Magic 7, tome 1 : Jamais seuls

Une chouette BD jeunesse.
7 enfants reçoivent des pouvoirs. Dans ce premier tome c'est surtout la rencontre des 5 premiers qui est traitée.
Un premier épisode qui donne le ton, mais ce sera surtout dans le tome deux ou on pourra, sans doute mieux juger cette BD.

Les graphismes sont sympas et très colorés.. de quoi plaire au plus jeune. le scénario est aussi agréable, et les personnages ont un bon caractère qui peut laisser présager de belles aventures.

Me voilà qui replonge en enfance avec la saga Magic 7 qui me rappelle fortement la série WITCH que je lisais lorsque j'étais ado. Ici, même ambiance : des jeunes qui ont un pouvoir et qui vont les utiliser à bon escient entre deux heures de cours. J'adore ce genre d'atmosphère fantastique ! D'ailleurs, j'ai été conquise par les pouvoirs des trois personnages présentés dans le premier volet (Farah, Hamelin et Léo) : l'une sait utiliser le feu, l'autre a un lien animal et peut communiquer avec les bêtes tandis que le dernier, mon favori, peut voir les spectres et absorber leur pouvoir. Cela permet de faire plein de choses comme espionner, sortir d'un placard à balais, booster sa force ou sa rapidité, … On va donc découvrir plusieurs fantômes de personnages historiques ou de personnes ayant plus ou moins existé. L'idée est vraiment bonne et originale.

En plus de proposer un divertissement fantastique avec de la magie ou une enquête mettant en scène une voleuse d'objets, la BD aborde la thématique de la mort grâce aux revenants ou au père de Léo, le héros, qui est décédé. Sa pauvre mère n'arrive pas à joindre les deux bouts, si bien qu'elle est régulièrement contrainte de devoir déménager avec son fils selon les opportunités. Hélas, son métier lui prend du temps et de l'énergie, si bien qu'elle ne passe pas assez de temps avec Léo, qui n'hésite pas à le lui balancer à la figure… On a donc une certaine tension familiale qui va sans doute évoluer (en bien ou en mal) dans la suite de la saga. À cela s'ajoute l'ambiance classique d'un collège/lycée avec le groupe de pimbêches à la langue bien pendue ou encore le petit groupe de caïds qui bizute le p'tit nouveau.

Globalement, l'atmosphère n'est pas novatrice toutefois, elle est sympathique et prometteuse. Les protagonistes sont attachants et certains comme Farah ne manquent pas d'humour ! Enfin, les dessins sont colorés, dynamiques, expressifs et punchy. Nul doute que cela plaira aux jeunes lecteurs avides d'aventure et de magie ! En tout cas, j'ai beau avoir passé l'âge, j'ai hâte de mettre la main sur le second tome cette semaine…

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Léo est orphelin de père. Sa maman travaille énormément et il est souvent seul. A la recherche d'un métier stable, sa maman change souvent de lieu de travail. Chaque déménagement entraîne Léo dans une nouvelle école où il ne connaît personne. Il découvre un nouvel établissement scolaire, le Mercury College. Léo a un pouvoir : il peut voir et communiquer avec les fantômes…

Hamelin est orphelin. Il vit seul avec son papa dans une caravane. Seul ? Pas vraiment… Il vit en compagnie d'animaux avec lesquels il parvient à communiquer grâce à la musique. Hamelin est le mouton noir du Mercury College. Dès qu'un vol est commis, c'est toujours lui qui est soupçonné. Beaucoup rêvent de le voir expulsé du collège…

Farah est la petite fille bien aimée d'une famille très croyante, très pratiquante. Elle aussi est élève au Mercury College. Elle se lie d'amitié avec les deux garçons, car, contrairement à ce que s'imaginent ses parents, elle n'est peut-être pas la petite fille bien sage et bien obéissante qu'ils s'imaginent…

Critique :

Premier d'une série qui devrait petit à petit rassembler sept enfants dotés de pouvoirs exceptionnels, cet album est parfois confus. L'histoire est difficile à suivre et mes élèves, âgés de 10 à 12 ans, sont loin de l'avoir comprise. (Je ne suis pas sûr non plus d'avoir tout saisi…)

Ils ont apprécié les dessins de Rosa La Barbera et de Giuseppe Quattrocchi, les couleurs de Francesca Mengozzi et de Giovanni Marcora, le côté « rebelle » des personnages, leurs dons, le côté vengeance à l'égard des élèves qui jouent des sales tours ou de celles qui se montrent prétentieuses.
La magie dont usent les trois protagonistes les fait rêver…

Et pourtant, malgré ces atouts, ils sont déçus par le scénario très difficile à suivre. le découpage de l'histoire n'est vraiment pas un modèle du genre et Kid Toussaint ne devait pas avoir les idées bien claires lorsqu'il a créé cette histoire. le résultat final est assez mitigé car un bon livre, c'est avant tout une bonne histoire.

Dans le nouveau collège de Léo, un mystérieux voleur sévit et dérobe des objets de valeur. Heureusement, grâce à ses pouvoirs de spiritisme, le jeune garçon va être aidé dans son enquête et pouvoir disculper Hamelin, son énigmatique camarade.

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Après une planche n°1 au sein de laquelle on nous livre l'histoire d'un vieux mage ayant accumulé énormément de magie et qui va, lorsque son heure est proche, la redistribuer à ses 7 apprentis, on se retrouve dans un monde contemporain et l'on suit l'entrée de Léo dans son nouveau collège.

Mais le petit Léo n'est pas tout à fait normal, il « voit des gens qui sont morts », enfin, il voit des spectres, et il s'entoure des plus grands : Harry Houdini, William Shakespeare, Marcel Marceau, la liste est longue. On regrette toutefois que le coté didactique (nécessaire pour que les lecteurs parviennent à comprendre les références ou les représentations des personnages) soit un peu forcé, de même que la description des pouvoirs (en d'autres termes : pourquoi Houdini se sent-il obligé de dire à Léo « Il faut que nos mains se touchent pour partager nos connaissances » ? Serait-ce la première fois ?).

Dans ce premier tome, on rencontre Léo, Hamelin et Farah, trois collégiens aux étranges pouvoirs. le premier voit des morts, le deuxième communique avec les animaux, la dernière jette des boules de feu… Ensemble, ils vont résoudre une affaire de vols et finir par tomber sur Lupe, une ado fabriquant et manipulant des robots.

On ne comprend pas très bien comment les pouvoirs des 7 mages ont pu se retrouver dans ces charmants enfants, ni encore moins comment il se peut qu'ils se retrouvent tous dans la même ville, mais gageons que la suite nous le révélera. Parfois, il vaut mieux ne pas savoir plutôt que d'avoir une explication ridicule.

Un poil caricatural (un élève qui joue de la flûte pour charmer les rats et qui s'appelle Hamelin ? tiens, tiens…), c'est tout de même une aventure fluide et intéressante que l'on retrouvera là.
Outre Léo, Farah, Hamelin et Lupe, on rencontre également Alice, qui semble chapeauter le tout pour une cause plus grande. Cinq des Magic 7 sont donc là, et on lira volontiers la suite.

Quant aux dessins, s'ils ne sont pas ma tasse de thé, ils restent dans le style de ce que l'on voit beaucoup en BD jeunesse.

En somme : une BD qui ravira sans problème les jeunes lecteurs.

Je découvre cette magnifique saga avec un peu de retard vu que le tome 1 a été édité en 2016 mais j'ai ainsi la chance de pouvoir enchaîner les 5 tomes déjà sortis sans devoir attendre des mois entre chaque parution 😎
La saga "Magic 7" relate les aventures de 7 adolescents dotés de pouvoirs extraordinaires.
Dans ce tome 1 Leo, qui a le don de voir et de parler avec les fantômes, vient tout juste d'emménager dans une nouvelle ville avec sa mere et découvre son école et ses camarades. Parmis eux Hamelin et Farah qui ont eux aussi des pouvoirs assez spéciaux.
J'ai adoré ce tome 1 car il réunissait plusieurs éléments que j'adore : de beaux dessins très modernes, des illustrations très colorées, des personnages à qui ont s'attache rapidement, de la magie et du mystère.
J'ai aimé le côté adaptable aux petits et aux grands, j'entends par là que cette BD peut être lu par les plus jeunes comme par les un peu moins jeunes avec le même plaisir de découverte. Les petits pourront s'identifier facilement aux jeunes héros, et seront très vite happés par le côté magique de l'histoire. Même plaisir pour les plus grands avec en bonus des références et des blagues tout le long du récit.
J'ai déjà lu le tome 2 et la magie à opéré une fois encore.

Pour son premier jour dans son nouveau collège, Léo, piégé par des camarades mal intentionnés, arrive en retard. Il fait la connaissance de deux autres retardataires, Hamelin et Farah. Kid Toussaint signe une série fantastique plaisante destinée aux adolescents. Les dessins sont agréables même si la mise en couleur est un peu criarde.

Il y a quelques siècle 7 enfants reçoivent des pouvoirs. "Vous voilà investit de pouvoirs immenses. Utilisez-les pour faire le bien avant qu'ils ne vous utilisent pour faire le mal. Allez! Rendez le monde meilleur!". le temps s'est depuis écoulé et les pouvoirs se transmettent toujours. Ceux qui ont hérité de ces dons doivent se retrouver. Pour l'instant on ne sait pas pourquoi ni comment cela se fait qu'ils soient tous dans la même ville. L'histoire s'oriente sur trois personnages principaux qui possèdent chacun quelque chose d'unique. Une jeune fille blonde aidé d'une compère organisent leur rapprochement. L'équipe de cinq n'est pas encore au complet. le tome 2 nous emmènera surement à la rencontre des deux adolescents manquants. L'approche originale réside dans le fait que chaque enfant possède un don particulier. Ainsi pour affronter le Mal, ils devront collaborer ensemble sans rivalité. L'autre élément que j'ai trouvé malin sont les fantômes de personnalités existantes. Les adolescents ne verront pas forcément toutes les références mais elles ont le mérite d'exister comme la référence à Nikola Tesla ou à Diogène quand on parle d'un homme qui vit dans une niche. le dessin pourrait être plus précis comme dans la série similaire "Monster Allergy". Mais l'ensemble reste cohérent  par rapport au genre de bande dessinée SF pour adolescent. Un album assez bien construit pour nous mettre l'eau à la bouche pour lire la suite. Il est certain que je ne vas pas attendre trop longtemps pour me plonger dans le tome 2.
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J'ai trouvé les dessins bien plus beaux dans ce format-là que dans le Spirou magazine dans lequel il est paru en juin 2015 : déjà, les pages sont glacées c'est donc bien plus agréable au toucher ; ensuite, les couleurs sont bien plus chaudes, on détecte bien mieux les nuances notamment au niveau des cheveux des personnages mais pas que ; de plus, les illustrations sont forcément plus grandes en raison du format de la bande-dessinée.
Du coup, j'ai eu l'impression de redécouvrir Magic 7 et c'était un vrai plaisir.

Pour le récit, il est toujours aussi bien ficelé et excellent point : à la fin, on a bon nombre de réponses qu'on se pose quant à l'enchainement des événements – et oui, peu de place aux coïncidences dans ce premier tome et tant mieux, ça dénote une parfaite maîtrise du scénario.
Léo est toujours aussi sympathique comme héros, mais, même si au début, je m'étais dit que ses pouvoirs seraient les plus intéressants, ouvrant le plus de possibilités, finalement, pas tant que ça. Mais cela n'ôte rien au plaisir de découvrir chacune des célébrités qui gravitent autour de lui.
J'apprécie toujours autant Hamelin, il reste un peu à l'écart, j'espère qu'il prendra plus d'ampleur par le suite et ne sera pas seulement le faire-valoir de Léo.
Pour Farah, dans les Spirou, je n'avais pas accroché, elle faisait des coups en douce contre les chipies de l'école, donnait une piètre impression d'elle, ne valant tout compte fait pas mieux que les pestes à qui elle s'attaque subrepticement. Par la suite, le personnage s'améliore grandement : elle ajoute un peu de fraicheur à l'histoire de par son dynamisme. Et puis j'aime bien son style, elle a la classe, donc heureusement qu'elle passe mieux.

C'est un coup de coeur pour ce premier tome de Magic 7, j'attends avec beaucoup d'impatience la suite – heureusement, on n'a pas longtemps à attendre, elle sort en juin 😀
Donc je vous retrouve dans un mois et demi pour ma chronique du second tome.
Lien : http://psylook.kimengumi.fr/..

Quelque part entre Harry Potter et le Collège Invisible, on a Magic 7... La série démarre en une seule page: un mage se meurt et il "divise" sa magie en 7 branches. On saute ensuite au présent, un ado un peu à l'ouest qui va débuter sa première journée dans un nouveau lycée. Il voit les morts... il est shaman. On ne nous le dit pas... il suffit de tourner la BD et de regarder la 4è de couverture...

Il va rencontrer (que le hasard fait bien les choses...) 2 autres héritiers de la magie dissipée par le mage de la première page. Et ensemble, ils vont devoir mener l'enquête, car des objets disparaissent dans le lycée et ils font partie des suspects. Ce faisant... je ne spoile rien, il suffit de regarder la 4è de couv toujours, et on voit les 7 magiciens regroupés... Choix très douteux des éditions Dupuis qui semblent s'y entendre pour gâcher le plaisir du lecteur, alors que les auteurs essaient d'insuffler du mystère et de l'incertitude dans leur saga.

Le bilan: on a une BD classique, de facture hyper convenue et cadrée, qui utilise les codes connus des ados et archi usés, donc. Cadrages, couleurs, mise en page, rebondissements tout cela est très simple.

Les BD "jeunes ados" sont assez rares. On peut donc saluer l'initiative. Les BD "jeunes ados" de qualité sont encore plus rares. Gageons que cette série prendra son envol dans les tomes suivants.

Une nouvelle série pour le CDI, dans la lignée des Légendaires. Nos jeunes collégiens devraient aimer !
Après un énième déménagement, Léo commence dans un nouveau collège. Et les débuts se passent mal : il est maltraité par deux grands, il arrive en retard et termine dans le bureau de la directrice. Ces débuts difficiles sont aussi l'occasion de faire la connaissance de Zoran Hamelin qui devient vite son ami. Ils vont découvrir que tous les deux ont un don particulier. Et ils ne sont pas les seuls au collège !