Avec la crise qui s'amplifie, le Vatican est devenu un champ de mines et François le symbole d'une fin de cycle. La fin d'une gouvernance mondialisée de l’Église autour d'un monarque incontesté et d'un entourage aux ordres, arc-bouté sur une routine, des privilèges, une tradition centralisatrice et machiste devenue obsolète. (pp.89-90)
[Le pape] François, c'est un art nouveau de gouverner, allant jusqu'à la guerre assumée avec la Curie et avec le "cléricalisme" promu ennemi numéro un. (pp.81-82)
La reconquête d'une crédibilité morale est au prix d'une réforme profonde du ministère ordonné et de la gouvernance de l’Église. (p.161)
Le décalage entre ce que vivent sexuellement les couples et les prescription de l’Église est devenu abyssal. (p.196)
Henri Tincq, Jean-Marie Lustiger : le cardinal prophète .http://www.laprocure.com/jean-marie-lustiger-cardinal-prophete-henri-tincq/9782246746812.htmlHenri Tincq présente son livre "Jean-Marie Lustiger : le cardinal prophète" paru aux éditions Grasset