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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Tom vient tout juste d'emménager dans une petite maison pavillonnaire à Montigny. Tom a presque 11 ans, plus exactement 10 ans, 3 mois et 4 jours en ce 14 octobre 1968. Comme tous les matins, vers 7h, sa maman l'appelle pour petit-déjeuner. Il met ses lunettes aux verres épais, enfile son col roulé et son pantalon court et descend les dix-huit marches. Un goûter dans son cartable, il part pour l'école, son parcours étant invariablement le même. Sa vie est quasi-millimétrée et dirigée par Pauline, sa maman. En cours, il réussit à résoudre tous les problèmes de maths, contrairement aux autres élèves. Mais, en cours de sport, il reste dans son coin, ayant du mal à s'intégrer dans l'équipe de foot. le professeur le pousse un peu aujourd'hui. Pris d'un élan, il marque un but faisant la fierté et la joie de ses coéquipiers et donnant la victoire à son équipe. Suite à cela et à sa victoire dans sa course contre le car scolaire, il comprend d'un coup pourquoi il est sur terre, toutes les questions qu'il se posait quant aux raisons de sa présence en ce monde trouvent leurs réponses. Thomas Leclerc n'est pas Thomas Leclerc mais Tom L'Eclair. Devant un comic book, face à Batman, Superman ou Captain America, il sait qu'il est comme eux, qu'il est là pour aider les autres et sauver le monde... 

Ce petit Tom, renfermé, solitaire, incapable de montrer la moindre expression mais capable de résoudre un problème de maths, encadré dans sa vie quotidienne par sa maman est des plus touchants. Lentement, l'auteur décrit le petit garçon et, sans jamais la nommer, sa maladie. Il est juste différent aux yeux des autres. Il se met dans la peau de Tom, l'on vit avec lui ses petits exploits, l'on ressent ses émotions intérieures et l'on en oublierait presque la maladie. Une fois qu'il aura découvert qu'il est Tom L'Eclair, son quotidien va changer, bien décidé à aider les autres. D'apparence insensible, il n'en est pas moins touchant, les personnages secondaires ne sont pas en reste, notamment ses parents, sa grand-mère ou encore Palma, son amie. L'auteur traite de thèmes aussi variés que l'émancipation de la femme, l'amitié, le divorce, la maladie d'Alzheimer. Il nous livre un roman sensible, prêtant à sourire et aborde d'une manière originale l'autisme. 

Si vous voulez savoir Comment Thomas Leclerc 10 ans 3 mois 4 jours est devenu Tom l'éclair et a sauvé le monde, enfilez vite votre cape et rejoignez-le au détour du chemin...
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Thomas est différent. Il vit dans sa bulle, il observe, il analyse, mais ne partage pas, ne laisse pas paraître ses émotions.

« Alors oui, le jeune garçon ne montre aucune émotion, mais il a le vertige. le vertige des questionnements sans fin. Une spirale comme un trou noir. »

Il se sent comme une poussière au milieu de cet Univers. Pourtant, il aimerait devenir visible pour les autres, il aimerait trouver la clé pour pénétrer dans ce monde qui l'entoure, pour qu'il n'ait plus l'impression qu'il ne soit qu'illusion et mystère.

Il s'imagine alors super-héros, comme dans les comics qu'il a découvert. sauvant le monde en se créant des petites missions. Il devient Tom l'éclair. Son monde est petit et semble sans histoires, pas de quoi accomplir des miracles. Mais, avec son regard aiguisé, Tom sait très bien ce qui cloche dans son petit univers, il voit les choses cachées, peut-être justement parce qu'il n'est pas aveuglé par les sentiments.

Un roman qui parfois fait sourire, mais nous apporte aussi beaucoup d'émotions, à travers les pas de ce petit garçon qui essaie de franchir son mur du silence, pour comprendre comment se passe la vie, avec les sourires et les larmes.


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Thomas Leclerc est un enfant "pas comme les autres". A la fin des années 70, il vit dans un monde qui n'a pas encore mis un mot sur ce qu'il est : un enfant autiste... Il vit dans sa bulle, au sein d'une famille aimante et sécurisante, il est excellent à l'école et il ne fait jamais rien qui sorte de sa routine quotidienne. Mais un jour, alors qu'il attend chez le médecin, il récupère un comic books oublié par un enfant. Et c'est la révélation : le monde dans lequel il vit et qu'il a du mal à comprendre n'est pas le sien. Parce qu'en fait Tom n'est pas un petit garçon, c'est un super héros !!! A l'image de Superman, Batman ou les 4 fantastiques, Tom sait désormais pourquoi il est sur Terre : il doit sauver le monde !!
Comme à son habitude, Paul Vacca nous offre avec ce roman une histoire émouvante, douce et pleine de chaleur humaine. Son petit Tom est un petit garçon qu'on rêverait tous de rencontrer tant il est attachant... Et puis finalement c'est vrai : ce n'est un enfant comme les autres... Mais il est tellement plus réel et tellement plus humain que beaucoup d'ombres qu'on croise tous les jours. Il est attentif à son prochain, il développe des stratégies courageuses et réfléchies pour arriver à ses fins et rendre les gens heureux. C'est un super héros, je n'en ai jamais douté !!
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Thomas a dix ans. Il est autiste et vit entouré de ses super-héros de comic books. Est-il malheureux ? Il est brillant, doté d'une mémoire phénoménale, d'une intelligence mécanique, pratique et analytique, mais semble dénué de sentiments. Une bonne chose déjà : même s'il n'a pas d'amis, au moins n'est-il pas le souffre-douleur du collège.
Nous sommes en 1968 et comme dans la plupart des familles de classe moyenne, sa mère est femme au foyer. Elle le vit mal, déprime, mais comment travailler à l'extérieur avec un fils qui requiert autant d'attention ?

Un roman sur l'autisme dont le côté froid, lisse et presque naïf m'a d'abord déconcertée et même déçue. Il faut dire que j'avais en tête les textes de Kochka qui décrivent les relations mère/enfant autiste de manière très physique, "sensuelle". Mais cet ouvrage réserve finalement bien des surprises, les sujets sont variés et abordés de manière pertinente à travers le regard de ce garçon dénué de sentiments, peut-être, mais qui observe, analyse, et n'est pas si insensible au sort de ses proches, déployant des trésors d'imagination pour les aider lorsqu'ils sont en difficulté. Il est question d'émancipation féminine en cette fin des années 60, de psychanalyse, de dépression, de maladie d'Alzheimer, d'amitié entre adultes, de culpabilité de l'enfant lorsque le couple parental bat de l'aile, des vertus thérapeutiques du théâtre... J'ai de plus en plus apprécié au fil de la lecture, après avoir été un moment sceptique : mièvre ou pas ? Je dis "non", finalement, en dépit de ce titre, de cette couverture, et de la fin tire-larmes.

Paul Vacca a également signé 'La petite cloche au son grêle', qui a séduit de nombreux lecteurs.

- 2 avril, journée mondiale de sensibilisation à l'autisme -
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Voici, dans la France de la fin des années 60, l'histoire d'un petit garçon, Thomas, dont on va dire pudiquement qu'il est différent. Thomas qui, à la suite de la lecture d'un comic book, va s'imaginer dans la peau d'un super-héros...

L'atmosphère des premières pages m'a irrésistiblement fait penser à Jean-Pierre Jeunet, je ne sais pas pourquoi... ce roman est en tout cas une chronique douce-amère avec un petit homme assez attachant pour (super) héros, qui permet d'aborder plusieurs sujets graves (le deuil, l'érosion du couple,...). C'est aussi un regard tendre sur une société en pleine évolution, où les femmes, telle la mère de Thomas, veulent aussi pouvoir travailler... bref, une sympathique petite découverte !
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Thomas, dit Tom, est un jeune garçon autiste tout à fait brillant. Mais dans les années 1960, il n'existe pas encore vraiment de procédures pour intégrer ce type d'enfant dans les écoles et dans la société. Tom se débrouille comme il peut, ses parents aussi. Fasciné par les superhéros, Tom s'identifie à ses héros. « N'est-il pas comme tous ces superhéros, un être jeté dans un monde qui ne semble pas être fait pour lui ? Pourquoi ne serait-il pas comme eux, dont les superpouvoirs constituent aussi le revers d'un handicap secret ? Dont les actions masquent souvent une profonde solitude ? » (p. 27) Tom estime que sa mission est de sauver le monde : il va donc tenter de sauver un chien, sa grand-mère, sa camarade Palma et aussi l'amour de ses parents. « Tom sent qu'il se transforme en mini-Sisyphe à houppette, parti pour refaire à l'infini les mêmes missions microscopiques ? » (p. 37) Et au passage, s'il peut devenir normal, ce sera aussi un bien. Parce que Tom le sent profondément : il n'est pas normal. « Un superhéros doit affronter le monde. Et Tom doit traverser ce mur du silence pour aller voir ce qui se passe de l'autre côté. » (p. 54)

De leur côté, les parents, Serge et Pauline, ne sont pas heureux. Pauline se sent coupable de l'état de son fils et a besoin d'échapper à la routine étouffante d'un quotidien sans horizon. Et Serge aimerait échapper à la routine écrasante d'un emploi sans intérêt. En parallèle des aventures de Tom se dessine l'histoire d'un couple qui ne sait plus comment s'aimer, ni comment se retrouver.

Ah, cette fâcheuse mode des titres à rallonge qui essoufflent le lecteur avant même qu'il ait ouvert le livre ! Ce genre de titre, outre qu'il a tendance à réduire maladroitement l'histoire à ce qu'il annonce, présente un écueil fâcheux : en dotant son texte d'une identité si étendue, l'auteur prend le risque que le lecteur n'arrive pas à fixer le titre dans sa mémoire. Comment, alors, parler d'un livre dont on est incapable de prononcer le titre sans user de moyens mnémotechniques ?

Outre ce détail, l'histoire est charmante, plutôt tendre et parfois drôle. Ne connaissant pas de personnes autistes, je suis bien incapable de juger de la vraisemblance du personnage principal. Il me semble toutefois que la fin du roman est bien improbable. Je garderai de cette lecture un souvenir plutôt positif même si je ne suis pas vraiment le public de ce genre d'histoire que je conseille aux jeunes lecteurs.
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Paul Vacca nous propose un roman poétique et fort. L'histoire particulière de Thomas, un enfant de 10 ans qui veut sauver le monde, enfin son monde.

Thomas Leclerc est un môme qui progresse à l'écart des autres. Lorsque tous rient, jouent et s'animent, Thomas est à l'écart, seul et ne ressent aucun sentiment. Sa mère, femme au foyer, étouffe entre ses taches ménagères, son enfant qui ne lui offre aucun câlin et un mari qui n'est guère plus heureux dans son travail. Pour Thomas, sa vision des choses va changer avec sa rencontre des héros de Comics américain.

« N'est-il pas comme tous ces super héros, un être jeté dans un monde qui ne semble pas être fait pour lui ? Pourquoi ne serait-il pas comme eux, dont les super pouvoirs constituent aussi le revers d'un handicap secret ? Dont les actions masquent souvent une profonde solitude ?"
Tom est un enfant attachant. Lui qui pourtant ne s'attache à personne. Enfin, c'est exagéré, car finalement au fil de cette histoire, Tom s'ouvre aux autres. Apprends à communiquer. Grandis de ces erreurs. Et finalement, il va peut-être réussir le tour de force de sauver le monde qui l'entoure.

J'ai aimé être plongé en 1968, année que je ne connais que pour sa révolution d'étudiant. Epoque de transition, où il y avait une certaine innocence par rapport à notre génération.

Les parents sont aussi très attendrissants dans leurs difficultés de couple, de parents d'enfant différent. Cette mère qui ne supporte plus sa condition de femme au foyer. Et ce père qui aura le courage de tout changer. Ils se cherchent, ne sont pas parfaits. Ils sont profondément humains.

Et derrière cette histoire d'enfant , il y a des passages drôles et d'autres beaucoup moins. Il y a également une intrigue que Tom veut résoudre..Tom est un super Héro. Pour cela il doit avoir des missions, et quand on ouvre les yeux, on en trouve pleins.

Beaucoup de sensibilité et d'émotions. Ce roman a une belle âme ! Lisez-le.
Lien : https://lesciblesdunelectric..
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Drôle de titre pour ce roman qui parle d'un enfant autiste. Autiste, je le sais car c'est écrit en 4e de couverture sinon je n'y aurai pas pensé. Tant ce Tom est loin de l'image de l'enfant autiste que j'ai découvert dans la littérature.
Sinon ce petit Tom, il est sauvage, a peur de monde, mais se soigne. Se forçant à aller vers les autres. Et puis surtout il se donne des pouvoirs de super-héros. Cela l'aide...Et pour lui c'est une suite de missions qu'il pense mener à bien. Il fait tout pour en tout cas.
Avec sa mère Pauline la relation est presque fusionnelle. Tom qui semble sans émotion mais que le vie torture...
Un roman lu rapidement, sans déplaisir mais avec une petite pointe d'incrédulité. Malgré tout Tom, petit Tom est touchant, l'histoire un peu trop belle - sauf pour la pauvre Palma - L'écriture fluide nous entraine dans cet univers, au plus près de l'enfance, de sa vie. J'ai refermé ce livre et j'ai eu envie de lire un autre livre de Paul Vacca dans la foulée parce que malgré tout cet auteur m' a intriguée par son style.
Un roman intéressant et plaisant pour un moment de lecture dépaysant. Il devrait plaire à la bibliothèque.

Merci à Babélio pour ce roman que j'avais choisi pour son titre et aux éditions Belfond pour cet envoi.
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Ce 14 octobre 1968, la journée avait pourtant commencé comme d'habitude. le même train train quotidien réglé comme du papier à musique, orchestré avec précision par Pauline, la maman de Tom, chef d'orchestre à la rigueur helvétique. Tout était bien en ordre. Pourtant ce jour allait être pour ce jeune garçon de 10 ans, 3 mois, et quatre jours, le jour de la révélation. Ce jour là, ce petit garçon solitaire, presque muet, plongé dans son monde intérieur, allait devenir par un concours de circonstances plus qu'heureux le buteur providentiel de son équipe de foot en cours de sport. Suite à cet événement et à sa victoire dans sa course contre le bus scolaire, un constat s'impose à lui. Il n'est pas Thomas Leclerc, il est Tom l'Éclair. Ses dons ne se limitent finalement pas aux mathématiques. Cette prise de conscience s'approfondit le jour où, alors qu'il est dans la salle d'attente de son médecin, entendant sa mère chuchoter avec celui-ci sur son cas, il découvre les super héros dans un magazine de bande dessinée oublié par un petit patient. Tout est clair, Tom est comme eux , il est investi d'une mission : sauver le monde.


Tom, bien que cela ne soit jamais clairement dit, car ses parents ne veulent pas lui en parler, allant même jusqu'à refuser les diagnostics des médecins successifs qu'ils consultent, souffre clairement d'une forme d'autisme, sûrement le syndrome d'Asperger. Cette mission de super héros dont il se sent investi va le pousser à prendre sur lui pour réaliser son destin, celui qu'il voit dans les aventures de ses héros favoris. Comment sauver le monde quand on vit reclus dans le sien? Comment sauver le monde même quand on est un super héros mais qu' on ne dispose pas d'un ami, d'un acolyte? Oh certes les missions de Tom sont limitées du moins dans un premier temps mais il faut bien commencer par quelque chose, sauver un chien par exemple ou essayer de sauver le couple des ses parents qui part à la dérive.

Il est touchant ce petit Tom qui se débat contre ses habitudes, qui essaie de sortir de sa zone de confort pour accomplir la mission dont il se sent investi. le lecteur voit le monde à travers ses yeux, il le lit à travers ses mots d'enfant de 10 ans et des poussières. Un monde en vase clos que ses parents ont créé pour lui pour le protéger, un univers quadrillé pour le rassurer, mais dans lequel ils s'enferment, dans lequel ils ont de plus en plus de mal à respirer.


On admire Pauline, la maman courage, qui met sa vie entre parenthèse pour prendre soin de son fils, qui même si elle refuse les diagnostics des médecins, organise sa vie pour protéger son petit Tom si fragile.

Paul Vacca nous livre un roman touchant, tout en sensibilité, un roman porté par la douce poésie de l'enfance, par son imaginaire, car même s'il est autiste, même s'il est différent, Tom a les mêmes désirs que ses petits camarades,les mêmes aspirations. Il ne les exprime pas de la même façon c'est tout. Un superbe roman que je vous recommande ardemment.

"C'est devenu une manie.
À la récréation, Palma traverse le mur invisible de Tom, entre ses arbres-mondes, et s'installe à ses côtés. Elle lui parle. Sans attendre qu'elle lui réponde oui qu'il engage la conversation. Elle parle comme si elle se confiait à son journal intime. Sans ordre ni censure, se reprenant souvent, donnant l'impression parfois de raturer ce qu'elle vient de dire, pour le rectifier par petites touches, assurant seule les questions et les réponses, riant parfois à ce qu'elle dit ou mimant la perplexité, les yeux vers le ciel et l'index sur sa bouche boudeuse.
Que raconte-t-elle? Tom n'en a aucune idée. Il ne l'entend pas. Ce qu'elle dit glisse sur lui comme une goutte d'eau sur le duvet d'un canard. Il a réussi à recréer un autre mur invisible autour de lui. Lui reste totalement mutique, sans prendre la peine d'opiner de la tête ou de faire semblant de l'écouter. Il attend que cela cesse. Reste qu'il ressent toujours ce même malaise, comme la première fois. le sentiment d'être prisonnier de ses tentacules.
Et de sa bulle de Malabar.
Demain de toute façon il change d'endroit."
Lien : http://leslecturesduhibou.bl..
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C'est l'histoire de Thomas, jeune garçon autiste de la fin des années 60, qui découvrant par hasard les comics et les super héros, en devenir un et essayer d'aider son entourage.
Livre à plusieurs voix, on suit l'évolution des personnages avec leurs espoirs et leurs doutes. C'est avant tout la recherche de soi, de qui on est et qu'on veut être. C'est à travers les épreuves que les personnages trouveront leur réponse.
Un roman bien construit mettant en valeur la psychologie des personnages. L'action avance tout au long des pages au fur et à mesure que Tom, son père ou sa mère évoluent et que leur perception du monde change. le récit est à la troisième personne du singulier tout en étant placé du point de vue de chaque personnage tour à tour.
Un livre à découvrir.
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