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Critique de Axelinou


Où l'auteur nous décrit son amitié (fort légère dans sa description) avec son éditeur chinois. Où l'auteur, dans le quatrième de couverture, utilise huit fois le mot ‘je' ou ‘mon' et une seule fois le mot ‘notre'. Où l'auteur ne nous ment donc pas sur la marchandise.

Sacré Jean-Phi. On a aussi compris que ton coeur hésitait entre ton appartement à Ostende et ta maison en Corse comme lieu de prédilection d'écriture. Mais 2 ans pour écrire ce documentaire et un an pour le relire n'ont pas suffi pour résoudre ton problème de virgule aux alentours du ‘et'.

Heureusement que dans la deuxième partie du livre tu t'intéresses aussi à l'équipe de tournage sinon je me serais fait du souci pour ton nombril : à force de le regarder il pourrait s'user.

Il y a aussi quelques élucubrations sur le hasard. « En somme, la fatalité que l'oeuvre porte en elle est irréductible à la somme des hasards qui la composent. »

Mais est-ce assez pour éditer un livre. Si tu n'avais pas écrit ce que tu as déjà écrit ou si tu n'étais pas le fils de ton père, t'aurait-on publié ?

Après ‘Football', tu t'enfonces – allez, ressaisis-toi mon p'tit Jean-Phi – que diable !
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