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J'aime les polars historiques qui nous immergent totalement dans une époque. Et celui-ci est fort réussi.

Direction les bas-fonds de Londres, deuxième moitié du XIXème siècle sur les pas d'un inspecteur de Scotland Yard, intègre et obstiné, chargé d'interroger des témoins dans le cadre d'un scandale qui, s'il éclate, impliquera la famille royale britannique … sans qu'il sache exactement la teneur du potentiel scandale. Procédé très intelligent qui place le lecteur au même niveau que l'enquêteur : comme lui, il découvre progressivement les ressorts sordides de l'affaire, comme lui, il a la nausée à mesure qu'il plonge dans ces bas-fonds.

Basé sur des faits réels ( le scandale de Cleveland Street en 1889 qui a impliqué le prince Albert Victor de Clarence, petit-fils de la Reine Victoria, et quelques Lords ), le récit policier très bien mené se transforme en critique implacable de l'hypocrisie de la société victorienne et de ses nantis drapés dans un puritanisme de façade, plein de morgue et de mépris à l'égard des indigents.

La description des quartiers mal famés de Londres dans le West End ( autour de Whitechapel, Stepney ou Limehouse ) est très vivante et saisissante : workhouses indignes ( sortes d'hospices où les plus précaires, souvent des filles-mères travaillent jusqu'à 18 heures par jour dans des conditions honteuses ), prostitution omniprésente, lupanars et bordels à foison, trafic d'enfants, filières pour obtenir des fillettes vierges avec certificat médical garantissant la qualité du « produit » … on n'est pas loin d'un Dickens, Palliser ou Stead pour dénoncer toute cette misère qui semble être un miroir inversé de la bonne société victorienne.

J'ai plus de réserve sur la construction du roman, un peu maladroite à mon sens car coupant l'élan de l'action. L'auteur a fait le choix d'une trame contemporaine pour aiguiller le lecteur : un cantonnier découvre dans la tombe d'un cimetière une boîte contenant les carnets complets que l'enquêteur anglais du XIXème anglais a écrit pour soulager sa conscience. Ces passages sont relativement courts par rapport au récit des carnets, mais je les ai lus en ultra diagonale, les jugeant peu intéressants par rapport à l'intrigue dix-neuvièmiste, passionnante, elle. Même si j'ai bien compris l'intention louable de l'auteur de dénoncer les violences faites aux femmes du XXIème siècle face à une loi des hommes qui perdure depuis des siècles malgré des avancées certaines.
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Quel roman captivant ! L'auteur a su tenir le lecteur en haleine avec juste un manuscrit retrouvé.
Et bizarrement, ce roman (pour la partie manuscrit) qui se passe pourtant dans l'Angleterre du XIXeme siècle est tellement d'actualité. Il met en évidence que les lois créées hier sont parfois revisitées pour un intérêt bien sombre. Je n'en dirais pas plus et je vais sans doute sembler mystérieuse , mais je ne veux pas spoiler. Car très franchement c'est un roman a lire pour ceux qui aiment être happés par une histoire qui parfois fait froid dans le dos.

Les personnages sont très travaillés et l'écriture agréable. Couper les passages entre passé et présent donne encore plus envie de savoir.. ça rajoute au suspens et on lit ce roman sans s'en rendre compte.

Je suis conquise par ce roman où je découvre l'auteur. Il est fort probable que je continue à lire un auteur qui a su m'emporter.
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" La loi des hommes " , c'est une fois de plus , un roman de Wendall Utroi à ne manquer sous aucun prétexte, d'autant plus qu'il vient de paraître en poche , précision pas forcément inutile dans la mesure où les " grands lecteurs " examinent aussi leur budget .J'avais lu , que dis - je , dévoré, " Les yeux d'Ava " et m'étais bien promis de me précipiter sur " La loi des hommes " , c'est fait .Commencé hier soir , terminé aujourd'hui . du très , très bon , un grand moment à vivre , emporté par une histoire à peine croyable ...
Bon , abordons le point négatif : comment introduire et clore une aventure si " forte " . Un fossoyeur , une boîte en fer , des papiers , une fille , une femme , un futur gendre noir qui porte un prénom connu ....Bon , ça c'est bien gentil ...tiens , oui , gentil , c'est bien l'adjectif qui me vient à l'esprit .Pas mal , peut être, mais pas en phase avec l' extraordinaire récit qui va suivre . Je partage l'avis de mon amie Kirzy dont j'ai lu la critique avant de rédiger la mienne. Je ne spolie pas mais il s'avère que nous avons un fond de pensée très proche , me semble - t - il ...Moi aussi , j'ai trouvé cette " présentation " sans grand intérêt, molle , peu convaincante , voire un peu " mièvre " .....
Le récit qui nous transporte dans les bas - fonds de Londres à l'ère Victorienne , par contre , efface tout ce qui semble " pas génial " . Remarquable , incroyable , inouï . Une enquête qui vous " prend aux tripes" et ne vous lâche pas ou , peut - être plutôt , que vous ne lâchez pas .Vous pénétrez, à travers le portrait et les propos de trois personnages , dans le plus noir de la société londonienne de l'époque. Comme certains personnages , vous serez obligés de vous dire que ce n'est pas possible , que cela n'a pas pu exister . Une enquête , trois personnages improbables , un enquêteur attachant à la moralité incontestable , un autre , détestable, à la moralité plus douteuse ,et , surtout un pouvoir politique ...à la hauteur.... d'un pouvoir politique ...Des " petits " , " intouchables " , " des gros ", d'autres " intouchables " , et toujours les mêmes propos , en ce temps - là , comme ...aujourd'hui .Le message est clair , dans un récit passionnant et cruel ." Non , non , rien n'a changé " ....Je vous laisse apprécier.
C'est très bien écrit, clair , efficace , incroyablement juste avec des personnages dont on se souviendra longtemps , bien différents de ce que pouvait laisser penser le contexte . Des coupables pas si coupables , des hypocrites par contre , bien hypocrites ....voire plus ..
Un message dans les dernières pages , un regard en arrière pour offusquer et faire un constat terrible : et aujourd'hui ?
Wendall Utroi est un auteur de premier plan . Ses deux derniers romans sont , comment dire , ...incontournables , travaillés, sans concession , d'une sincérité incroyable . Ses récits sont addictifs .Une fois " plongés dedans " , on ne peut plus reculer , encore moins renoncer . Lorsque l'on termine , on voudrait pouvoir continuer , voire recommencer . L'histoire si bien racontée appartient certes à un passé qu'on aimerait voir encore plus lointain , mais qui reste encore, hélas, bien actuel . Ce roman transmet un message fort . J'ai adoré comme j'ai adoré " les yeux d'Ava " .
Wendall Utroi fait désormais partie de mes auteurs favoris, ceux dont je ne lirai même pas la quatrième de couverture avant de les choisir.
Allez , les amies et amis ..? Londres est une superbe ville ( oui , je sais , les anglais , nos meilleurs ennemis ...) , Londres , vraiment , moi j'adore ( oui , les anglais , Jeanne , le Brexit je sais ) ... Quant au Londres de Wendall Utroi ....vous verrez bien ...mais surtout , en tournant la dernière page , souvenez - vous . " la loi des hommes " .....Et celle là , hélas , elle ne concerne pas que "ceux d'outre Manche " ....

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Durant tout le temps qui m'a été nécessaire pour découvrir cette pépite et percer le mystère de ce récit, je suis devenue Jacques, cantonnier, qui découvre dans une tombe, le témoignage d'un défunt anglais, et comme Jacques, le récit m'a happée.

Nous sommes dans l'Angleterre victorienne, cette Angleterre où l'extrême richesse côtoie l'extrême pauvreté. Ce Londres des bas quartiers où l'on est prêt à tout pour survivre, où des hommes exploitent la misère des hommes, où la haute société, et la chambre des Lords crée des lois pour les nantis, la loi des hommes, une loi que la logique et l'équité ne devrait pas permettre.

Le défunt, J. Wallace Hardwell est un policier officiant pour Scotland Yard, il raconte la plus délicate de ses enquêtes, et son récit mettra en évidence les travers de la société anglaise et la politique menée durant cette époque victorienne avec ses contradictions et ses incohérences.

Les témoins, Rebecca Brianey, patronne d'un lupanar, Myrtle River, recruteuse, et Thimothy Brianey, fils adoptif de Rebecca, sont interrogés individuellement et livrent quelques secrets qui permettront à l'enquête demandée au policier d'avancer.

Mais avancer sur quoi ? demandera-ton légitimement.
C'est l'intérêt de cette enquête, Wallace Hardwell ne sait pas ce qu'il doit trouver exactement. C'est aussi la magie de ce roman qui amène le lecteur à découvrir en même temps que l'enquêteur où mènent ces interrogatoires passionnants.
Seule indication : la couronne est en danger, c'est envoutant !

Les personnages viennent pimenter chacun à leur manière ce passionnant récit pour y mettre de l'action. C'est une réussite !

Notre héros britannique rencontrera maints écueils, se fera des ennemis, des amis, et devra confronter ses idées au pouvoir souverain, un chemin bien tortueux et semé d'embûches

Futurs lecteurs, vous pourriez être amenés comme moi, à vous demander le pourquoi de cette mise en abyme : l'histoire de Jacques le cantonnier et l'histoire de J. Wallace Hardwell, ce que je n'ai vraiment découvert qu'à la fin de l'histoire, alors soyez rassurés, ce roman dans le roman possède plusieurs objectifs.

Je ne connaissais pas cet auteur et je suis enchantée de l'avoir découvert, en espérant que ses autres romans s'avèrent aussi originaux que celui que je referme à grand regret.

Je remercie infiniment Babélio et les éditions le Livre de Poche pour ce partenariat.
Lien : http://1001ptitgateau.blogsp..
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Exceptionnel !
Ca faisait un moment que je tournais autour de ce roman, attirée par des commentaires sur Babelio. J'ai fini par l'acheter dans ma librairie préférée.... et dans la foulée, ma fille cadette me l'a piqué ! Elle ne l'a pas lâché, abandonnant son téléphone portable à son triste sort. Un signe non ? (pour info elle a 16 ans !). Elle l'a fini d'un "trop génial !". Espérons que pour son épreuve de bac français elle étoffera un peu son argumentaire !
.
Mais revenons à ce roman. Un polar certes. Une image de la société anglaise de la fin du 19e siècle. Et plus particulièrement un regard sur le sort désastreux des femmes à l'époque. Surtout des femmes dans la misère. Vous saviez, vous, qu'il existait à l'époque des "fermes" où on "élevait" des petites filles misérables, abandonnées, dans le but de vendre plus tard leur virginité ? Je ne m'en suis pas remise. Comme d'ailleurs le personnage central, policier à Scotland Yard chargé de trouver qui est prêt à vendre un secret à la presse qui pourrait faire s'écrouler la monarchie....
.
Un roman passionnant. Pas de meurtre "gore" ou sanguinolent, non, mais au final ce qui est décrit est tellement scandaleux, bouleversant. Une réussite que je vous conseille vivement. Je compte bien désormais mettre ce livre entre les mains de ma fille aînée !
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J'avais adoré « Les yeux d'ava » donc je me suis laissée tenter par cet autre roman de l'auteur en espérant avoir autant de plaisir. Ca a été le cas !
Jacques est cantonnier. Il entretient, nettoie, désherbe le cimetière de Houtkerque. le maire lui demande de déloger 3 concessions pour faire de la place. La troisième tombe a toujours intrigué Jacques. Il s'agit de la tombe de J. Wallace Hardwell. Il a été le sujet de beaucoup de rumeur. Au moment de s'en occuper, Jacques trouve un petit coffre métallique. Sa curiosité le pousse à l'ouvrir pour savoir ce qu'il contient. Il trouve un paquet de vieux journaux en décomposition et un porte document qui renferme une liasse de feuilles de papier jauni. Les documents étant en anglais, il demande à sa fille de lui traduire.
Malgré le lieu où ont été trouvés ces documents, je crois que j'aurais fait comme Jacques, ma curiosité aurait été piquée. J'ai aimé suivre au fur et à mesure l'avancé des découvertes. Un vrai page turner
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Un fossoyeur du nord de la France découvre par hasard des feuillets rédigés en anglais dans un vieux cercueil devant être déplacé.
Ne maîtrisant pas cette langue, il fait appel à sa fille, une infirmière d'une trentaine d'années pour traduire ces écrits qui l'intriguent.
Il va alors découvrir que l'homme enterré là était un policier anglais et que ce sont ses mémoires qu'il a voulu consigner avant sa mort.
J'ai beaucoup aimé naviguer entre les deux époques, la notre avec Jacques, un employé sans histoire et l'inspecteur anglais qui travaillait pour Scotland Yard au siècle dernier.
Ce qu'il relate dans ses écrits va captiver Jacques et sa fille et je dois me compter dans le lot, car j'ai dévoré ce roman qui nous emmène dans un Londres misérable, sombre, sale et puant où régnait une pauvreté extrême et des conditions de vie déplorables pour toute une partie de la population.
Cet inspecteur nous fera pénétrer les arcanes du pouvoir, nous serons témoins de pratiques ignobles et notamment du sort abominable réservé à certaines petites filles et jeunes femmes. Certains personnages ont réellement existé et certains faits sont authentiques, ce qui donne au récit un côté encore plus malsain et terrifiant.
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Le fossoyeur d'un petit village français, en déplaçant une tombe, trouve une mallette avec dedans un manuscrit anglais datant du XIXe siècle. Et à partir de là, on veut tout savoir, notre curiosité est attisée. Il demande à sa fille de lui traduire ces feuillets et ça nous plonge dans les bas fonds de Londres, dans la vie des plus démunis, des lupanars et de sa main d'oeuvre. On y suivra un inspecteur de Scotland Yard nommé sur une enquête afin d'éviter un scandale qui impliquerait les plus grands du royaume. Il n'y a pas grand chose de joli dans ce récit. le clivage social, la grande pauvreté, le travail des enfants et surtout le trafic des petites filles ...C'est tout au long des interrogatoires de suspects que nous découvrirons ce monde sombre, de discrimination et de privilèges où certains se croient, non sont au-dessus de tout . Mais surtout , ce récit nous fait le portrait du sort épouvantable, insupportable des femmes de cette époque et c'est d'une tristesse...
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Quelle déception ! Moi qui adore Londres, et principalement à l'ère victorienne, notamment au temps de Jack l'Eventreur, je m'attendais à un roman passionnant. Mais non, je n'ai pas du tout été transportée.

Chaque point qui aurait pu me sembler positif a trouvé son pendant négatif, et ça, je n'accepte pas.
- D'abord Londres et son atmosphère très spéciale surtout dans l'East End, avec le quartier de Whitechapel. Je suis passionnée par cette période, comme je l'ai dit plus haut. J'ai visité à Londres le musée qui retrace cette ville à travers les époques, et tout y est bien mis en scène, on s'y croirait ! La condition des indigents, la misère et la crasse qui pullulent, la prostitution pour pouvoir survivre, l'abîme d'incompréhension et de style de vie entre les privilégiés et cette population qui n'en peut plus, tout est très bien expliqué. Je m'attendais donc, dans ce roman, à revivre cette sensation d'immersion profonde que j'ai connue dans le musée, mais non ! J'ai eu l'impression de lire des extraits de Wikipedia, bien détaillés, mais froids.
- de multiples dialogues émaillent le récit, entre l'inspecteur et les trois personnes qu'il a dû arrêter parce qu'ils auraient renseigné un journal en diffamant un membre de la famille royale. Ces dialogues qui auraient dû rendre le récit vivant m'ont semblé artificiels, pas du tout adaptés aux personnes qui conversaient. Tout le monde adopte un langage châtié et vraiment pas naturel.
- L'histoire elle-même m'a semblé tarabiscotée, et l'on passe d'un personnage que l'on croit infamant à son aspect angélique quelques pages après, puis vice-versa.
- Et puis la partie moderne censée faire le lien avec le présent (dans un petit village du Nord de la France, un cantonnier chargé de transporter un cadavre dans la fosse commune découvre auprès de lui un coffret rempli de lettres, dont il charge sa fille de faire la traduction) est nunuche au possible, aux dialogues préfabriqués.

Bref, ce roman ne m'a donné qu'une envie : retourner à Londres pour y goûter son atmosphère et cela, véritablement.
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Titre : La loi des hommes
Auteur : Wendall Utroi
Editions : Slatkine & Cie
Année : 2020

Résumé : Jacques, employé de mairie, est chargé d'entretenir le cimetière de son village. Lors du déplacement d'une tombe, il découvre une boîte en fer contenant une liasse de feuillets rédigée en anglais. Aidé par sa fille, le cantonnier se met en tête de traduire ce qui se révélera être un document précieux : les mémoires d'un inspecteur des moeurs de Scotland Yard confronté à une affaire mettant en cause les plus hautes instances du pays.

Mon humble avis : Première lecture d'un roman de Wendall Utroi, un auteur français dont j'avais entendu le plus grand bien avant d'entamer la lecture de cette loi des hommes. Un thème attirant, une enquête dans un contexte et une période passionnante ( l'époque Victorienne ), le fait que je n'avais pas lu de polar depuis longtemps, autant de raisons qui m'ont incité à lire ce roman publié chez Slatkine. Basé sur des faits réels, le scandale de Cleveland Street qui défraya la chronique en 1889, le roman d'Utroi dresse un constat effroyable du quotidien des indigents de cette époque dans les bas-fonds Londoniens. Âmes sensibles s'abstenir, il est ici question de pédophilie, de trafics d'enfants des deux sexes, de certificat médical attestant de la virginité du 'produit', de violence, de domination, bref, de toutes les perversions dont sont capables certains êtres humains derrière une façade de respectabilité et d'honneur. L'enquête est palpitante, avec un petit bémol sur les allers-retours entre les époques qui pour moi n'apportent pas grand chose, mais ce n'est pas l'essentiel, la loi des hommes est un bon thriller historique, noir, poisseux et un témoignage atroce sur la condition des femmes, des homosexuels et de tous les laissés pour compte pendant l'époque Victorienne. Dans cet océan de noirceur, l'inspecteur Wallace et ses collègues sont comme des phares dans la nuit : droits, humains, ils sont la part d'humanité qui manque à cette société, une bouée d'oxygène dans cet océan de noirceur. Mention spéciale pour Wallace himself, un personnage attachant, idéaliste, qui vaut à lui seul qu'on se penche sur cette oeuvre. Un bon thriller historique, encore une fois.

J'achète ? : Roman social autant que thriller historique, cette loi des hommes ne vous laissera pas indifférent. Je ne connaissais pas Wendall Utroi avant de lire ce roman mais, à l'avenir, je serai ravi de lire d'autres textes de cet auteur.
Lien : https://francksbooks.wordpre..
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