Ce n'est pas tous les jours que vous verrez un cercueil comme ça, dit Penwarden en faisant face à son visiteur, au-dessus du drap mortuaire. Les temps changent. Les gens ne pensent plus au lendemain, ni même à la semaine suivante. Ils ne s'inquiètent pas des embêtements qu'ils vont causer à leur famille ou à l'Etat quand ils mourront. Y a plus d'amour-propre, de nos jours... on tâche de travailler le moins possible pour le plus d'argent possible et on refuse de réfléchir, parce que réfléchir, ça fait souffrir. p.36-37
- Vous voulez l'essayer?
- Le cercueil?