Cette série BD uchronique reconstruit toute l'histoire de la seconde guerre mondiale en 7 épisodes.
Ce deuxième épisode s'attarde sur Gibraltar. Octobre 1940, Franco, et les maigres troupes qui lui restent au sortir de la guerre civile espagnole, s'associe aux Allemands pour reconquérir le rocher qui sert aux Anglais de base navale en Méditerranée. Julius Klieber, un jeune officier des Gebirgsjäger, associé à un capitaine de la légion espagnole, Suarez, vont participer à d'âpres combats. le résultat final semble compromis par une trahison. Qui trahit : SS, Wehrmacht, espagnols ?
Ce tome est surtout l'occasion de multiplier les scènes de guerres et de combat. Les enjeux précis entre forces militaires rivales sont assez confus. le graphisme est très simpliste, surtout au niveau des visages quasi-inexpressifs.
Accessoirement, le récit comporte une grosse bourde page 41. L'assaut ayant démarré le 31/12/1940, Julius Klieber souhaite à ses troupes au terme des combats de la nuit une "bonne année 1940". il faudrait lire 1941, évidemment.
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Les Allemands, alliés des Espagnols de Franco, veulent prendre le rocher de Gibraltar. Celui-ci est aux mains des Britanniques, assurant aux Alliés la main sur la Méditerranée et l'Afrique du Nord.
Les différentes divisions nazies et franquistes mettent sur pied un plan d'attaque.
Dissenssions au sein de l'armée, querelles politiques et tactiques... Il semblerait que la Bataille de France ai troublé les armées de l'Axe. Un autre tome tout à fait crédible sur un aspect de la Seconde Guerre Mondiale, peut-être moins connu.
La première planche présente les conséquences de la prise de Paris avortée. Sur tous les fronts l'armée nazie a du mal à progresser.
Dans la "vraie" histoire, l'opération Felix fut abandonnée : les exigences de Franco étaient trop hautes pour les dirigeants nazies. Il semblerait que Franco ne voulait pas entrer en guerre juste après la guerre civile, lapopulation étant affamée et incapable d'assumer un rôle guerrier.
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Après la bataille pour Paris, les deux camps de la seconde guerre mondiale s'affrontent ici pour controler la Méditerranée. La cible : le Rocher de Gibraltar alors aux mains anglaises. Pour cela les allemands trouvent un accord avec Franco et luttent aux côtés des espagnols.
Un deuxième tome de WW2.2 plus intéressant que le premier avec complots politiques et combats entre amis et ennemis par delà les frontières des uniformes. Un héros plus complexes qu'il n'y parait, attachant et... pourtant... pas tant que ça (je ne dis pas plus, vous lirez vous même ^^)
Des dessins fait d'une ligne très claire, facile à lire et à déchiffrer. D'un classicique agréable.
Je me mélangeais juste complétement les pinceaux avec les différentes sections de l'armée allemande avec leur nom à coucher dehors en dormant debout.
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L'Allemagne est toujours enlisé en France suite à la bataille de Paris remportée par les alliés. Mais les allemands ont un nouvel objectif, s'emparer de Gilbraltar et du verrou Méditerranéen avec l'aide de l'Espagne.
Ce second tome s'ouvre sur la situation de la guerre au niveau mondial, on peut y constater toutes les modifications de l'histoire qu'opère cette uchronie, c'est plutôt intéressant de démarrer par ça.
La suite se présente sous forme d'une opération militaire qui ne se déroule pas aussi bien que les allemands le souhaiteraient. Gilbraltar est une place forte difficile à prendre, les conflits interne entre la Wehrmacht et la SS plombe la mission et même un traitre oeuvre en coulisse…
Un scénario est plutôt intéressant même si la fin est un peu alambiquée. le choix de mettre en exergue les conflits internes dans l'armée allemande est plutôt judicieux notamment au vue de la tournure que prends la guerre et notamment la disparition de Hitler très tôt dans le conflit.
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L’alliance imaginaire des allemands et des espagnols pour prendre Gibraltar. Une bonne histoire qui refait l’Histoire.
Lire la critique sur le site : Bedeo
Alors que les récits de guerre se multiplient dans les librairies, cette saga propose une variante de l’Histoire : avis aux amateurs !
Lire la critique sur le site : BDGest
Le scénario est vraiment très bon et bien construit.Tout comme le dessin ! [...] Il n'y a rien à redire, rien à jeter, tout est réussi, parfait et sans fausse note. Le graphisme est clair, servi par des couleurs lumineuses. Les tons sont bien choisis. Et côté spectacle, nous ne sommes pas déçus !
Lire la critique sur le site : Sceneario
- Pourquoi trois verres si nous ne sommes que deux ?
- C'est une tradition la veille de partir au combat. Tu bois le dernier coup avec tes amis, et tu laisses un verre plein pour la mort. C'est une forme de respect, tu lui dais savoir que c'est elle qui commande. Avec de la chance, si elle se sent honorée aujourd'hui, elle te respectera demain.
Pourquoi ne parlez-vous pas de Göring comme du Führer? Le titre est mort avec Hitler? Nous avons conservé le serment et le salut en sa mémoire. Göring n'a aucunement l'intention de se substituer à Hitler, il se borne à "gouverner la nation en son absence".
J'ai jamais entendu dire qu'une gueule de bois pouvait empêcher un espagnol de faire son travail.
Je connais chacun la plupart de ces soldats depuis toujours, et pendant la bataille je dois à tout moment prendre des décisions qui mettent leur vie en danger. Ils me font confiance, ils pensent que je ne les mettrais jamais gratuitement en danger. Mais ils se trommpent. Commander est cruel.
-Ces allemands ne ressemblent pas exactement à l'idée que je m'en faisais.
-Quand on cherche, on finit toujours par trouver l'homme sous l'uniforme.
Ken Games, Tome 1 : Pierre