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Valérie Dariot (Traducteur)
EAN : 9782714446145
408 pages
Belfond (22/04/2010)
3.46/5   108 notes
Résumé :
Des quartiers huppés de New York au sombre dédale des rues praguoises, un nouveau thriller irrésistible par la reine du suspense psychologique. Et si vous découvriez que l'homme qui partage votre vie n'est pas celui que vous croyez ? Romancière à succès, Isabel file le parfait amour depuis cinq ans avec Marcus Raine, un immigré tchèque à la tête d'une société high-tech florissante. Un soir, Marcus ne rentre pas et le cauchemar commence. Agressée par de faux agents d... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (31) Voir plus Ajouter une critique
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Il y a une chose que j'aime bien dans les bouquins de Lisa Unger, c'est tout le background psychologique de ses personnages. Comment elle fait « reproduire » les événements et comment elle fait des liens dans ce qui leur arrive, avec leur passé, leurs fêlures et leurs névroses. de ce côté-là, c'est plutôt bien vu et bien fait.

Il y a des choses que je n'ai pas du tout apprécié dans ce livre, aussi. D'une part la « stupidité » de l'héroïne, qui se fourre dans des situations débiles dans lesquelles personne de censé n'irait se fourrer. Sa réaction à ce qu'elle vit ne m'a pas vraiment paru convaincante. Il y a donc un souci entre ce que l'auteure décrit de son background psychologique et comment elle réagit à ce qui lui arrive.

Je n'aime pas non plus les réflexions du genre « je ne savais pas que cela se révélerait plus tard être une belle erreur ». ça m'énerve prodigieusement, ce genre de remarque. Garde-les pour toi, raconte nous ton histoire et laisse nous en juger par nous – mêmes, s'il te plait. Comme souvent, l'auteur ici fait un effet de style qui est à mon sens raté. Ça enlève du suspens, ça anticipe sur ce qu'il va se passer. Si l'auteur sait où il va, tant mieux pour lui, c'est sûr que c'est bien plus efficace. Mais il n'a pas à le faire savoir à son lecteur, c'est inutile et de mon point de vue, carrément « bouffe suspens », je déteste ça.

En bref, je l'ai lu, ça se laisse lire, l'histoire et le passé des deux soeurs est plutôt intéressant, mais alors, le traitement de l'intrigue, je l'ai trouvé presque mauvais, c'est dommage. Après, ,il est vrai qu'il y a des gens qui ne font dans leur vie que se foutre dans la m****, et même si ça ne me parle pas, ça arrive. Mais bon, là, euh, c'est un peu trop.

Et la fin est encore moins réaliste que tout le reste…
Livre lu pour le défi ABC, qui ira aussi dans le multi-défi.
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Acheté en mai 2015 et commencé en cette nuit de novembre 2019. Comme quoi mes livres peuvent attendre longtemps sur les étagères, prendre de la poussière mais avec la certitude d'être lus un jour.
Une disparition. Une enquête. Entre les deux, des brides de vies et des souvenirs épars qu'une femme tente de rassembler.
Lisa Unger joue sur les fibres sensibles. Une fragilité enveloppe ses mots mais aussi la détermination, l'acharnement d'une femme qui aime et qui ne lâche jamais.
Le côté psychologique a un impact sur le lecteur. Un thriller qui manque d'ingéniosité.
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Plein de clichés dans ce livre, Isabel Raime, auteure, nom de jeune fille Connelly, prétentieuse va, écrit le livre tiré des aventures qu'elle nous conte présentement. C'est compliqué, pas forcément. Ce qu'il l'est, en revanche, c'est de la suivre, flash-backs, retour au présent, vie avec Monsieur, Prague, New York, difficile quand même, on s'essouffle vite à force et c'est qu'elle court vite la dame et heureusement avec toutes ces balles qui lui sifflent aux oreilles...
Je ne sais pas, il manque quelque chose. Livre berçant, pas désagréable, pas génial, un coup polar un coup philosophique à deux balles, sans saveur, inodore, pas grand chose. Cela aurait pu être bon mais ça ne l'est pas, pourquoi, je ne saurais dire, le petit plus qui manque, on ne mord pas au truc, trop conventionnel, il y a du Patricia McDonald ou du Ruth Rendell dans son écriture à la Lisa, mais pas dans leurs meilleurs jours.
En fait je n'y ai pas cru, non, cousu de fil blanc. Dès le début on sait (enfin moi) que le Marcus est un filou, que la frangine est trop belle pour être honnête et la Isabel très très téméraire, trop, c'est vrai à un moment on s'arrête et on se pose pour réfléchir, pas elle, fonceuse, tête la première, bref pas crédible.
L'écriture est gentillette, sans plus. On aura connu mieux.
Je reconnais, quand même, que la balade tant dans Prague que dans New York est bien ficelée et agréable. C'est un peu mince cependant pour en faire un chef d'oeuvre.
Lien : https://www.babelio.com/livr..
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Je deviens peut-être plus exigeante au cours du temps mais ce livre ne m'a pas enthousiasmée, je vais l'oublier dès qu'il sera posé dans la bibliothèque. Je l'ai trouvé long, beaucoup trop long.
Certes, le scénario est plutôt bien mené mais il n'y a pas assez de profondeur chez les personnages. J'ai lu l'intrigue qui se complique au fil des pages mais je n'ai pas tremblé avec Isabel, je ne me suis pas attachée aux personnages, en fait je n'ai rien ressenti. Aucune émotion en lisant ce livre et pourtant le thème aurait pu laisser penser le contraire...
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Comme j'ai pu le voir sur d'autres critiques, et comme je l'avais déjà pensé avant (si, si, croyez moi !), Lisa Unger est une sorte de Harlan Coben au féminin. Et elle oeuvre un peu plus au sud. Bon, je m'avance un peu, car après tout, c'est le premier bouquin de cette auteure que je lis. Mais ma conviction est déjà assez assurée.

Donc dans ce livre, Isabel, écrivaine à succès, voit son monde s'effondrer quand elle s'aperçoit que son mari vient de disparaître avec tous ses secrets, visiblement nombreux ! Mais malgré les dangers, elle ne va pas se laisser faire et tout faire pour remonter le fil de l'histoire.

Donc comme pour Harlan, ça se lit facilement, un "page turner", je crois que ça s'appelle ; ça trucide pas mal, ça couche un peu de ci de là (peut-être plus que chez Harlan), et au final.... non je ne spoile pas !

Assez amusant, dans la post-face, de lire que l'auteure a choisi de décrire Prague à la suite d'un échange d'appartement. Décidément, il faut que je me lance dans le polar, parce qu'avec la quarantaine d'échanges de maison que j'ai effectués, j'aurais de la matière ! Mais ça m'étonnerait que j'ai les qualités pour cela. Et j'ai d'autres projets.

Donc, j'en reviens à ce livre, c'est plutôt pas mal. D'ailleurs, j'ai acheté un autre livre de cette auteure.
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
Avec l'âge, la passion s'était émoussée. Je suis devenue plus réservée et j'ai perdu de mon intransigeance. Je me suis mise à éviter les grandes discussions politiques que j'avais tellement aimées. Désormais, les disputes religieuses, morales, existentielles me mettaient mal à l'aise. Il y avait tellement d'avis différents et tellement de gens sûrs de leur fait. Au fil du temps, j'en suis venue à me dire que le monde était d'une complexité impossible à démêler, que les divergences étaient souvent inconciliables, et j'ai perdu le goût de batailler.
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J'avais compris que tout ce qui nous semblait solide et immuable pouvait disparaître du jour au lendemain. C'était une réalité de la vie et non une illusion surgie de l'esprit .... Tout ce qui est solide et pesant dans notre vie est fait de millions de particules en mouvement qui nous donnent l'illusion de la permanence. Mais toute matière posède une tendance naturelle à se désintégrer. Certaines choses partent simplement plus vite que d'autres et de façon plus inattendue ...
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Un calme étrange m'avait envahie, un peu comme si mon cerveau avait disjoncté. L'organisme humain peut encaisser une certaine dose de douleur, de peur et de chagrin, au-delà de ce seuil nos circuits menton se mettent en état de black-out. C'est le moyen qu'a trouvé notre psychisme pour surmonter les traumatismes, m'avait expliqué un psychiatre que j'avais interrogé dans le cadre de mes recherches pour la rédaction d'un de mes romans. Je comprenais mieux maintenant ce qu'il avait voulu dire.
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- Une femme mûre se doit de porter des bijoux. Plus ils sont gros et mieux c'est, aime-t-elle à dire. Elle a gagné le droit de les porter et ses bijoux sont une distraction quand sa beauté s'en va. Je ne suis peut-être plus jeune, mais au moins je suis riche. C'est déjà ça.
Voilà ma mère dans toute sa splendeur.
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Elle parlait toujours du bonheur comme d'une loterie dont elle attendait de remporter le gros lot. Alors que, pour lui, le bonheur n'était qu'une affaire de point de vue sur la vie.
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Videos de Lisa Unger (4) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Lisa Unger
6 oct. 2021 Lisa Unger joins Carol to talk about her new novel, LAST GIRL GHOSTED, which is her 19th book.
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