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Critique de Yendare


J'ai continué ma lecture en compagnie de Ginko le Mushishi et ai passé un agréable moment à la lecture de ce second tome dont j'aime beaucoup la couverture. J'ai également bien apprécié les quelques pages colorés au début et milieu de ce tome.

Nous retrouvons donc comme dans le premier tome Ginko au travers cette fois de 5 petites histoires que j'ai trouvé dans l'ensemble plus sombre que celle du premier tome notamment la dernière que j'ai trouvée terrible. Un Mushishi infecte le foetus d'une femme enceinte, à la naissance c'est une boule gluante qui sort et celle-ci s'enfuit alors sous le plancher ou le toit du foyer avant d'envoyer après un an au parent un champignon humain ressemblant à un bébé qui d'une durée de vie limitée lâche une grande quantité de spore à sa mort pour nourrir ses frères et soeurs qui prolifèrent sur le toit, la solution : tuer le champignon avant sa mort.J'ai trouvé qu'il fallait être un peu tordu pour imaginer une telle intrigue.

Heureusement certaine histoire sont plus légères avec des perspectives de guérison et quelques guérisons bien que j'aie eu l'impression dans ce tome qu'on ne se remettait dans la plupart des cas jamais vraiment après avoir été parasité par un mushi. Les personnes en gardes des cicatrices physique ou mentale. le personnage de Ginko quant à lui reste très mystérieux et on n'apprend pas grand-chose pour ne pas dire rien sur lui au cours de ce tome.

Il se cache donc derrière les belles couvertures de ces mangas des histoires plus sombres que je ne l'avais imaginé lors de la lecture du premier tome. Je suis curieux de lire la suite et de découvrir quelle autre sorte de mushi l'auteure à inventé et les dégâts que ceux-ci causes à leurs pauvres victimes.
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