5   39 notes
Résumé :
« Nous devons changer à peu près tout dans nos sociétés.
Plus grande est votre empreinte carbone,
plus grand est votre devoir moral.
Plus grande est votre audience,
plus grande est votre responsabilité.

Les adultes continuent de dire :
“C’est notre devoir de donner de l’espoir aux jeunes.”
Mais je ne veux pas de votre espoir.
Je ne veux pas que vous soyez pleins d’espoir.
Je veux que vous paniqui... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (16) Voir plus Ajouter une critique
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30 pages... un appel à la réaction.
Il faut réagir, nous n'avons pas le choix... Et pourtant personne ne semble s'en rendre vraiment compte.
Greta agit, même si elle est consciente que normalement c'est aux adultes à réagir.
Elle dit ce qu'elle pense, ce qu'elle ressent.
Nous n'avons qu'une terre, il faut la sauver. Il faut changer de mode de vie et chacun doit en prendre conscience...
Malheureusement, à ce jour, peu de chose, peu de gens bougent !
Alors, comme Greta, et comme Pierre Rabhi le dit si bien, à chacun d'apporter sa part du colibri... N'attendons pas que d'autres personnes changent les choses à notre place !

Merci à Babelio (opération Masse Critique) et aux éditions KERO pour ce livret, qui se doit d'être partagé, encore et encore...
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Elle est la figure marquante de notre époque.

Rejoignez-nous condense en quelques pages les circonstances et les motivations de la décision de Greta Thunberg d'appeler à la grève pour le climat. Des arguments percutants, qui rappellent avant tout les constats établis par les chercheurs : l'ampleur et l'accélération du changement climatique, la menace existentielle qu'il fait peser sur les espèces (et l'espèce humaine en particulier), le peu de temps qui reste pour enrayer ces mécanismes fatals. On connaît les chiffres, ils donnent le vertige : jusqu'à 200 espèces disparaissent chaque jour ; même le renoncement immédiat à toute énergie fossile n'empêcherait pas un réchauffement de 0,5 à 1° engendré par les gaz à effets de serre emprisonnés dans l'atmosphère ; et selon le GIEC, il ne nous reste pas plus de douze ans avant que les dégâts ne deviennent irréversibles. Douze ans au cours desquels, pour contenir le réchauffement en deçà du seuil de 2°, des changements radicaux sont nécessaires pour réduire de 50% les émissions globales de CO2 – un objectif impossible à tenir si les pays développés ne parviennent pas à des réductions plus drastiques encore.

À partir de ce constat qui ne fait plus vraiment débat, Greta Thunberg nous interroge : comment est-ce possible, dans ces conditions, que la crise climatique ne soit pas la première de nos préoccupations ? Jusqu'à quel point peut-on continuer à faire l'autruche en raisonnant à court terme et en faisant comme si les mesures décidées à la marge pouvaient être suffisantes ?

La jeune suédoise ne se fait pas seulement porte-parole des climatologues qui prêchent dans le vide au moins depuis les années 1970. Elle met en relief les enjeux de la crise en proposant plusieurs cadrages permettant d'en réaliser les implications :

- Vues les circonstances, le problème ne peut plus être discuté de façon graduelle mais appelle une réponse radicale : « Et à bien des niveaux, je pense que nous, les autistes, sommes les normaux et que vous, les autres, êtes des gens plutôt étranges. Surtout au sujet de la crise environnementale : tout le monde s'accorde à dire qu'elle est une menace existentielle, le défi le plus important de notre époque, et pourtant, personne ne bouge. Tout continue comme si de rien n'était. Je ne comprends pas cela : car si les émissions carbone doivent s'arrêter, alors nous devons arrêter les émissions carbone. Pour moi, c'est blanc ou noir : il n'y a pas de zone grise quand on parle de survie. Soit on continue d'agir en tant que civilisation. Soit non. »

- Greta Thunberg rappelle l'impératif d'équité climatique : « Comment pouvons nous espérer que des pays comme l'Inde ou le Nigéria s'intéressent aux questions climatiques si nous, qui avons déjà tout, ne sommes pas capables d'y accorder la moindre seconde d'attention ? Ou d'accorder la moindre seconde d'attention à l'Accord de Paris » [qui pose clairement le principe de justice climatique]

- L'essai insiste également sur l'absurdité des raisonnements à court-terme qui nous amènent à ignorer que nous connaîtrons nous-mêmes les conséquences de la crise climatique – et la génération de nos enfants a fortiori : « Si je vis jusqu'à cent ans, je verrai l'an 2103. Les dirigeants du monde, quand ils pensent au futur, ne voient jamais au-delà de 2050. Cette année-là, dans le meilleur des cas, je ne serai même pas à la moitié de ma vie. Et que va-t-il se passer ensuite ? En 2078, je fêterai mon soixante-quinzième anniversaire. Si j'ai des enfants, peut-être passeront-ils la journée avec moi. Peut-être me poseront-ils des questions sur vous, les gens de 2019. Peut-être qu'ils me demanderont pourquoi vous n'avez rien fait alors qu'il était encore possible d'agir. Ce que nous faisons, ou ne faisons pas maintenant, tout de suite, aujourd'hui, va affecter l'intégralité de ma vie et celle de mes enfants et de mes petits-enfants. Ce que nous faisons, ou ne faisons pas maintenant, tout de suite, ne pourra pas être défait par ma génération. »

- La crise climatique pose donc des problèmes de justice intergénérationnelle : « En Suède, nous vivons comme si nous avions les ressources de 4,2 planètes. Notre empreinte carbone figure parmi les dix pires du monde. Cela veut dire que, chaque année, la Suède vole les ressources de 3,2 planètes aux générations futures. Ceux d'entre nous qui appartiennent à ces générations futures aimeraient que la Suède arrête cela. »

Greta Thunberg le montre : « Les règles ont besoin d'être changées. Tout doit changer et cela doit démarrer aujourd'hui. » Notre responsabilité envers les générations futures et notre planète exigent de revoir collectivement et radicalement nos modes de vie. de ne laisser aucun répit à nos représentants jusque-là. D'inventer de nouveaux sens, de nouvelles manières d'exister qui s'affranchissent de la surconsommation qui vient encore de triompher lors du Black Friday.

Les mots de Greta Thunberg m'ont bousculée. Prenez-donc quelques minutes pour les lire également et penser aux générations qui viennent. N'oublions pas que la vérité sort souvent de la bouche des enfants qui gardent intacte leur capacité à s'étonner, à s'indigner et à contester ce à quoi nous avons eu tort de nous habituer.
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Greta Thunberg est une jeune Suédoise qui, depuis plusieurs mois, milite pour le climat. Elle a entamé une grève de l'école pour se dévouer entièrement à son combat. Son discours est simple, précis et indispensable. C'est à chacun de nous d'agir, et pas uniquement en coupant l'eau quand nous nous brossons les dents ou en arrêtant d'acheter des bouteilles en plastique. Chacun de nous a le pouvoir d'interpeler les hommes et femmes politiques pour exiger le respect de l'accord de Paris et la mise en oeuvre de mesures concrètes pour réduire vraiment les émissions de carbone. Et c'est maintenant qu'il faut le faire, car il nous reste moins de 20 ans pour inverser la tendance et sauver la biodiversité. Nous ne tuerons pas la Terre, mais nous allons tuer l'humanité. La Terre vivra encore après nous, même blessée et ravagée. Elle se remettra et elle nous oubliera. Si nous voulons faire partie de son avenir, nous devons nous préoccuper de son présent.

Je vous encourage à lire ce discours. Il vaut largement 20 minutes de votre temps.
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Dommage que la fessée soit interdite, Emmanuelle Ménard en mériterait une bonne. de même que Carlos Ghosn, Laurent Alexandre et tant d'autres industrialo-politiques qui sont un peu nos chouchous du moment. Mais si cet article s'inscrit très clairement dans la ligne écologique contre une certaine aristocratie aveugle et bien-pensante, il n'est pas pour autant question tout comme s'en revendique le livre dont il est question ici de s'engager ouvertement pour un bord politique particulier, du moins autre que l'idée qu'on a un monde à sauver et que ce serait quand même pas mal qu'après 2050, il y ait encore des ours polaires, des pandas et accessoirement des êtres humains. Personne ne s'appelle Thanos, ici ? Bon, je continue.
L'écologie c'est bien ; on peut nier son utilité, mais personne n'ira vous dire que c'est mal de protéger la vie sur Terre. Reste à savoir, à partir du moment où nous admettons que l'humanité a foutu le zbeul dans le climat et la biosphère, comment remédier à ce léger inconvénient. Et en ce qui me concerne, je suis pour le moins assez désillusionné : entre les énergies vertes et/ou renouvelables qui ne tiennent pas leurs promesses, la stupidité économique de vouloir exploiter à l'infini un espace fini, la manipulation dans l'ombre de Gazprom, du CAC40 et autres sympathiques PME paternalistes, il semblerait que j'aie trop de raisons valables pour pouvoir me faire canaliser ma force psychique par BFM TV. L'écologie, on en parle beaucoup, on n'en fait rien : on apprend aux enfants bien comme il faut à sauver la planète car après tout ils sont la génération de demain qui va forcément tout résoudre, et dès qu'ils ont tout rejeté à l'adolescence, les quelques-uns à résister à la moutonnerie ambiante se font rejeter comme une génération pourrie, car après tout hein c'est nous les adultes d'aujourd'hui.
On aime parler de l'écologie. Ça décore bien, l'écologie. On l'affiche sur les murs, on la promène dans la rue, on l'arrose sur le bord de la fenêtre. Pas question de révéler à la plèbe les continuelles affaires de greenwashing, ni que les COP et le G20 sont avant tout des vitrines de puissance pour le pays d'à côté. Et pour rassurer les habitants. Consomme ma bouffe, consomme ma culture, consomme mes infos. Tout ne peut que bien se passer. Arrive Greta Thunberg, trublion à l'échelle mondiale qui semble indifférente aux intrigues et jeux de pouvoir. Spoil : ça lui plaît pas trop.
"Rejoignez-nous" constitue ainsi l'ensemble de ses discours célèbres, et fait office en somme du manifeste d'une pensée et d'autobiographie : une vie, une manière de réfléchir spécifique, un affrontement permanent face aux autorités et au harcèlement. Sous cette plume faussement simple et naïve, il faut en effet constater un grand sens de l'impact, avec ces paragraphes resserrés et lapidaires, parfois en rafale alors que monte l'intensité dramatique. Un procédé certes récurrent chez les écrivains modernes, et pourtant qui rend les effets de rhétorique discrets mais ô combien plus convaincants. Les chiffres sont clairs et peu nombreux, le vocabulaire ne se fait pas alambiqué. Tout au plus regrettera-t-on la redondance de quelques points d'exclamation ou leitmotivs déjà oubliés.
Alors si la douleur est grandement explicitée, si les données scientifiques sont exactes, si la rébellion proposée est non-violente, où sont les fameux terroristes écolo-gauchistes qui défraient les propos des présentateurs télé ? S'il y a une véritable argumentation, où est la fameuse idéologie religieuse et totalitaire qui effraie tant nos autorités ? S'il y a une légitimité difficilement contestable, où sont les fameux khmers verts tant évoqués par la fachosphère ?
Les choses sont ainsi faites : il faut des radicaux pour bouger les modérés. Il faut des modérés pour calmer les radicaux ; mais si l'un des deux s'éclipse, alors le mouvement de pensée se cristallise et stagne. Et en l'occurrence, je vois difficilement quelle autre personnalité aussi célèbre promeut en ce moment sans compromis un idéal sans beaux discours mais avec des arguments concrets. On dira d'elle qu'elle n'est qu'une marionnette des lobbys verts, elle donne toutes les raisons du contraire dans ses écrits ; on dira d'elle que c'est une enfant, et ce sera la juger en fonction de son âge plutôt que la pertinence et la cohérence de ses arguments ; on dira d'elle qu'elle trouble l'ordre public, j'en dirais autant de César, Napoléon, Victor Hugo, De Gaulle, Nelson Mandela, autant de leaders qui sont restés célèbres voire exemplaires de par leur fermeté en leur conviction de base. Face à l'invasion conservato-capitalisto-néolibérale imposée par Reagan, Macron et surtout Margaret Tchatcher avec son ignoble personnage de Dame de Fer, il est temps que le camp de l'alternative puisse à son tour obtenir des meneurs luttant à armes égales. On se plaint de son apparente absence de sentiments, j'applaudis face à sa fermeté. Nous n'avons pas besoin de voitures électriques ni de panneaux photovoltaïques. Nous avons besoin d'une Dame de Fer verte. Et je ne dis pas ça que pour votre culture.
Lien : https://cestpourmaculture.wo..
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La terre berceau de notre civilisation, la terre notre lieu d'habitat, la terre est cette planète magnifique que l'homme détruit au fil des années pour leurs cupidités puériles, la terre poubelle humaine, la terre stigmate collatérale du roi dollar, de la reine vénalité humaine, de l'absurdité d'une société mondaine perdue dans une virtualité trompeuse, d'un mirage où le pouvoir sème sa puissance économique de sa putain argent. Cette petite mise en bouche est ce que ne dit pas Greta Thunberg, cette jeune fille suédoise, en grève pour le climat. Ces mots sont simples, son combat est noble, cette petite autisme, syndrome d'Asperger, où son monde s'équilibre entre le blanc et le noir, désire que chacun puisse être informé sur la gravité de la crise climatique et du réchauffement de notre terre.
Je suis un terrien, père de famille, la terre est ce lieu où va vivre mon fils, que vais-je lui dire lorsque ce stade ultime arrivera, ces quelques degrés de plus qui vont bouleverser le climat actuel. Certains scientifiques comme le climatologue Johan Rockström ont l'espoir d'un respect de l'accord de Paris, s'il y a une baisse des émissions de gaz à effet de serre, mais beaucoup ont la faiblesse de ne pas y croire, cette empreinte carbone est une hérésie pour beaucoup, car peu la connaisse, et surtout s'en moque.
Ce petit texte, est un cri d'alarme, tout simplement, Greta Thunberg ne demande pas d'argent, ne fait pas de politique, n'appartient pas à une secte aussi, cette jeune suédoise veut sauver notre planète et veut faire prendre conscience de la tragédie qui se trame.
Il faut faire lire ce texte à tous, comme une volonté de courage et d'ouvrir son horizon sur les choses essentielles de notre planète. Car tout le reste est futilité, dérisoire face à l'enjeu du climat et du réchauffement climatique, au-delà du texte c'est la prise de conscience
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Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Nous devons coopérer et partager les ressources de la planète de façon équitable. Nous devons commencer à vivre dans les limites de ce que la planète propose, à nous concentrer sur les questions d'équité, et prendre quelques pas de recul au nom de la vie des différentes espèces. Il faut que nous protégions la biosphère. L'air. Les forêts. La terre.
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Bien sûr, nous avons besoin d'espoir. Bien sûr. Mais nous avons encore plus besoin d'action. Quand on commence à agir, l'espoir est partout. Alors au lieu d'attendre l'espoir, cherchez l'action. Et c'est seulement à ce moment que l'espoir sera là.
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Nous ne pouvons donc pas sauver le monde en respectant les règles. Car les règles ont besoin d'être changées. Tout doit changer et cela doit démarrer aujourd'hui.
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Et à bien des niveaux, je pense que nous, les autistes, sommes les normaux et que vous, les autres, êtes des gens plutôt étranges. Surtout au sujet de la crise environnementale : tout le monde s’accorde à dire qu’elle est une menace existentielle, le défi le plus important de notre époque, et pourtant, personne ne bouge. Tout continue comme si de rien n’était. Je ne comprends pas cela : car si les émissions carbone doivent s’arrêter, alors nous devons arrêter les émissions carbone. Pour moi, c’est blanc ou noir : il n’y a pas de zone grise quand on parle de survie. Soit on continue d’agir en tant que civilisation. Soit non.
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Si je vis jusqu’à cent ans, je verrai l’an 2103. Les dirigeants du monde, quand ils pensent au futur, ne voient jamais au-delà de 2050. Cette année-là, dans le meilleur des cas, je ne serai même pas à la moitié de ma vie. Et que va-t-il se passer ensuite ? En 2078, je fêterai mon soixante-quinzième anniversaire. Si j’ai des enfants, peut-être passeront-ils la journée avec moi. Peut-être me poseront-ils des questions sur vous, les gens de 2019. Peut-être qu’ils me demanderont pourquoi vous n’avez rien fait alors qu’il était encore possible d’agir. Ce que nous faisons, ou ne faisons pas maintenant, tout de suite, aujourd’hui, va affecter l’intégralité de ma vie et celle de mes enfants et de mes petits-enfants. Ce que nous faisons, ou ne faisons pas maintenant, tout de suite, ne pourra pas être défait par ma génération.
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Videos de Greta Thunberg (13) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Greta Thunberg
Greta Thunberg, Vanessa Nakate, Sophie Binet... Mediapart organise une soirée spéciale climat, alors que le gouvernement a prononcé la dissolution des Soulèvements de la Terre. Avec Attac et 350.org, des figures de l'activisme climatique mondial et du syndicalisme sont réunies. Comment concilier impératif écologique et social dans le monde ? Comment éviter que la transition écologique ne creuse encore les inégalités ?
Nos invité·es :
1) Fin du monde, fin du mois : comment lutter ensemble ?
Greta Thunberg, initialement programmée dans l'émission, nous a fait savoir à la dernière minute qu'elle ne pouvait être présente. Vanessa Nakate, Rise Up Climate Movement ; Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT ; Clémence Dubois, directrice de campagnes, 350.org ; Léna Lazare, Youth for Climate, membre des Soulèvements de la Terre.
2) Réinventer la solidarité Nord-Sud autour du climat
Diana Nabiruma, Africa Institute for Energy Governance, défenseuse des droits humains et de l'environnement en Ouganda ; Youlie Yamamoto, porte-parole d'Attac ; Simon Duteil, co-délegué général du syndicat Solidaires ; Benoît Teste, secrétaire général de la Fédération syndicale unitaire ; Disha Ravi, Fridays For Future MAPA (Most Affected People and Areas) ; Luisa Neubauer, Fridays for Future Allemagne.
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