Où sont passées les mémés d'antan? En reste-t-il cachées au fin fond de nos campagnes ou ont-elles toutes disparu, remplacées dans le coeur des enfants par les fringantes mamies.
Celle de Philippe Torreton est une vraie mémé avec un tablier à fleurs comme il n'en existe plus, une véritable image d'Epinal. Je n'ai rien contre cette brave femme mais son petit-fils m'a soûlée avec sa nostalgie à trois francs six sous. Il ne m'a pas fait rêver, moi qui aurais tant aimé avoir aussi une mémé qui habite à la campagne.
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Décevante lecture.
Certes, les souvenirs évoqués ont un écho chez le lecteur, plus précisément sur des objets ou des habitudes. Mais la mémé parle peu et c'est surtout son petit-fils qui "cause" de lui.
L'auteur "fait des phrases" (du style) et cela rentre en contradiction avec le naturel et la simplicité de mémé.
Alors en plus quand l'auteur fait des allusions politiques contemporaines, cela devient insupportable.
Une tendresse éteinte.
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L'auteur se met en tête de peindre sa mémé et de raconter ses souvenirs. C'est d'un ennui tout à fait phénoménal, inintéressant au possible, et j'ai lâché à la page 70. Je comprends bien son intérêt à lui, mais à moins de trouver un lecteur qui se reconnait dans ces lignes... le style n'est pas mauvais, et certaines idées sont sympas, mais l'auteur n'a pas su les transformer : à mon sens, il aurait dû la camper dans son histoire à elle, sa mémé, plutôt que de faire un catalogue de souvenirs...
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Perso, j'ai stoppé page 50.
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En lisant la quatrième de couverture et ayant perdu ma grand-mère récemment, je me suis dit que ce livre s'adressait à moi : souvenirs et hommage à une grand-mère qui a été un personnage emblématique de l'enfance. Et bien non , c'est un beau texte certes mais pour moi comme le journal intime une fois édité pour le grand public il perd de son charme !!
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