Elle est splendide... Je ne peux m'empêcher de la regarder... Elle me fait penser à une botte de foin... ou à un verre de lait. (p.47)
Il n’y a pas si longtemps je m’étais engagé sur le chemin de la célébrité… Et puis il m’est arrivé quelque chose de beaucoup plus intéressant… Je suis resté inconnu.
C'est donc ça, le succès? Soudain, je réalise que je n'ai jamais rien désiré d'autre dans la vie. (p.12)
S'il y a dans cette salle un poète inexpérimenté, qu'il se fasse connaître. (p.8)
Avez-vous déjà volé un livre ? C’est facile si on possède adresse et sang-froid. Ce qui est mon cas.
Je me jetai à corps perdu dans l’écriture, activité qui me procurait d’énormes érections.
Il faut tout faire pour ne jamais travailler, car la vie est le terrain de jeu de l’art : planifier un vol a autant de valeur qu’écrire un livre.
Elle est splendide...Je ne peux m'empêcher de la regarder...Elle me fait penser à une botte de foin....ou à verre de lait.
- Je pense que le voleur est mon ami, mais que sa poésie est à vomir.
- Ah bon, et qu’est-ce qui vous fait dire ça ?
- Ca ne fait pas peur. Pour qu’une chose me plaise, elle doit me faire peur. Au point que je me chie dessus… Littéralement.
- Je ne comprends pas.
- T’aimerais que je te foute mon poing sur la gueule ? Hein ?
- Non, non…
- Voilà. C’est comme ça que doit être l’art. Faut avoir peur qu’il te fasse mal.
"Travailler, c'est pour les cons."
Linda C.