L’ouvrage constitue donc une porte d’entrée assez divertissante et parfois stimulante à la littérature du XVIIIe siècle et surtout à ses à-côtés oubliés par le canon littéraire, tel que l’ont eux-mêmes en partie constitué les écrivains du siècle.
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Voltaire le premier, et bien d’autres, ne plaisantaient pas avec la belle langue, montre la chercheuse Jennifer Tsien.
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