Le narrateur, Hughes et Habéké sont copains. Un point commun les rapprochent : ils ont tous les deux été adoptés. Ensemble, ils vont se construire un monde à leur image. Un monde puisé dans les croyances africaines de Habéké et leurs croyances enfantines.
J'ai eu un peu de mal à embarquer dans l'histoire, je trouvais les phrases dérangeantes et étranges. Mais par la suite, malgré leur étrangeté, certaines phrases m'apparaissaient très belles. J'ai beaucoup aimé les métaphores, les jeux de mots et autres qui fleurissent dans la prose de l'auteur. J'ai eu du mal à situer leur âge. Les actes sont enfantins, irréfléchis mais font suite à de grandes réflexions.
Je lirai bien un autre roman de
Sylvain Trudel !
(Ce roman est en partie autobiographique, non ?)
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