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Critique de Laurence64
Trois euros à dépenser, quelques minutes à plaisamment remplir et une humeur maussade à vaincre? Les 22 pages d'Imbroglio y pourvoiront.
Lewis Trondheim se livre à un exercice de style, digne de Queneau. Je suis certaine que le chantre cher à mon coeur de l'oulipisme aurait plébiscité cette mini-bande dessinée cocasse et captivante.
Puisque je parle d'oulipisme, je me dois d'évoquer les contraintes (et tant pis si Trondheim n'a pas travaillé ainsi):
Contrainte 1: un huis-clos
Contrainte 2: trois personnages
Contrainte 3: un maximum de rebondissements possibles.
Contrainte 4: plagier "Santa-Barbara" ou "Amour Gloire et Beauté" ou toute autre série aussi américaine qu'inepte.
Plongeons-nous donc dans des considérations vilainement matérialistes et disputons-nous (nous sommes trois, rappelez-vous)... Vous n'êtes pas au bout de vos surprises...
Lewis Trondheim se livre à un exercice de style, digne de Queneau. Je suis certaine que le chantre cher à mon coeur de l'oulipisme aurait plébiscité cette mini-bande dessinée cocasse et captivante.
Puisque je parle d'oulipisme, je me dois d'évoquer les contraintes (et tant pis si Trondheim n'a pas travaillé ainsi):
Contrainte 1: un huis-clos
Contrainte 2: trois personnages
Contrainte 3: un maximum de rebondissements possibles.
Contrainte 4: plagier "Santa-Barbara" ou "Amour Gloire et Beauté" ou toute autre série aussi américaine qu'inepte.
Plongeons-nous donc dans des considérations vilainement matérialistes et disputons-nous (nous sommes trois, rappelez-vous)... Vous n'êtes pas au bout de vos surprises...
