Les 20 premières pages sont sympas.
Les 300 suivantes sont une discussion philosophique à 4 sur un ultralibéralisme impossible tant il est horrible. C'est assez particulièrement éprouvant.
Pour les 50 dernières pages, ça commence enfin à bouger un peu... et ça s'arrête.
Les autres critiques dithyrambiques m'ont poussé à continuer la lecture.
Mais si à la 50 ou la 100ème page ça vous ennui, fuyez!!!!
La créature, c'est la face sombre du cybionte dont parle
Joël de Rosnay dans
l'homme symbiotique, beaucoup plus sympa.