Emma et Paul Blum ont une mère possessive, une mère juive, un peu sur le même modèle que celle d'
Albert Cohen.
Difficile parcours que celui d'enfants devenus adultes mais qui resteront éternellement les petits d'une mère à l'amour dévorant.
Le roman de
Karine Tuil se lit avec avidité, le rythme est relevé, les dialogues sont croustillants d'humour, en bref: une lecture agréable et distrayante sur un thème qui n'est pas nouveau mais traité de façon originale.
Du sexe féminin, une petite pépite à (re)découvrir...
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