« Penser comme un homme, agir comme une dame, et travailler comme un chien », une femme pathologiste en Saskatchewan du début du vingtième siècle.
Le roman est inspiré d'une femme réelle, mais le roman ne reprend pas des événements de sa vie. C'est un polar où on a une bactériologiste qui outrepasse les demandes de son chef pour faire enquête sur les circonstances de la mort des cadavres qu'elle a autopsiés. Une histoire de trappeurs, de contrebande et de plantes médicinales.
Un contexte intéressant, avec une héroïne bien bonne, mais qui a mon sens manque un peu de profondeur. le paysage et le décor historique ne sont aussi qu'esquissés. Je n'ai pas eu vraiment l'impression de m'immerger dans cette époque et de comprendre les tiraillements intérieurs de la pathologiste.
Un polar qui se lit facilement, mais qui ne rassasie pas complètement.
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Bonjour les babeliophiles petit retour sur ma dernière lecture.
Alors pour être franc je ne suis jamais rentré dans ce livre , content de l'avoir fini. et heureusement quil ne fait que 200 pages sur ma liseuse Les chapitres étaient d'une longueur au sens propre comme au figure ,j'ai jamais accroché aux personnages en fait ce livre n'était pas fait pour moi ou ce n'était pas le moment mais comme je dis toujours ceci n'est que mon avis personnel.
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Dans La Pathologiste, elle raconte l’histoire de celle qu’on surnommait « la Sherlock Holmes de la Saskatchewan » au début du 20e siècle.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
L’attrait principal du roman réside dans la peinture d’une société où Blancs et Métis se côtoient, où la prohibition crée une nouvelle classe de criminels, où « le bois » continue d’attirer les jeunes hommes épris de liberté. Et surtout, une société où les femmes commencent à jouer un rôle plus public, plus officiel, avec toutes les tensions que cela peut entraîner.
Lire la critique sur le site : LaPresse
— Mutch aurait préféré que je sois un homme…
— Comme la plupart des hommes, justement, qui n’aiment pas qu’une femme leur soit supérieure, peu importe le domaine.
— Je sais bien… Je suppose que je n’y suis pas encore habituée.
— Personne ne s’habitue à la bêtise, ma chérie. Que tu sois plus intelligente que la moyenne n’y change rien, ça rend plutôt la situation plus irritante.
(p.55)
… la police refuse de laisser les morts en paix. On ne devrait jamais chercher la vérité, ni à obtenir justice. Les morts ne reviennent pas, quoi qu’on fasse, peu importe qui on condamne.
(p. 186)
Filles de Lune, tome 1 : Naïla de Brume de Elisabeth Tremblay