Le tome final de cette seconde trilogie est encore plus poussif que les deux tomes précédents et il faut s'accrocher pour aller au bout des 500 pages. Les péripéties sont attendues et l'histoire avance au rythme d'un buldozer arthritique tant l'auteure annonce chaque événement : ce ne sont plus des indices, ce sont des poutrelles fluo dans un cimetière militaire. Avec cela le style est de plus en plus dégoulinant : « Doubhée le regarda avec gratitude et lui caressa la joue avec une douceur infinie » ou « un sourire amer éclaira ce visage d'une beauté surhumaine »…
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