AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations sur L'atelier des miracles (218)

Si je comprenais. La force et l'apparence, les deux murs porteurs de mon existence depuis l'enfance.
Première leçon dans la cour de l'école, où des chiées de gosses déchaînés se bidonnaient quand ma grand-mère se pointait à quatre heures. Elle était vieille et grosse, elle portait des imprimés à fleurs qui lui allaient comme un casque à un lapin et une tiolée de bigoudis dans les cheveux, n'empêche qu'à chaque sortie elle me serrait contre elle comme si elle avait eu peur de ne jamais me revoir, et cette sensation-là, je m'en souviens encore aujourd’hui, c'est ce qui me console quand j'ai envie de crever.
Commenter  J’apprécie          100
Parce que la gamberge, ça vous éparpille pire qu'une mine antichar.
Commenter  J’apprécie          100
- Souviens-toi qu'il est parfois difficile d'identifier l'illusion...
- Souviens-toi qu'il est parfois salutaire d'écouter son instinct...
Commenter  J’apprécie          100
Eternels recommencements ,plaies cachées .Avancer sans connaitre l'objectif .Combattre l'ennemi invisible .
Commenter  J’apprécie          90
Un sentiment de soulagement et de sécurité m'a aussitôt enveloppée,réchauffée,j'ai su que je pourrais dormir,que les pensées,les images,la sensation du coeur tassé dans la poitrine,celle du souffle court,rien de tout celà ne pourrait m'atteindre ici,les voix étaient feutrées,les regards bienveillants,ceux des soignants comme ceux des patients-arrivés presque tous sur la même indication-il n'y avait nul besoin de s'expliquer:nous savions la débacle qu'avait vécue l'autre qu'elle qu'en soit la forme,l'épuisement,le harcèlement,le sentiment d'humiliation,la guerre,l'asphyxie,nous savions tous que bientôt,d'une manière ou d'une autre,nous en aurions terminé avec la douleur.
Commenter  J’apprécie          80
C'est à vous de jouer, m'avait glissé Jean lorsque j'étais partie. Contentez vous d'être et le reste suivra.
Il suivait.
Dieu bénisse cette Constance.
Commenter  J’apprécie          80
Le plus dur, c’était d’éviter de penser. Parce que la gamberge, ça vous éparpille pire qu’une mine antichar.
Commenter  J’apprécie          80
"Je peux le dire aujourd'hui: l'amour mort vous terrasse et vous cimente le coeur."
Commenter  J’apprécie          80
Chacun de nous peut un jour être confronté à sa propre impuissance,glisser,chuter et même mourir,par ignorance mais surtout par solitude.Aide-toi le ciel t'aidera,prône la morale de la fable.Mais la vérité,c'est que l'on se relève rarement seul.La vérité ,c'est que bien souvent le malheur exclut et que si certains ont la chance d'être aidés sans réserve,nombreux sont ceux qui, une fois à terre,sont incompris,rejetés ou tenus à distance,y compris par leur proche.Ils pénètrent la spirale de l'isolement, du repli sur soi, de la désespérance.
Commenter  J’apprécie          70
Il y a longtemps que je l'ai compris, l'ignorance est plus dangereuse qu'une grenade dégoupillée.
Commenter  J’apprécie          71






    Lecteurs (2022) Voir plus



    Quiz Voir plus

    L'Atelier des Miracles

    Où commence le livre ?

    Dans un immeuble en flamme.
    Dans la rue.
    Sous un porche.
    Dans un collége.

    10 questions
    31 lecteurs ont répondu
    Thème : L'atelier des miracles de Valérie Tong CuongCréer un quiz sur ce livre

    {* *}