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Citations sur L'atelier des miracles (218)

S'il manque des couleurs au tableau de votre vie nous en fabriquerons de nouvelles.
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Je refusais de me réveiller. Je voulais dormir jusqu'au bout de la nuit et, tant qu'à faire, jusqu'au bout du week-end. Passer directement du vendredi soir au lundi matin, sans respirer, sans rêver, sans penser, d'une seule traite, d'une seule lutte.
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Aide -toi le ciel t'aidera , prone la morale de la fable . Mais la vérité , c'est que l'on se relève rarement seul .La vérité ,c'est que bien souvent le malheur exclut et que si certains ont la chance d'etre aidés sans réserve , nombreux sont ceux qui , une fois a terre sont incompris , rejetés ou tenus à distance , y compris par leurs proches .Ils pénètrent la spirale de l'isolement , du repli sur soi ,de la désespérence .
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J'ai pris le temps de réfléchir, un réseau?
C'est ça l'idée , j'ai reformulé, tu dois rendre ce que l'atelier t'a donné.
Donc rien n'est gratuit.
Donc un jour, Jean ou toi, ou un autre membre de l'atelier, ira voir Zelda avec la facture.
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- Cet épisode aura servi de révélateur, aussi bien pour vous, qui vous étiez laissé enfoncer, dominer, qui aviez oublié le sens du verbe exister, que pour les autres, qui seront désormais plus respectueux à l'égard d'autrui. Je suis ravi pour vous, d'autant que vous n'avez pas toujours été facile à convaincre, Mariette !
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Il y a longtemps au je l'ai compris, l'ignorance est plus dangereuse qu'une grenade dégoupillée.
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« il y a longtemps que j’ai compris que l’ignorance est plus dangereuse qu’une grenade dégoupillée »
« Le plus dur c’était d’éviter de penser.Parce que la gamberge ça vous éparpille pire qu’une grenade antichar »
« Le collège n’était pas étiqueté « établissement sensible » Une bonne partie des enfants étaient issus de la bourgeoisie locale ce qui parait-il garantissait une certaine éducation. […]Dans notre petit monde ouaté du confort sans effort, le crime se commettait en silence. On ne sortait pas un couteau ni une batte de base-ball […] on dégainait quelques billets, un accès à un lieu très privé, un stage dans l’entreprise familiale. On faisait pression. On ne tuait pas l’autre, on le poussait à se tuer, on gardait les mains propres. »

« Des chiées de gosses déchaînés se bidonnaient quand ma grand-mère se pointait à quatre heure. Elle était vieille et grosse, elle portait des imprimés à fleurs qui lui allaient comme un casque à un lapin et une tiolée de bigoudis dans les cheveux, n’empêche qu’à chaque sortie elle me serrait contre elle comme si elle avait eu peur de ne jamais me revoir. »
« Je songeais avec amertume qu’il me faudrait trouver désormais le moyen d’accepter l’échec, de me désengager des émotions et des désirs qui n’avait que me décevoir et me déconstruire. »
« Il fallait être fou pour vouloir décider du bonheur des autres, fou pour jouer avec leur destin »
« Nous faisons tous les mêmes erreurs .Fuir nos fantômes plutôt qu’apprendre à vivre avec »
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Il n'est jamais trop tard, Mariette. Il faut dépasser sa peur, à force de laisser le temps s'écouler, on se sent impuissant, on devient fataliste, on se croit fichu alors qu'il suffit d'un déclic, un rien parfois, une image, un souvenir, parfois même d'un seul mot ?
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Tu es mon cancer , ai-je pensé. Tu as semé tes métastases avec adresse , tu m'as affaiblie d'année en année ,mais Dieu sait comment ,j'ai réchappé de tes attaques insidieuses ,répétées , et aujourd'hui quelque chose d'inespéré se produit , tu ne m'atteins plus ,comme le prévoyait Jean ,j'ai oté ces lunettes que tu m'avais imposées , je vois le monde par moi-même ,je te vois tel que tu es , un homme sans compassion ,un type dévoré d'ambition personnelle , un sale con qui m'a utilisée de toutes les manières possibles ,mais qui n'a jamais aimé personne d'autre que lui-même .
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Que deviennent les etres égarés que leur famille renonce à aimer ? De quel coté se situe l'oublie ?
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    L'Atelier des Miracles

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    Dans un immeuble en flamme.
    Dans la rue.
    Sous un porche.
    Dans un collége.

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