« Si, avec René Char, nous savons que "Où la nuit blanche s'arrête la nuit noire continue. Mais que le voyant extermine le croyant, et le surréel aussitôt s'installe, s'impose. Univers-passion dont on ne s'évade pas, dont on ne désire plus s'évader." En cette nuit (où clignote les feux noirs, s'informe les rêves de braises, s'expose l'infini où les anges consument leur obscure incandescence) en son éclat (ce temps fixé du poème, au morfil d'un trait de lumière d'enc... >Voir plus