Le vrai drame, c’est l’excision. Il n’y a pas de loi qui puisse protéger les petites filles de leurs grand-mères. Ce sont les coutumes ancestrales. Si on coupe le clitoris aux jeunes filles, c’est pour faire plaisir aux hommes. C’est ça, l’Afrique des femmes. Être soumises aux hommes. Si elles ne sont pas excisées, les filles ne sont pas honorables dans les villages. Avoir du plaisir serait trop dangereux. Si elles ont du plaisir, elles seront volages et pourront tromper leur mari.
Les femmes, qui font les enfants et qui travaillent, sont la vie de l’Afrique.
Quand on convainc les journalistes de la justesse d’une cause, on peut faire beaucoup de chemin.
L’électricité et l’eau transformaient cette grappe de cinq ou six maisons, au cœur de la savane, en une oasis où il faisait bon s’asseoir dehors le soir pour discuter.
Quand on gagne un dollar par jour, on ne peut pas se payer une voiture.
En Afrique, on apprend à savourer le repas du jour, car on ne sait jamais si on mangera le lendemain.
Les Blanches ont des préjugés à propos des Noirs…
Il faut faire confiance à l’Afrique. Nous ne sommes pas des sauvages ni des barbares. Notre civilisation est différente de la vôtre, c’est tout.
Dans les revues et à la télé, les blondes ont tous les hommes à leurs pieds.
Une belle coiffure afro, c’est magnifique. Les hommes rêvent d’agripper une épaisse tignasse frisée en faisant l’amour.