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Citations sur Les règles du jeu (16)

-La plupart des gens ont plus de besoins que de manques. Ce qui explique le genre de vie qu'ils mènent. Mais le monde est dirigé par ceux dont les manques dépassent les besoins.
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Le vent tourne vite à New York City-dans le bon ou le mauvais sens. Mais ça, on ne le sait qu'avec le temps.
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110 ème règle de bienséance et de bonne conduite dans le monde de Mr Washington :
Efforce-toi de conserver dans ta Poitrine cette petite étincelle de feu Céleste nommée Conscience.
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Du moins en étais-je là de mes réflexions lorsqu'un homme tête nue émergea de la foule et cogna au carreau.
Mon coeur fit un bond. C'était Tinker Grey.
Les pointes de ses oreilles étaient aussi rouges que celle d'un elfe. Il arborait un grand sourure, comme s'il m'avait prise la main dans le sac.
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Lorsqu'une mère perd sa fille, elle pleure l'avenir que son enfant n'aura jamais, mais peut se consoler dans le souvenir des jours passés ensemble. Mais lorsque votre fille s'enfuit, ce sont ces souvenirs heureux qui meurent ; et l'avenir de votre enfanr, pourtant bien vivante, vous abandonne comme la vague abandonne la plage.
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Le temps a une façon particulière de tromper l'esprit. Quand on regarde derrière soi, un ensemble d'évènements concomitants paraissent parfois s'étaler sur un an tandis que des saisons entières se réduisent à une seule nuit.
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Quand vient septembre, malgré les jours qui raccourcissent, malgré les feuilles qui succombent au poids des pluies automnales grises, nous sommes soulagés d'avoir laissé derrière nous les longues journées d'été; et il flotte dans l'air une impression paradoxale de rajeunissement.
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Bref, tous plus ou moins soûls, nous traversions ces soirées comme des satellites survolant a ville à dix kilomètres d’altitude et carburant au dollar fort et à l’alcool fin. Nous vociférions d’un bout à l’autre de la table, nous éclipsions dans une pièce vide en compagnie des maris ou des épouses des autres, faisions la fête avec enthousiasme et l’exubérance des dieux grecs. Et au matin, levé à 6 h 30 pile, claires d’esprit et optimistes, nous reprenions nos postes derrière les bureaux en acier immaculé des maîtres du monde.
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Vers ces mouvements du kaléidoscope qui avaient coloré et modelé ma traversée de l'année 1938. Déambulant au bras de mon mari, je résolus de garder pour moi les souvenirs de cette année. (…) Mais je ne voulais tout simplement pas les partager. Parce que je ne voulais pas les diluer. Surtout, j'avais besoin d'être seule. De m'extirper de la lumière aveuglante du présent.
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New York était une ville où l'improbable deviendrait probable, l'incertain certain et l'impossible possible.
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