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EAN : 9782100830800
256 pages
Dunod (04/05/2022)
4.05/5   47 notes
Résumé :
La curiosité et l'émerveillement face à l'origine de l'univers sont au coeur de notre expérience du monde. Depuis le Chaos décrit par Hésiode dans son poème sur la naissance des dieux grecs,Théogonie, jusqu'aux théories les plus actuelles sur le multivers, les humains ont poursuivi une quête incessante pour trouver une réponse à cette question essentielle : Que s'est-il passé exactement pendant les tous premiers instants ?
Dans ce best-seller international, l... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Voilà un excellent livre sur les origines - nos origines les plus éloignées qui soient : origine de l'univers, des 4 forces fondamentales, des particules, de la lumière, de la matière, des étoiles, des galaxies, de notre système solaire, de la vie, de l'Homme, du langage, et pour finir, du sens des symboles développés par les premiers Homo Sapiens.
Il est présenté en 7 "jours" comme la Genèse.
Si l'aspect micro - l'infiniment petit avec la physique quantique - est un peu ardu, on peut s'y perdre quelque peu, l'aspect macro, formation des grandes structures est très abordable et très compréhensible.
Le Big Bang, l'inflation cosmique, la matière noire/sombre, l'énergie du même nom, les exoplanètes, tout est détaillé sans être long.
Ce livre peut être lu par des néophytes, ils y trouveront leur compte, car Guido Tonelli exprime tout cela avec une grande clarté, avec de la poésie, et avec de nombreuses références mythologiques très appréciables.
Et bien sûr nous sommes tous des poussières d'étoiles.
Il termine par "ce qui fait de nous des humains", c'est à dire :
" C'est pourquoi l'art, la science et la philosophie sont aujourd'hui des disciplines fondamentales, celles qui donnent corps à notre humanité."
J'ai lu par ailleurs que c'est le début d'une trilogie.
Tant mieux ! Il a un talent fou.




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Lecteur passionné de la plupart des ouvrages de vulgarisation consacrés à l'astrophysique depuis de longues années, je n'étais pas certain, en lisant "Genèse", de vivre une révélation. Si les sept journées résumant l'histoire de l'univers n'ont fait que confirmer ce que je savais déjà, les 50 premières pages du livre m'ont amené à réviser des contenus que je croyais bien établis, oubliant sans doute que la science est en perpétuelle évolution.
Ce qui m'a en effet à la fois le plus intéressé et le plus troublé dans "Genèse", sans que j'aie la moindre certitude d'avoir vraiment compris de ce dont il s'agit, c'est tout ce que ces 50 premières pages énoncent à propos du « vide qui n'est pas vide ».

1- Avant de lire "Genèse", j'avais été convaincu par la thèse défendue par Martin Bojowald dans "L'univers en rebond" (Albin Michel, 2011), une série infinie de Big Bang et de Big Crunch se succédant éternellement, peut-être parce que le philosophe nietzschéen que je suis y trouvais une analogie avec le Retour Éternel du philosophe allemand auquel j'avais consacré mon premier livre sur Nietzsche "L'individu éternel / L'expérience nietzschéenne de l'éternité" (Vrin, 1993, réédition 2019). La lecture de Genèse m'a mis dans une grande perplexité. En effet, l'argument majeur qui, selon Guido Tonelli, a amené les scientifiques à abandonner la thèse de la « fluctuation quantique » à l'origine de l'univers, serait le fait que cette fluctuation exigerait d'avoir été précédé par un « Big Crunch », hypothèse incompatible avec les dernières découvertes de l'astrophysique quant à la masse de l'univers (p. 38 à 49 / résumé p. 48). Or la nouvelle hypothèse « de remplacement », celle du vide, me semble présenter des difficultés au moins aussi grandes quant à la question de l'origine. Quelle est en effet l'origine de ce vide ? A-t-il existé de toute éternité ? Mais nous sommes incapables de nous représenter l'éternité. Ou bien est-il apparu ? Mais qui donc a créé ce « vide » au milieu de nulle part ?

2- Un second élément de trouble est le fait que Guido Tonelli parle assez peu du temps dans son ouvrage. Quelle en est la raison ? Est-ce parce qu'à la manière d'Einstein, il pense que le temps n'existe pas vraiment ? Cependant, y a-t-il du temps dans le « vide qui n'est pas vide » ? de la même façon que le vide n'est pas l'absence de nombres, mais la totalité des nombres positifs et la totalité des nombres négatifs (p. 47), dont la somme est égale à zéro, pourrait-on dire que le vide contient tous les temps, les temps positifs et les temps négatifs, dont la somme serait zéro, donc une absence de temps qui ne serait pas véritablement absence de temps mais présence de tous les temps ? Quand je lui ai posé cette question au cours de la magnifique rencontre organisée par Babelio le mardi 10 mai, le physicien a répondu que le temps serait le sujet de son prochain livre, Genèse devant prendre la forme d'une trilogie qu'on attend évidemment avec impatience.

3- Ce vide qui, d'une certaine manière, contient tout, présente-t-il une analogie avec ce que certains physiciens quantiques, tel Erwin Schrödinger, nomment le « champ de potentiel » d'où émerge tout ce qui nous paraît exister (matière, monde sensible, etc.) ? Ou encore une analogie avec ce que certains spiritualistes nomment la « matrice », cette dimension qui contiendrait tout ce qui a existé, tout ce qui existe, et tout ce qui pourrait exister mais qui n'existera jamais ?

4- Guido Tonelli écrit (p. 61), en exposant les premiers moments de l'univers : « Toutes les parties étaient en contact les unes avec les autres ». Peut-on alors supposer que toutes les particules de l'univers soient intriquées depuis ce moment initial, ce qui confirmerait la thèse de David Bohm d'un univers « implié » (« implicate order ») explicitée en particulier dans son livre majeur "La plénitude de l'univers" (Le Rocher, 1983).

Telles sont mes premières réactions après avoir littéralement dévoré un ouvrage exigeant, parfois difficile, mais remarquablement écrit, à la fois rigoureux et poétique. Si les deux prochains volumes de ce qui doit prendre la forme d'une trilogie sont du même niveau, cette trilogie devrait occuper une place majeure au sein des rares ouvrages de vulgarisation scientifique réussis dont nous avons tant besoin.
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À quoi sait-on que Guido Tonelli est un grand savant ? La réponse est aussi simple qu'évidente : il a le goût de la transmission du savoir, particulièrement aux plus ignorants d'entre nous en la matière. Un savoir qui plus est rempli d'espoir et d'art ; italien pour beaucoup, c'est-à-dire qui se réclame autant de Galilée que de Michel-Ange, deux Toscans illustres ; l'un pour nous avoir fait entrevoir le ciel tangible et l'autre, le Ciel spirituel…

Et puisque la création de l'Univers oscille entre une durée infime – « une fraction de temps ridicule » – et des milliards d'années, ce voyage – cette Genèse – que nous propose Tonelli est, à sa manière, une recherche du temps perdu. Un temps qu'il appréhende tel archéologue creusant dans l'immensité cosmique à la recherche de fossiles. On pourrait aussi le considérer comme un bibliothécaire du cosmos.

Tout commence donc avec l'infiniment petit – « des milliards de fois plus petit qu'un proton ». Et déjà : « L'Univers nouveau-né contient désormais toute la matière et l'énergie d'aujourd'hui. » Dès lors, un chaos incommensurable va se produire (le Big Bang), duquel naîtront les étoiles et les planètes, et bien entendu l'humanité, après un long voyage. Car, pour y parvenir, il faudra quelque 13,8 milliards d'années, et le passage du rayonnement à la matière, qui « conduira à la formation des galaxies, des étoiles et des planètes et au développement de formes matérielles complexes, les organismes vivants ». Ou quand l'Univers se fait chair…

Filant çà et là la métaphore musicale – comme jadis Tolkien avec Ilúvatar qui créa le monde à l'aide de la musique des Ainur –, l'auteur raconte donc l'évolution de l'Univers, des plus petits éléments aux plus grands, avec une fluidité remarquable. Ainsi, on oscille entre les particules élémentaires et les galaxies ou d'immenses trous noirs. Nous voyageons ainsi dans le sublime, défini par Kant comme « ce qui est absolument grand ».

Guido Tonelli a donc bien raison d'écrire que « le grand récit des origines vous donne la force de vous relever » et qu'il est un lien solide qui nous permet de mieux appréhender l'avenir. Récit que l'auteur termine par nous, qui possédons en nous-mêmes une immensité équivalente à l'Univers, comme un écho intérieur de tout ce qui a présidé à notre existence : notre imagination, « l'arme la plus puissante que l'humanité ait jamais développée », dit-il…

(Remerciements aux éditions Dunod pour le présent ouvrage et à Babelio)




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Aspect scientifique:
Sa volonté est de nous donner l'esprit des idées scientifiques, non la technicité. Quoi qu'avec parcimonie, les plus érudits trouveront aussi de quoi faire.
Aucune équation, mais pourtant Tonelli réussi à nous présenter des théories parmi les plus compliquées sans trop perdre de la beauté de ces dernières. Au contraire, elles sont sublimées par le style adopté.
Je dois dire que l'esprit scientifique est conservé malgré l'irruption de récits faisant appel aux croyances pour les justifier. C'est en ce sens que l'auteur présente bien son ouvrage comme un inachevé, non définitif, comme continuellement en construction au grès des nouvelles théories et observations.
Cependant, la limite de cet audace est que, à mon avis, science et religion, science et mythe sont placés sur un même plan. Pour monsieur Tonelli, le récit scientifique semble un récit parmi d'autres servant le même but : nous donner un point d'ancrage sur lequel se reposer pour avancer. En faisant cela, on pourrait penser que l'exigence de la méthode scientifique vaut autant que la réflexion faisant appel à nos croyances, désirs, espérances. Autrement dit, cela laisse croire que, à une question scientifique, une réponse adoptant une méthode scientifique vaut tout autant qu'une réponse répondant à un cheminement faisant appel à notre sensibilité ou croyance. Au demerant, c'est précisement ce qu'il se passe à l'heure actuelle. Dans les mêmes canaux de diffusion d'information s'affrontent pensées scientifiques et croyances,  étant présentées au grand public comme deux méthodes de reflexion étant équivalentes. On pourrait ainsi répondre à une question scientifique par des arguments non scientifiques. Ce choix peut donc être source de malentendus.

Aspect stylistique et pédagogique:
En premier lieu, ce livre nous laisse entrevoir toute l'étendue des connaissances, qu'elles soient ou non scientifiques, de Guido Tonelli. On en apprend presque autant sur les récits mythiques ou bibliques étant le ciment de ces sociétés passées et présentes, que sur les théories les plus éprouvées comme celles encore en débat, ayant trait à l'explication de la génèse de notre univers et par voie de conséquence, de la vie cellulaire sur notre planète. le véritable génie d'écriture de ce livre tient pour beaucoup à l'utilisation de ces croyances pour mettre en lumière les théories scientifiques les plus ardues. Autrement dit, sa qualité à adopter la figure de style adaptée à la théorie scientifique qu'il veut nous expliquer rend la lecture autant passionnante qu'agréable.
Guido Tonelli ne se limite pas à expliquer les théories scientifiques et tout le cheminement menant à la vie sur Terre, il nous donne à aimer la science et même le destin parfois tragique de nos particules constitutives de notre univers. Pour ce faire, il utilise bien entendu les récits bibliques et mythiques, ou encore l'art, mais aussi des adjectifs étant usuellement réservés à l'être humain. Cela nous apparaît alors comme plus proche, plus familier des phénomènes physiques et dans le même temps nous surprend quand on lorsque l'on a l'habitude que l'on nous présente cela très froidement, sans virtuosité, sans poésie,  par le passé. Ce réel effort d'enchanter la science tout en nous la présentant de façon claire nous donne envie de la découvrir davantage et de lui donner une place plus importante. En cela, le livre de monsieur Tonelli est une vraie réussite.
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La question de nos origines est évidemment un sujet captivant. le livre de Guido Tonelli, physicien ayant contribué de manière centrale à la découverte du boson de Higgs, présente l'état de la science dans ce domaine. En acquérant ce livre, je pensais y trouver à la fois un exposé sur nos origines cosmiques, mais aussi une synthèse sur nos origines biologiques. Ces deux parties sont effectivement traitées, mais de manière très inégale, 80 % du livre étant consacré à l'origine de l'univers et de notre système solaire, seules les 40 dernières pages traitent de l'apparition de la vie sur terre. Mais je ne suis pour autant pas déçu par le contenu de cet ouvrage qui m'a permis d'actualiser mes connaissances et de les remettre en perspective.L'auteur ne se contente pas de décrire les théories et les mécanismes d'astrophysique qui régisse notre univers, il partage ses connaissances dans un style parfois poétique avec de nombreuses références à la genèse biblique, mais aussi à la mythologie grecque et à l'art. Son propos prend aussi un peu de recul en abordant d'un point de vue philosophique les grandes questions soulevées.

J'ai appris que la théorie de big crunch (phase de contraction faisant suite à la phase d'expansion représentée par le big bang) est en recul aujourd'hui, les derniers résultats de la recherche laissent penser que l'expansion de l'univers ne s'arrêtera pas.J'ai appris que la durée de vie d'un proton est au moins de 10 puissance 34, soit quasiment l'éternité et que s'il y avait un chiffre facile à retenir à propos de l'univers c'est celui de 100 milliards, il permet de décrire plusieurs choses, en effet la taille de l'univers est de 100 milliards d'années-lumière, le nombre de galaxies dans l'univers est de 100 milliards et le nombre d'étoiles dans une galaxie est au minimum de 100 milliards. Ce ne sont que des ordres de grandeur, mais le chiffre est pratique.À l'issue d'une telle lecture, on reste un peu suspendu dans le temps, émerveillé et fasciné par les formidables réponses que nous apporte progressivement la science sur nos origines. On appréhende l'univers comme un ensemble à la fois éternel et provisoire, stable et en transformation, fort et fragile, tout dépend de l'échelle de temps que l'on retient. Ainsi, des calculs théoriques ont estimé que si la différence de masse entre le proton et le neutron avait été ne serait-ce que légèrement supérieure, les conséquences auraient été désastreuses. Tout serait resté enveloppé, pour toujours dans les ténèbres, l'univers serait un espace immense sans étoiles ni planètes et sans vie.

Dans sa conclusion de l'auteur relève les aspects philosophiques de cette quête de l'homme pour acquérir les connaissances sur son environnement. C'est par le moyen de la connaissance que nous pourrons faire reculer nos peurs. La culture, la conscience de soi et de ses racines les plus profondes, est une sorte de superpouvoir qui garantit une meilleure chance de survie. D'après l'auteur : “l'art, la science et la philosophie sont encore aujourd'hui des disciplines fondamentales, celles qui donnent corps à notre humanité. Cette vision unifiée du monde, née dans notre passé le plus lointain, reste l'outil le plus adapté pour affronter les défis de l'avenir.” Comprendre nos racines les plus profondes nous permettra de trouver des points d'appui pour affronter l'avenir et évacuer notre peur de l'infiniment grand et des ténèbres.

— “Genèse, le grand récit des origines”, Guido Tonelli, Dunod (2022), 246 pages.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Le pouvoir de l'imagination

Le grand récit des origines vous donne la force de vous relever quand vous êtes à terre, la motivation pour affronter les épreuves les plus difficiles. En vous agrippant à la couverture qui vous protège et vous donne une identité, vous endurerez. Se situer soi-même et son clan dans une longue chaîne d'événements, enracinés dans un passé lointain, permet d'imaginer un avenir. Ceux qui ont cette faculté sont en mesure de replacer les vicissitudes du présent dans un contexte plus large. En donnant un sens à leurs souffrances, ils sont mieux armés pour survivre aux plus terribles tragédies.
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Pour comprendre l'origine de notre univers, nous devons accepter d'entreprendre un voyage particulièrement périlleux : notre esprit doit s'aventurer dans des milieux si différents de ceux auxquels nous sommes habitués que nos catégories usuelles en deviennent totalement inutiles. Nous voici contraints de raconter l'indicible, de dépeindre l'inimaginable et de nous mesurer à toutes les limites de notre cerveau, celui des Homo sapiens, qui a été un outil puissant pour explorer et coloniser la planète, mais qui s'avère tout à fait inadapté pour comprendre pleinement ce qui se passe dans des lieux aussi lointains.
comme les navigateurs d'un temps, nous n'avons dautre choix que de mettre le cap sur l'horizon, en acceptant les dangers et les inconnues d'une expédition sur un océan inexploré.
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Ce qui fait de nous des humains

Personne ne saura jamais exactement quand cela s'est produit, ni qui a été le premier. Il n'y a aucun espoir de reconstituer le langage qu'il désirait communiquer au petit groupe : célébrait-il un moment d'euphorie et de joie collective, ou tentait-il d'offrir une consolation après un terrible malheur ?
Tout ce que nous savons, c'est que quelqu'un, à un moment donné de notre histoire, a commencé à raconter une histoire. Il s'agissait sûrement d'un individu plus imaginatif que les autres, souffrant peut-être d'une pathologie psychique, ou simplement plus agité, qui enchaînait les mots de manière surprenante. Nous ne pouvons qu'imaginer la scène : à l'intérieur d'une grotte faiblement éclairée, un clan familial de dix à quinze individus est assis autour de celui ou de celle qui découvre le pouvoir de fasciner les autres, de les lier à l'aide d'un fil magique de paroles. Une chaîne d'expressions utilisées dans un nouveau contexte, libérées de leur fonction utilitaire, s'envole dans les airs pour devenir chanson, poésie, savoir collectif. Des mots rituels qui acquièrent une profonde valeur symbolique et fascinent l'assemblée.
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La modernité naît avec Galilée. L'homme s'affranchi de toute tutelle : armé de sa seule intelligence, il fait face, solitaire, à la grandeur de l'univers. Le scientifique ne cherche plus la vérité dans les livres; il ne s'incline plus devant un principe d'autorité en répétant les formules transmises par la tradition. Il soumet dorénavant chaque chose à la critique la plus féroce. La science devient la recherche créative de «vérités provisoires » à travers des « expériences sensibles et des «démonstrations nécessaires».
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Le zéro n’est pas un non-nombre, il contient l’ensemble infini des nombres positifs et négatifs, organisés en paires symétriques de signes opposés, à somme nulle.
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Vidéo de Guido Tonelli
Extrait du livre audio « Genèse - le grand récit des origines » de Guido Tonelli, traduit par Sophie LEM, lu par Philippe Sollier. Parution numérique le 29 mars 2023.
https://www.audiolib.fr/livre/genese-le-grand-recit-des-origines-9791035412753/
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