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EAN : 9782351787823
288 pages
Gallmeister (03/06/2021)
3.75/5   259 notes
Résumé :
À l’été de 1914, Jean-Marc Montjean, jeune médecin tout juste diplômé, revient s’installer à Sallies, petit village du Pays basque dont il est originaire. Rapidement, il est appelé à soigner Paul Treville dont la jolie sœur jumelle, Katya, l’intrigue de plus en plus. Bien accueilli chez les Treville, le jeune homme devient un ami de la famille, qu’il fréquente assidûment en dépit d’une certaine ambiguïté dans leurs relations. Et même s’il devine derrière leurs hospi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (71) Voir plus Ajouter une critique
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L'été 1914, le médecin tout frais émoulu Jean-Marc Montjean revient s'installer dans son village natal du pays basque. Ses fonctions lui font rencontrer Paul Tréville et sa piquante jumelle Katya. Fréquemment invité chez eux, il devient l'ami de la famille malgré le comportement souvent déconcertant de chacun de ses membres, et tombe amoureux de la jeune femme. L'état de confusion que ses visées sentimentales provoquent chez ses hôtes le place toutefois face à un mur : quel est donc ce douloureux secret qui semble ronger les Tréville ?


Une profonde mélancolie préside à ce récit, entamé en 1938 parce que le bruit des bottes et la prescience d'une catastrophe à venir renvoient alors le narrateur au souvenir d'un autre gouffre, celui qui devait l'engloutir à la fin de l'été 1914. Cet été-là s'annonçait pourtant parfait. C'était encore pour l'insouciant jeune homme le début de tous les possibles, avant le drame et les désillusions. L'évocation de ce passé prend la saveur douce-amère de l'innocence perdue et du bonheur entrevu. Elle est une parenthèse de lumière qui s'ouvre et se referme, dans une résignation tragiquement désabusée.


C'est donc en s'attendant à la catastrophe que le lecteur se laisse emporter dans un retour en arrière à la saveur délicieusement surannée. Dans l'atmosphère un rien étouffante d'une petite station thermale où se recrée en miniature une société de classes et de convenances, la romance naissante prend très vite une coloration sombre et tourmentée, alors que se dévoile la psychologie de personnages troublants et mystérieux. Dans l'isolement de leur villa mangée par la végétation et la décrépitude, les Tréville, dont on dit qu'ils ont précipitamment quitté la capitale, rivalisent d'étrangeté. Lunaire, le père semble évadé dans son univers d'érudition, tandis que la fascinante complicité du frère et de la soeur, si étonnamment semblables, ne parvient pas à masquer l'ascendant singulièrement autoritaire du premier sur la seconde, pourtant impétueuse et volontaire. le comportement lunatique de Paul, qui, maniant une ironie féroce volontiers menaçante, ne cesse de souffler le chaud et le froid dans son hésitation à accueillir ou à rejeter leur visiteur, déstabiliserait tout autre prétendant que le tenace Montjean. Il n'est pas jusqu'à une étrange présence fantomatique qui ne vienne épaissir le sentiment de malaise qui pèse sur le récit.


Il y a du Stefan Zweig dans l'écriture et la facture classique, mais aussi dans l'intensité psychologique de ce roman. Une ironie acide et un regard sans illusion sur la misogynie d'une société capable des plus bas instincts lorsqu'elle se sent libérée des convenances, sortent de l'ordinaire cette histoire de secret familial et d'amour contrarié au suspense prenant. Nonobstant son dénouement peut-être excessif, j'ai adoré l'élégance de la plume et le brio du récit, qui fait par ailleurs passionnément écho à la longue immersion de l'auteur en pays basque. Coup de coeur.

Lien : https://leslecturesdecanneti..
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C'est en août 1938, alors que le bruit des bottes se fait de plus en plus pressant et qu'il craint une autre guerre, que Jean-Marc Montjean prend la plume pour coucher sur le papier ses souvenirs d'un autre été. L'été 1914 lors duquel là aussi la guerre approchait. Mais dans l'insouciance de sa jeunesse, tout juste sorti de la faculté de médecine, le tout nouveau docteur Montjean ne songeait guère à un éventuel conflit. Installé à Sallies, une ville d'eau de son Pays basque natal, il assistait le docteur Gros auprès de curistes riches et ménopausées. Mais très vite, toutes ses pensées tournèrent autour de la pétillante Katya de Treville, rencontrée par hasard à l'occasion d'une blessure de son frère jumeau Paul et dont il tomba irrémédiablement amoureux.

Une villa à l'abandon, un jardin hanté, une famille mystérieuse, un secret bien gardé et un jeune homme candide qui déboule avec ses grands sentiments pour chambouler le fragile équilibre de ces aristocrates qui vivent en marge. Tous les ingrédients sont réunis pour un roman aux allures de drame victorien. le mystère plane autour des Treville. le père est un érudit spécialiste du Moyen-Âge, toujours plongé dans ses livres, la tête ailleurs, la mémoire parfois défaillante. le fils, Paul, joue les aristos blasés, revenus de tout, il peut être charmant mais sait aussi être impoli, voire féroce quand il s'agit de protéger sa soeur jumelle. Cette dernière, Katya, toujours vêtue de blanc, jolie comme un coeur, peu conventionnelle, semble croquer la vie à pleines dents malgré une vie de famille repliée et solitaire. Malgré les secrets et les mises en garde, Jean-Marc Montjean n'aura de cesse de se faire accepter et aimer par l'élue de son coeur. Savant mélange d'héroïsme, d'égoïsme et de certitudes, le jeune médecin va précipiter l'issue dramatique des évènements pour son plus grand malheur.
Trevanian change ici de registre et délaisse l'espionnage au profit du drame romantique. On pense bien sûr à Wilkie Collins même si l'Angleterre laisse place ici au Pays basque. On sent tout l'amour de l'auteur pour cette région où il a vécu. Un Pays basque sublimé où le soleil brille, où les orages d'été peuvent vous tremper jusqu'aux os en une minute, où les traditions sont toujours vivaces.
Un roman sympathique sans être révolutionnaire. Une lecture agréable malgré un sujet souvent exploité en littérature.
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Première incursion dans l'univers de Trevanian et quelle lecture !!
J'ai été fascinée, envoûtée du début à la fin du roman. À la réflexion, l'été de Katya me paraît un titre bien faible pour un tel roman. La folie de Katya correspondrait mieux. Bien sûr, il aurait l'inconvénient de dévoiler un pan fondamental de l'intrigue.
Tout, d'abord, c'est l'été, le terrible été de 1914 qui sonnera le glas de la première grande déchirure du XXieme siècle et se soldera par une guerre où l'innocence, la joie, la vie de jeunes gens se fondra dans l'aliénation du monde.
Notre héros, un jeune et frais médecin fait ses premières armes dans une clinique à la solde d'un médecin confirmé. Cette histoire se passe dans un petit village de la côte basque, très important puisque notre jeune médecin est basque. D'ailleurs, nous apprenons beaucoup de choses pertinentes sur une fête et les traditions basques.
Ce livre est l'histoire de l'Amour malheureux, celui de notre jeune médecin pour la belle Katya, mais de façon plus universelle de l'amour tout court. Chaque protagoniste de ce roman ne peut y accéder. Katya, alias Hortense n'a pas eu l'occasion de le vivre, on l'a broyé et souillé quand elle n'était encore qu'une adolescente.
Le roman fait la part belle à la folie, au mensonge, à la duplicité que les écrits du jeune Freud commencent à éclairer.
J'ai beaucoup aimé cette nostalgie de notre héros qui au mitan de sa vie couche par écrit son histoire pour tenter de s'en libérer.

En bref, j'ai passionnément aimé cee livre et vous le recommande.
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Été, et si je te proposais une dernière virée au Pays Basque... Juste pour se reposer, pour rêver, pour écrire loin de la ville, loin de la côte ou de ses vagues. Un été dans l'arrière-pays, un été où l'on circule à bicyclette ou en carriole à chevaux. Un été où la bière s'appelle Uhaina comme les jeunes femmes. Un été où je croise le destin de Katya.

Que dire de Katya... Elle est belle, elle est sublime, elle est l'ombre de la lune, elle est le souvenir d'antan. Elle ne laisse pas indifférent ceux qui côtoient son sourire. Sous son ombrelle tournoyant, elle flâne près de l'ancien kiosque à musique, un lieu maintenant où la végétation a repris ses droits. Son coin à elle, son lieu de recueillement, sa "bibliothèque" dans la nature. Elle aime le silence de ce coin de verdure, et lire sous la treille même si à cette époque là, une jeune femme qui lit n'est guère bien vue.

Mais qu'entends-je ? Ne serait-ce pas la musique d'une txitsu... Ne serait-ce pas la fureur d'une banda... qui égayent les rues pavées de la place du village...

Guidé par la mélancolie et la découverte du txikiteo, je me dirige vers le centre-village, là où il y encore plusieurs bistrots à vue. le bon temps dans ces villages d'avant-guerre. Chacun paye sa tournée, nous naviguons, le pas de plus en plus chaloupé au fil des étoiles, de bars en bars, pour les plus jeunes. Et en ce temps-là, la place du village est entourée de bistrots. Les anciens, eux, nous accompagnent, communion des générations, mais en restant à la même place, la même chaise, le même comptoir toute la soirée. Jusqu'au bout de la nuit, dirait-on maintenant. Mais quand finit la nuit ? Quand la lune bleue se couche ou quand je n'ai enfin plus soif...

A propos de lune, j'imagine les reflets de Katya sous celle-ci. Je la vois se déshabiller jusqu'au corset blanc, dentelles épicées qu'on voudrait bien caresser. Mais la décence et les convenances de l'époque font que mon regard lubrique ne s'égare pas au delà de ses courbes. Mon regard amoureux se perd dans ce Pays Basque, ah les histoires d'amour, ah (la jouissance), oh (le plaisir), quelles qu'en soient les conséquences. On ne résiste pas au sourire de Katya, une fois qu'il vous harponne, il s'ancre dans les sables mouvants de la passion, du désir, de l'amour, jusqu'à en oublier mon verre d'Uhaina ou le vert de l'Izarra... A la folie... Cruelle, celle des hommes...
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Connnaissiez vous la légende du romancier américain Trevanian? En effet, celui ci est un des auteurs sur lequel les rumeurs les plus incroyables ont circulé et qui a attisé la plus folle curiosité du monde littéraire.

Un écrivain sans visage dont les livres se sont vendus à plus de cinq millions d'exemplaires et on,été traduits en près de quinze langues sans qu'il ait jamais fait de promotion dont le célèbre La Sanction en 1972, succès planétaire qui sera adapté au cinéma trois ans plus tard par Clint Eastwood.

En 1983un article du Washington Post révèle qui se cache derrière Trevanian, et l'éditrice du Who's Who in America renchérit : elle indique que le véritable auteur s'appelle Rodney Whitaker, qu'il est né au Japon en 1925, est titulaire d'un doctorat en communication et a été professeur à l'université du Texas. Bien que l'auteur véritable ait été découvert, cela n'empêche pas le mythe de perdurer au rythme des parutions sporadiques de Trevanian.

Parmi elles, L'été de Katya, paru initialement en France aux éditions Denoël en 1983, a été ressorti fin 2017, par Gallmeister l'éditeur habituel de Trevanian.

Ressorti ou plutot ré exhumé tant ce roman, assez éloigné des oeuvres précédentes de son auteur avait été un peu oublié depuis. Il faut dire que cet auteur mystérieux qu'est Trévanian, décédé en 2005 est plus célèbre pour ses thrillers d'action comme la Sanction adapté par Clint Eastwood en personne dans les années 80.

L'été de Katya est un roman assez classique dans sa forme, plus proche du drame romantique historique ( l'histoire se déroule en France en 1914) pas très loin d'un univers à la Daphné du Maurier, que du thriller psychologique bourré d'adrénaline.

Si on connait finalement peu de choses sur Trévanian on sait qu'il a passé pas mal d'années au Pays Basque du coup on n'est pas étonné de voir que son intrigue se déroile pendant un été caniculaire dans ce même Pays basque en août 1914 .

On aime la plume toute en élégance et délicatesse de l'auteur qui parvient à faire virer sa romance assez classique au début en une sorte de roman sombre, troublant et assez maléfique , flirtant même avec le fantastique et les esprits.

Une découverte assez formidable que la toujours épatante maison d'édition Gallmeister a eu l'excellente idée de faire connaitre à ses fidèles lecteurs.

Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Citations et extraits (87) Voir plus Ajouter une citation
J'ai sous les yeux les notes que je griffonnai ce soir-là, accompagnées des commentaires entre parenthèses que j'y ajoutai quelques années plus tard, après la guerre, alors que j'étais désormais établi à Alos comme médecin de village. Je vous les livre sans aucune correction, avec leurs intitulés juvéniles et prétentieux en caractères grecs et mes hypothèses romantiques pseudo-philosophiques, sans omettre le désenchantement amer des remarques -entre parenthèses - d'après guerre.
Alpha : Cette épouvantable guerre ne verra jamais le jour ! (Elle a eu lieu.)
Beta : Si la guerre arrive malgré tout, elle sera brève parce que la chair et la sensibilité humaines ne sauront tolérer les machines modernes de mort et de mutilation. (Elle ne fut pas brève. La chair a supporté la mort et la mutilation . La sensibilité, non.)
Gamma : Si je suis appelé sous les drapeaux, je fuirai en Suisse pour protester contre cette folie. (Je n'ai pas fui. Cela m'était devenu indifférent.)
Delta : Même dans la brutalité de la guerre, un poète, un homme de ressources intérieures, devrait être capable de se battre sans se ravaler au rang de l'animal, de s'élever au-dessus de la boucherie et de garder sa dignité spirituelle. (Tissu de conneries).
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Quand j'y repense, je m'émerveille que le Dr Gros ait supporté, fût-çe un tant soit peu, la raideur de mes jugements, mais le fait est qu'il semblait me porter de l'affection, à sa façon bourrue. Sans doute prenait-il un malin plaisir à titiller mon éthique étriquée et pointilleuse. Il faut dire aussi que, par mon éducation, j'étais en mesure de saisir ses jeux de mots et illustrations comiques qui passaient au-dessus de la tête de ses vieux amis à l'esprit mercantile. Mais je pense que la raison principale de son affection relevait d'un égoïsme nostalgique : il voyait en moi, dans mes ambitions comme dans mes limites, le jeune homme qu'il avait été avant que le temps et le destin ne réduisent son brillant esprit aux reparties de bistrot, et n'érodent l'ampleur de ses aspirations aux dimensions d'une prospère petite clinique de province.
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"Le docteur Montjean va se charger de rédiger votre ordonnance", disait-il au patient avec un bon sourire. "Vous pouvez avoir toute confiance en lui. Oh, bien sûr, l'encre de son diplôme est à peine sèche, mais il est très versé dans les méthodes de soin les plus modernes, du corps comme de l'esprit !" Cette dernière pique visait ma fascination pour les théories alors nouvelles et largement controversées du Dr Freud et de ses disciples. Le Dr Gros tapotait la main de sa patiente (ses malades étaient toutes des femmes d'un certain âge car il s'était spécialisé dans les "troubles" associés à la ménopause) et l'assurait qu'il était très honoré d'avoir un assistant qui avait fait ses études à Paris. Ses yeux écarquillés et le ton admiratif sur lequel il disait "Paris" étaient destinés à suggérer sur le mode comique qu'un simple médecin de province comme lui devait se faire humble devant un brillant jeune homme venu de la capitale et qui avait tout pour lui - hormis peut-être l'expérience, la compassion, la sagesse , le discernement et le succès.
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Les années se sont ainsi écoulées, discrètes et oubliées, et un matin d'automne j'eus soudain quarante-cinq ans. C'était le moment de soupeser l'épanouissement de la maturité à côtés des ambitions de la jeunesse, car il était certain que j'avais déjà accompli tout ce que je serais jamais capable. Seul, assis devant mon bureau au soir de mon quarante-cinquième anniversaire, je me posai la plus banale des questions à l'heure du bilan : Où était donc passé tout ce qui comptait ? Et puis une question peut-être moins ordinaire : Que s'était-il passé, en fin de compte ?
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Au milieu de la foule rassemblée sur la place du village, nous aperçûmes Katya et M. Tréville, aisément reconnaissables, I'un avec son costume de ville et l'autre avec sa robe et ses souliers blancs. lls se tenaient au premier rang des spectateurs qui faisaient cercle autour des protagonistes de la pastourelle de Robert Le Diable. Katya souriait affectueusement comme s'ils étaient de ses amis, et son père suivait avec attention, griffonnant de temps en temps des notes sur un calepin. Le Diable et le Cheval se lancèrent dans une bouffonnerie grivoise, tandis que le héros exécutait la danse du Verre : entre deux entrechats fulgurants, il retombait, en gardant l'équilibre grâce à ses chaussons souples de danse, sur les bords d'un verre épais qu'on avait rempli de vin et calé par terre entre les pierres devant lui. A deux reprises, le verre se renversa, puis il vacilla, mais chaque fois on le replaça avec des cris d'encouragement jusqu'à ce que le danseur effectuât trois sauts de suite sans renverser le vin, pertormance saluée de tonnerres d'applaudissements et du fameux cri basque, hennissement tonitruant des spectateurs les plus enthousiastes, lesquels étaient nombreux à avoir déjà un coup dans le nez, comme on dit dans la région.
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Et pour nous suivre, c'est là : INSTA : https://www.instagram.com/librairiedialogues FACEBOOK : https://www.facebook.com/librairie.dialogues/ TWITTER : https://twitter.com/Dialogues
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