Les “scènes” se passent dans l'URSS des années 50, avec comme décor un appartement communautaire. Qui a eu l'occasion d'aller dans ces demeures, même trente ans plus tard” peu facilement imaginer, avec la terreur policière en plus. L'auteur n'y fait que des allusions. Imaginez un cocktail de
Dubout, de Jérôme Bosch et de Magritte et vous aurez une idée du livre, en y ajoutant une pincée de
Queneau et des Oulipiens. En ces temps de confinement, les farfelus sont les bien venus.