Citations sur Guerres du monde émergé, Tome 2 : Les deux combattantes (19)
- Tu veux savoir la vérité ? La vérité, c'est que les gens se lassent vite de la paix. Quand les vieux ennemis ont été abattus, il leur en faut de nouveaux, et les périodes de paix n'ont qu'un seul but : préparer un nouveau bain de sang."
- Quand on est heureux, on dit n'importe quoi, on est prêt à croire que cela durera toujours. Or cela ne dure pas toujours.
- Je voudrais pouvoir t'aimer, je te l'ai dit, je le voudrais vraiment. Tu crois que ça me plait, cette solitude, cette souffrance ? Tu crois que ma vie me plait ? Mais je n'y arrive pas, je n'y arrive pas !"
- J'ai un objectif. J'accomplis une mission dont dépend le sort de beaucoup de gens, et à laquelle je me consacre corps et âme. A quoi bon perdre du temps à penser que ça pourrait mal tourner, que je pourrais échouer ?
Je suis tes chaînes, Doubhée, je suis ta malédiction. Tu me dis que je suis tout pour toi, que tu es perdue sans moi ; mais c'est le contraire. Et tu dois être libre, comme avant de me rencontrer. Oublie l'amour que tu éprouves pour moi. Il y aura d'autres hommes, que tu aimeras encore plus, et qui sauront t'aimer, toi, et non celles qu'ils voien en toi.
- Quelle histoire t'es tu encore inventée maintenant pour te refuser le bonheur, hein ?
"Oublie-moi, Dhoubée, oublie-moi et pardonne moi si tu peux.
- Quelle histoire t'es tu encore inventée maintenant pour te refuser le bonheur, hein ?
Il bascula sur le dos, la respiration haletante , et hocha la tête. Doubhée tenait son arc à la main. Il s'était fait piéger comme un débutant, et il ne supportait pas de se montrer à elle sous cet angle.
C'est étrange comme il a pris un peu de nous deux...Je voudrais tant que tu le voies, il te plairait. Il a les cheveux roux de son père, à peine plus foncés, mais ses yeux violets sont les miens. Ce que j'aime le plus, ce sont ses oreilles : ce ne sont pas tout à fait des oreilles d'humains, mais elles ne sont pas non plus aussi pointues que celles des demi-elfes . Entre les deux je dirais. Je les couvriraient de baisers du matin au soir. C'est un miracle, Ido, un miracle ! Tu ne peux pas imaginer à quel point c'est magnifique. C'est une expérience que je voudrais que tu connaisses, toi aussi.
Avait dit Nihal.