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Critique de belette2911


Dans le premier épisode de cet album, un homme place des bombes un peu partout dans la ville, sans que pour l'instant, elles n'aient fait de blessés ou des morts.

Elles ont juste provoqué des dégâts matériels et engendré la peur chez les gens.

En commençant à relire cet épisode, les souvenirs sont revenus peu à peu.

La couverture ne m'avait rien rappelé, mais c'est normal, elle n'a absolument rien à voir avec le contenu de l'album !

Non, Jess Long ne va pas viser une sorte de lapin-garou géant, non il ne va pas défendre la pauvre femme, tout cela est de la mise en scène pour la couverture de l'album.

L'histoire est plus tragique que cela. Ce n'est pas la première fois que l'auteur met en scène des hommes fracassés par la vie, des laissés-pour-compte, des gens qui ont la haine de la société, qui vivent en marge.

Le peu que l'on sait de notre poseur de bombe fait déjà naître de l'empathie, on aimerait l'aider. Ce sera la mission de la femme sur la couverture.

La preuve qu'elle n'avait pas besoin de Jess Long pour la protéger.

Notre agent du FBI, de son côté, a fort à faire pour découvrir l'identité du poseur de bombes et, une fois de plus, ce sera ardu, puisque peu d'éléments, mais la chance est toujours de son côté.

J'ai apprécié cette relecture, le happy end final met du baume au coeur dans toute cette grisaille ambiante due à l'actualité anxiogène. Un drame qui se termine bien, en quelque sorte.

"Kidnapping" parlera d'espionnage industriel, de fuite de plans super secret et du bouton sur le nez de l'agent Slim Sullivan.

Oui, au premier abord, on pourrait penser que le bouton est juste là pour le faire ronchonner, pour que les autres lui pourrissent la vie, mais en fait, le bouton sera utile dans l'enquête puisque c'est grâce à son médecin que Sullivan comprendra comment les formules secrètes sortaient de l'usine ultra-sécurisée où tout le monde était fouillé à la sortie.

Excellente méthode pour faire sortir des écritures et plus recherchée que mon idée avec des avions de papier que l'on aurait lancé d'une fenêtre ouverte. À cette époque, pas de drone !

Une enquête amusante, surtout dû au fait que tout le monde se moque du bouton sur le nez de Sullivan. le petit happy end final a fait du bien au moral aussi.
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