La vierge à l'ivrogne

Claire5907, étant donné votre niveau d'orthographe, je conçois sans peine qu'un livre écrit avec autant de talent littéraire, avec des verbes du 3e groupe, des phrases de plus de 2 lignes et des références culturelles, ait pu vous rebuter.
Quant aux deux critiques précédentes, elles manquent manifestement d'objectivité : il semblerait qu'il ne faille pas taper sur la religion catholique par respect pour les "Européens" (donc sur les musulmans, les bouddhistes et les mormons, on peut cogner ?), et qu'il faille calibrer le nombre de mots utilisés à la pertinence du propos. C'est une vision de la littérature qui m'échappe un peu...

Oui, l'auteur n'est pas tendre dans ses propos. Et pas seulement avec la religion. Mais il écrit avec beaucoup de tendresse et de second degré, ce qui permet justement de ne pas lire ce livre comme un basique pamphlet anti clérical et anti bourgeoisie, mais bel et bien comme un roman, c'est à dire une narration fictionnelle. Et c'est en cela que ce livre est très intelligent et particulièrement jouissif.
Je le recommande vivement, tant pour l'écriture que pour l'histoire décalée.

Un tiers d'humour noir (dont je suis un pratiquant régulier), un bon tiers d'absurde (qui se voudrait être à la Jarry), un petit tiers d'Hara-Kiri et un grand tiers de moquerie voire de dénigrement, confortable et pleinement pensée unique, des fondements de la religion dans laquelle la grande majorité des européens ont été élevés et demeurent.
Je sais cela fait quatre tiers et un texte n'en a que trois ; mais cela ne fait pas non plus un bon livre. Il y manque quelque chose : de la sincérité peut-être (P. Tisserand se contente d'appliquer laborieusement ce qu'il doit penser être la recette inratable d'un Mandarin-Citron … non pardon d'un succès littéraire) ou du talent. Je ne sais, je n'ai pu aller plus loin que le tiers du texte.
Je mets une étoile, mais c'est uniquement parce que il n'est pas possible de mettre moins.
Un livre (?) raté.
Je remercie néanmoins Babélio et masse critique de m'avoir fait connaître P. Tisserand.

Je ne suis pas lectrice très difficile, j'ai en général la persévérance de finir les ouvrages commencés, mais là, j'avoue, P. TISSERAND a réussi l'exploit de me faire abandonner au bout d'une cinquantaine de pages.
Etre satirique pourquoi pas, on vit dans un pays libre. Mais je n'ai vraiment pas adhéré à l'histoire, au détachement du personnage et sans doute au symbolisme profond (!!!) de cette oeuvre.
Pour moi, un livre à proscrire de toutes les bonnes bibliothèques !

J'ai découvert ce livre grâce à masse critique. Et quel ennui ! le style est tres pédant, les préjugés qui se veulent humour noir mais sont presque méchants, les phrases à rallonge pour dire si peu. Bref je suis presque fière d'avoir eu le courage d'en lire 50 %.

arriver à la moitié du livre je me suis malheureusement arrêté! ce roman est décalé avec de l'humour certes mais je n'ai pas adherer. Peut-être que c'est parce que nous n'avons pas le même humour ou que ce livre n'ait pas mon genre de lecture .!?
pourtant cela commençait bien avec Dieu et satan qui joue à pierre feuillent ciseaux pour savoir qui emmènera cette pauvre femme qui sait suicider mais bon cette lecture n'est pas pour moi....