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EAN : 9782072786006
368 pages
Gallimard (07/11/2019)
3.77/5   15 notes
Résumé :
Washington D.C. suffoque sous le soleil d'août et la capitale fédérale semble désertée par ses habitants. Sullivan Carter, journaliste, se rend au Capitole pour couvrir les débats sur la législation environnementale en vigueur dans les exploitations pétrolières du Golfe. Alors qu'il traverse la Crypte, une fusillade éclate. L'ancien reporter de guerre se rapproche au plus près de la scène pour couvrir en direct l'évènement.

Dans un bureau, Sully déco... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (2) Ajouter une critique
Dans les ouvrages de série noire de Gallimard, ce polar a retenu mon attention. C'est le journaliste Sully Carter, ancien correspondant de guerre, qui se trouve en plein dans l'horreur : une fusillade éclate au Capitole en plein mois d'août à Washington et le principal suspect arrive à s'enfuir. Ensuite, ce n'est plus qu'une traque plus ou moins bien réussie du tueur. En fait Sully cherche à comprendre les motifs de son acte et il remonte à sa mère. Leurs deux mères ont eu une mort affreuse. Terry Runnings, le tueur, veut savoir comment c'était de vivre avec ça toutes ces années. Grandir avec ça. Il voulait savoir comment ça le rongeait. Il voulait savoir, si jamais il en avait l'occasion, s'il tuerait son meurtrier. Si cela ferait de lui une mauvaise personne. Sully arrive à remonter jusqu'à Saint E. – le premier hôpital psychiatrique du pays où tous les assassins de présidents étaient enfermés là. Et petit à petit il comprend le cheminement dans le cerveau du tueur. C'est intéressant et très prenant à la fois.
De plus, j'ai vu que l'auteur américain a repris le journaliste Sully dans deux autres polars. Il ne me reste plus qu'à les trouver en traduction française.
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Ouh la la ! Encore une incroyable Série Noire, qui commence comme un film d'action hollywoodien, et continue sur une enquête où le méchant est terriblement dingue, et où se rend compte que tout n'est peut-être pas aussi simple qu'il y paraît. Attendez-vous à des surprises !

On tourne les pages sans voir le temps passer, et on referme le livre sur un " ouaaa ! " de plaisir.

À lire si vous avez envie d'être secoué (e)

#SeulesLesProiesSenfuient #NeelyTucker #SérieNoire #Gallimard #Polar #thriller #lecture #livres #chroniques

Le quatrième de couverture :

Washington D.C. suffoque sous le soleil d'août et la capitale fédérale semble désertée par ses habitants. Sullivan Carter se rend au Capitole pour couvrir les débats législatifs.
Alors qu'il traverse la crypte, une fusillade éclate. L'ancien reporter de guerre retrouve ses vieux instincts et se rapproche au plus près du danger. Dans un bureau, il découvre le corps d'un représentant de l'Oklahoma, des pics à glace enfoncés dans les orbites. Quand l'équipe d'intervention de la police arrive sur les lieux, le tireur a déjà disparu. Mais lorsque paraît l'article de Sullivan, le meurtrier – Terry Running Waters, Amérindien au casier judiciaire bien rempli – prend contact avec lui…
Sullivan décide alors de suivre sa propre piste, en marge de l'enquête officielle, qu'il estime bâclée.
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Les hurlements l'empêchaient de compter les coups de feu. Ça tirait de partout. Bon Dieu, ce vacarme. Amplifié par les escaliers en marbre, le sol en pierre, les colonnes, renvoyé en écho dans les longs couloirs. Des femmes. C'étaient surtout des femmes qui criaient, mais quelques hommes aussi ; d'une voix grave et enragée, ils braillaient qu'ils avaient été touchés.

La femme en face de lui, dans la crypte du Capitole, saignait abondamment. Elle avait pris une balle dans la poitrine et s'était mise à hurler. Elle n'émettait plus désormais qu'un gémissement. Le sang qui se répandait au sol était devenu plus sombre et formait une immense flaque marron qui ne cessait de grossir.

Les tirs avaient la cadence d'une arme automatique, pop pop pop. Devenus sporadiques, lointains, ils ressemblaient davantage à des échos qu'à des détonations. Il n'avait aucune idée du nombre de tireurs présents dans le bâtiment, ni de l'endroit où ils se trouvaient.

Sully Carter, à l'abri derrière l'une des doubles colonnes en grès qui formaient la ceinture extérieure de la crypte, regarda vers le centre de la pièce circulaire, puis vers les murs. Dix, peut-être une douzaine de personnes tapies derrière les colonnes ou sous les présentoirs. Certaines étaient blessées, d'autres restaient cachées. Aucune ne prononçait un mot. Toutes respiraient bruyamment et semblaient devenues les passagers d'un avion sans pilote.

Et merde !

Il souffla et se mit à ramper vers la femme blessée. Elle était allongée sur le dos. Il s'agenouilla et lui prit la main. Sa respiration était pénible à cause de l'effort et de l'adrénaline. Elle présentait deux blessures, sur le haut du torse et à l'abdomen. Le sang en jaillissait comme une rivière. Elle ouvrit les yeux lorsqu'il exerça une pression sur sa main, mais seule une faible lueur y brillait.

« Vous m'entendez ? murmura-t-il. Hé ! Clignez des yeux pour dire oui. On va sortir d'ici. » Il tourna la tête vers la droite pour voir la sortie. À l'idée de la transbahuter jusque-là, la porte parut soudain bien loin, à deux kilomètres et demi.

Elle avait des cheveux châtains frisés, des yeux verts, de petites boucles d'oreilles bleues et trop de maquillage. Son mascara coulait. La petite trentaine. Un cordon autour du cou, muni d'un badge. Elle portait une jupe et une élégante veste bleu marine sur un chemisier blanc froissé, maculé de rouge. Elle avait perdu l'un de ses escarpins noirs. Trapue. S'il passait un bras derrière ses genoux et l'autre dans son dos… non. Il allait devoir la prendre sur ses épaules.

« Vous sentez ma main ? Comme ça ? » Il exerça quelques pressions rapides. Elle cligna des yeux et sa bouche s'entrouvrit. Stupéfait, Sully regarda une très fine bulle de salive teintée de rose naître sur ses lèvres, gonfler puis exploser.

Elle ne lui rendit pas la pression de sa main.

« Bon Dieu ! » dit-il.

Le sang qui pulsait à travers sa blouse commença à s'écouler de manière irrégulière. Elle le regardait fixement, ensuite ce fut le calme, l'abandon, la main qui lâche la barre du trapèze et flotte, flotte, le sol qui disparaît, voltigeant simplement dans le vide. Un instant, il eut un vertige. Il ne voulait pas lâcher prise.

Ça s'agitait derrière lui. Les survivants sortaient de leurs cachettes, abandonnaient leurs recoins sûrs, couraient comme des damnés vers la sortie ou dans le couloir qui menait au Sénat, loin des coups de feu.

Quelqu'un déclencha l'alarme incendie.

Sully regarda sa montre. À peine plus de 17 heures. Il était dans le bâtiment depuis environ une heure, en remplacement de Clarice. Washington au mois d'août, la pire période de l'année. Tous les gens importants étaient en vacances. Sully travaillait, comme les permanents du Capitole : coincés en ville, en pleine canicule.

On lui avait demandé un article sur la législation environnementale en vigueur dans les exploitations pétrolières du Golfe. La rédaction avait fait appel à lui car le Golfe revenait au-devant de l'actualité et ils s'étaient dit qu'il connaissait sans doute le sujet. Et aussi parce qu'il était corvéable et assez stupide pour ne pas se prélasser sur les interminables plages de Caroline du Nord ou des Caraïbes à cette époque de l'année. Puis, dans les heures molles de l'après-midi, il y avait eu plusieurs détonations : des tirs à l'arme automatique. Le sang et les de rose naître sur ses lèvres, gonfler puis exploser.

Elle ne lui rendit pas la pression de sa main.

« Bon Dieu ! » dit-il.

Le sang qui pulsait à travers sa blouse commença à s'écouler de manière irrégulière. Elle le regardait fixement, ensuite ce fut le calme, l'abandon, la main qui lâche la barre du trapèze et flotte, flotte, le sol qui disparaît, voltigeant simplement dans le vide. Un instant, il eut un vertige. Il ne voulait pas lâcher prise.

Ça s'agitait derrière lui. Les survivants sortaient de leurs cachettes, abandonnaient leurs recoins sûrs, couraient comme des damnés vers la sortie ou dans le couloir qui menait au Sénat, loin des coups de feu.

Quelqu'un déclencha l'alarme incendie.
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Ses lèvres étaient entrouvertes et sèches. Sa langue s'enfonçait dans sa bouche. La sueur trempait son front, mouillait ses cheveux, gouttait de son menton. D'après l'odeur, il avait fait dans son froc, mais Sully préserva sa dignité en évitant de regarder.

« Hé, hé ho », murmura-t-il en forçant sa voix pour être entendu malgré le bruit de l'alarme. « Tu vas bien ? Tu m'entends ? »

Le gamin cligna des yeux et déglutit.

« Où ? demanda Sully un peu plus fort. Où sont-ils allés ? »

Le gamin le regarda, il clignait les yeux et ses yeux marron ressemblaient à ceux d'un chiot qui attend devant le portail. Sully estima son âge à vingt ou vingt et un ans. Il léchait sa lèvre supérieure perlée de sueur et l'observait comme s'il voyait un animal échappé du zoo. Au moins il avait arrêté de crier.

« Tu m'entends ? Les mots qui sortent de ma bouche, tu les entends ? »

Le gamin cligna à nouveau les yeux, passa la langue sur sa lèvre et acquiesça.

« OK. C'est un peu cinglé tout ça, non ? » Sully sourit et lui passa une main dans les cheveux, comme pour lui signifier que la journée avait été longue et que c'était normal d'être un peu fatigué, un peu à côté de la plaque. Le gamin était dans un tel état de choc que si Sully avait fait rebondir un ballon de basket sur son crâne, il aurait également approuvé.

« Tu peux me dire ton nom ? Vas-y, essaie. »

Il fit non de la tête. Il regardait les cicatrices sur le visage de Sully.

« C'est cool, c'est cool. Vraiment. Mais maintenant, tu vas rentrer à la maison, tu le sais, ça ? Tu seras chez toi avant qu'il fasse nuit. On va te remettre sur tes jambes et sortir. »

Le gamin acquiesçait, soufflait légèrement, le corps fortement crispé. Le mot assez traversa l'esprit de Sully. Des soldats étaient encore plus jeunes que lui. Des types avec des armes capables de vous descendre à cent cinquante mètres de distance avant de venir vous en coller une autre en pleine tête.

« Bon, sérieusement, combien, mec ? Je dois savoir, tu comprends ça ? De combien de types armés on parle, là ? »

Le gamin leva un doigt.

« Un. Il ressemble à quoi ce type ?

— Il avait un flingue. » La voix tremblait, s'interrompait, mais enfin il parlait.

« Très bien. Grand, petit, blanc, noir, habillé comment ?

— Le flingue.

— OK. OK. Très bien. On peut s'occuper d'un flingue, pas vrai ? Bien. Voilà ce que je veux que tu fasses : tu vas suivre ce couloir juste derrière nous, d'accord ? Tu verras un escalier. Tu le descends, tu tomberas sur un long couloir, tu sors. Dis à la police que le rez-de-chaussée est, disons, clair, et que les choses se passent au premier étage, dans l'aile de la Chambre des représentants. »

Le gamin acquiesça et resta immobile.

« Un type, un flingue, la Chambre des représentants », dit Sully.
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Progressant en crabe tout en surveillant les angles de tir, il gravit l'escalier le dos courbé. Deux autres détonations le stoppèrent. L'acoustique du bâtiment, la pierre et le marbre, les plafonds voûtés formaient une chambre d'écho. Impossible de déterminer l'origine des coups de feu.

Une sensation gagnait tout son corps, semblable à l'effet que le bourbon avait si souvent produit sur son cerveau malmené et sans doute endommagé. Son pouls se stabilisa et sa respiration se fit plus ample.

Le chaos lui allait bien.

Au sommet des marches, il se redressa et, avançant jusqu'au bord de la rotonde, détailla la partie supérieure de l'atrium. Sons, couleurs, calme. Et aussi : une mare de sang. Cinq, six, sept cadavres étaient étendus sur les dalles. Deux portaient un uniforme. Les grandes statues observaient. La lumière coulait du plafond.

Le corps d'un homme vêtu d'un costume marron était allongé, presque au centre. Un autre, les vêtements en crépon de coton, était affalé au milieu du passage, sur le ventre. Touché au visage, la force de l'impact lui avait arraché l'arrière du crâne. Partout, des éclaboussures, des agrégats sanguinolents, gris, rouge, marron, tels les résidus d'une pluie de confettis grotesques. Quelques mètres plus loin, les deux officiers reposaient sur le dos. À une dizaine de mètres, légèrement sur sa gauche, tous deux étaient sur le seuil de la Chambre des représentants. Ils étaient arrivés en courant par le couloir de la Chambre du Sénat, se dit Sully, et on leur avait tiré dessus de face. Ce qui voulait dire que le ou les tireurs étaient dans l'aile de la Chambre des représentants, sur sa droite.

Les hurlements se firent à nouveau entendre. En montant l'escalier, il avait cru que c'était une voix de femme, mais il se rendait compte à présent qu'il s'agissait d'un jeune homme. Affalé contre le mur du fond, à moitié caché derrière une grande statue de marbre, le gamin pressait sa main gauche contre son épaule droite pour tenter de ralentir l'hémorragie. Le sang dégueulait entre ses doigts, sur son costume. Sans doute un jeune huissier. Ses pieds raclaient le sol, comme s'il essayait de s'encastrer tout entier dans le mur.

Il cria jusqu'à ce que ses poumons soient vides. Puis sa poitrine se souleva, il regardait toujours le sang qui pulsait de son épaule, et recommença à hurler. Un beuglement long et aigu, qui paraissait naître au fond de son être et qui, une fois à l'air libre, rebondissait contre les murs jusqu'à ce qu'il tousse, tousse et tousse encore. Des vomissures bouillonnèrent sur ses lèvres et tombèrent sur son costume. Il cracha. Il lança ensuite un autre gémissement, une demi-octave plus aiguë que le précédent.
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Un silence suivit, quelques grommellements, puis le bruit d'une allumette que l'on gratte. Une lueur dans les ténèbres et un grésillement. Quelque chose passa très vite à côté de lui, brillant, et heurta le sol. L'objet glissa et des étincelles rouges et blanches illuminèrent le couloir. Une fusée éclairante. Des mouvements. Des bruits d'échauffourées, un grognement, une fermeture éclair, un cliquetis, quelque chose de dur et de métallique qui frappait les dalles. Enfin, doux comme un pétale de rose, des bruits de pas.

Seigneur. Sully ne respirait plus. Les pas s'approchaient, lentement et régulièrement. Tandis qu'il regardait par la minuscule ouverture – sa seule chance de voir le tireur –, soudain il comprit. Son stylo. Son stylo était coincé dans la porte, créant cette étroite fenêtre. Il dépassait dans le couloir, au niveau du genou. Impossible de ne pas le remarquer maintenant, dans le ballet de lumières de la fusée.

Les pas se dirigeaient vers lui puis le dépassèrent, le corps de l'homme se trouvait entre Sully et la lueur, l'illuminant à contre-jour. La première chose qu'il distingua, ce fut la queue de cheval. L'homme avait les cheveux filasse et l'air perdu. Sully respirait aussi lentement qu'un nageur.

L'homme saisit l'extrémité inférieure de la fusée, la tint dans sa main gauche. La lumière dansait dans le couloir. Il se leva et se retourna. Sully remarqua son jean et un T-shirt noir, un visage glabre.

Durant une seconde – une fraction de seconde –, il pensa que l'homme observait la porte des toilettes et le stylo qui en dépassait. Mais ensuite la lueur s'éloigna dans le couloir, dans la direction par laquelle le tireur était venu, un cierge magique qui tournait à l'envers, jetant des ombres qui bondissaient et tournoyaient. La fusée passa devant la porte, rebondit sur le sol et glissa, s'arrêtant un peu plus loin.

Lorsque Sully regarda à nouveau, l'homme était parti.

Il n'y avait rien. Pas d'ombre, pas de pas, pas de bruit. Le sifflement de la fusée, la lumière pâle qui palpitait au bout du couloir, le souffle de sa respiration. C'était tout. Il gardait les yeux rivés sur l'ouverture. Il était possible que le tireur se soit collé contre le mur pour attendre que Sully sorte, mais il en doutait. Si le type avait voulu forcer la porte, il l'aurait déjà fait.
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— … pour, quoi, OK. Écoute, je pistais Evans, la sénatrice de chez moi qui a approuvé ces forages, comme j'étais censé le faire – merde, Clarice, pourquoi est-ce que c'est moi le remplaçant ? Je me rends à cette audience qu'Evans est censée tenir, mais il y a trois pelés et personne au perchoir ou à l'endroit où ils prennent la parole, OK ? L'estrade, c'est ça ? Alors je fais demi-tour, je traverse la rotonde en me disant que je me suis trompé de salle, ensuite il y a ce bruit, ce tapage au loin, c'est comme si tu étais sur la plage et qu'un type à quatre cents mètres de là se mettait à hurler “Requin !”, mais tu ne peux pas l'entendre à cause du vent. Pourtant, il est évident qu'il y a problème. À ce moment-là, c'était au rez-de-chaussée. Sans le moindre doute, au rez-de-chaussée. Les gens se mettent à courir comme du bétail affolé, ils crient : “Il a un flingue ! Il a un flingue !” Comme ça. Des détonations, une, deux, une demi-douzaine, on ne peut pas vraiment dire combien parce que tout est en marbre et dallé et il y a des échos partout. Alors j'ai couru, j'ai entendu des coups de feu, mais la salve suivante était à l'étage parce que…
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