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Critique de XanderOne
Premier jugement, et première confirmation que la confiance n'est pas acquise : le résultat des votes s'affichent mais l'anonymat des votants est conservé, l'heure est aux soupçons et aux accusations, et l'angoisse grandit… Deux clans se forment concrètement, les personnages restent toutefois assez carricaturaux et manichéens dans l'ensemble, l'accent est davantage mis sur les détails de l'ambiance lourde qui plane. S'agissant des péchés reprochés, on en apprend légèrement plus mais les informations sont vraiment distillées au compte-goutte…
Graphiquement, aucune différence avec le premier volume de la série n'est constatée. Alors que les décors sont particulièrement soignés, les visages des personnages restent très (trop) figés, ça manque un peu de coups de crayon impulsifs, particulièrement dans cette atmosphère lourde.
Le rythme donné colle assez bien au climat poisseux et glauque de la situation à mon sens : on avance pas à pas dans le sordide à l'instar du personnage principal, avec précaution pour éviter de mettre le pied dans un nouveau piège.
Parce que, bon sang, l'orchestration du psychopathe à l'origine de la séquestration des accusés est sinistrement réglée comme du papier à musique, allant même jusqu'à utiliser certains des captifs… En installant le doute dans l'esprit de chacun, le groupe va finir par se désolidariser pour calculer froidement la mise à mort de l'un d'entre eux .
Il semblerait bien que tous les moyens seront bons désormais pour tenter sauver sa peau, seul Hiro paraît être réellement perturbé par l'atrocité de la désignation mortelle à présent : la place est libre aux stratagèmes les plus abjects…
Graphiquement, aucune différence avec le premier volume de la série n'est constatée. Alors que les décors sont particulièrement soignés, les visages des personnages restent très (trop) figés, ça manque un peu de coups de crayon impulsifs, particulièrement dans cette atmosphère lourde.
Le rythme donné colle assez bien au climat poisseux et glauque de la situation à mon sens : on avance pas à pas dans le sordide à l'instar du personnage principal, avec précaution pour éviter de mettre le pied dans un nouveau piège.
Parce que, bon sang, l'orchestration du psychopathe à l'origine de la séquestration des accusés est sinistrement réglée comme du papier à musique, allant même jusqu'à utiliser certains des captifs… En installant le doute dans l'esprit de chacun, le groupe va finir par se désolidariser pour calculer froidement la mise à mort de l'un d'entre eux .
Il semblerait bien que tous les moyens seront bons désormais pour tenter sauver sa peau, seul Hiro paraît être réellement perturbé par l'atrocité de la désignation mortelle à présent : la place est libre aux stratagèmes les plus abjects…
