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EAN : 9782226398932
176 pages
Albin Michel (03/05/2017)
3.23/5   422 notes
Résumé :
Alice et moi n'avons pas su protéger notre couple... Il nous reste vingt-quatre heures pour sauver notre chien.
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Critiques, Analyses et Avis (103) Voir plus Ajouter une critique
3,23

sur 422 notes
Inattendue
Une suite inattendue, je ne voyais pas une suite comme celle-là. Cette histoire est très bien avec plein de suspense de rebondissements, qui vous fait voyager dans toute la France. Mais elle manque beaucoup de sentiments comme dans le premier. Je voyais une autre vie pour Alice et Jules avec un autre amour handicapé pour Alice que Jules se serait occupé. Sa peut donner une idée à Monsieur Didier van Cauwelaert pour écrire un troisième tome.
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Des aventures canines qui m'ont entrainé à un rythme soutenu dans l'univers de Jules, un toutou que je ne connaissais pas jusque-là, et que je découvre dans ce roman de Didier van Cauwelaert. Cet auteur me laisse des souvenirs de lecture inégaux, qui oscillent entre admiration et déception parfois. Celui-ci restera frais et joyeux, je le trouve réussi, mais peut-être que, mon jugement est faussé par l'affection que je porte aux chiens, eux qui ont soulagé tant de peines sur le chemin qui m'a mené vers l'âge adulte…
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Quelle joie, pour moi, de retrouver jules dans ce second tome en son édition de poche!
Cette suite m'a emmené au rythme de la fuite de Jules et de sa compagne Victoire... Victoire, réformée de la détection des explosifs dans laquelle cette braque de Weimar excellait et qui se met à la prévention des crises d' épilepsie sous la direction de Jules... qui, en échange, devient expert en explosifs.
Lorsque Jules, après un acte incompréhensible, est sur le point d'être euthanasié; tous ses amis humains -rencontrés dans le tome précédent, rappliquent dare-dare: Zibal, Alice, fred, Vong... plus Marjorie, nouvelle de l'étape et adjudant de Victoire qui s'avérera précieuse dans des rapports tendus avec la Gendarmerie.
Au passage, le lecteur enchanté en apprendra davantage sur les étonnantes capacités des éléphants-artistes (auprès desquels Alice s'est dévouée) et sur les toutous détecteurs d'explosifs. Il aura aussi un aperçu bref et atroce sur ce qui attendait Jules à la fourrière...
Le retour de Jules complète donc parfaitement Jules, dans un diptyque bondissant et passionnant qu'il serait dommage de ne pas lire.



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Le tome 2 reste dans lignée du premier, à savoir d'apparence légère, c'est un véritable plaidoyer pour les animaux, et les sujets d'actualité ne sont pas en reste.
En effet, si on retrouve en premier lieu la cause des chiens guides d'aveugle, arrive juste après celle des chiens d'épileptiques, et là, Didier van Cauwelaert tient à nous rappeler la véracité des faits, les chiens sont capables de prévenir les crises en « sentant » les signes précurseurs, voire guérir les personnes atteintes de ce mal. La France étant à la traine, comme souvent lorsqu'il s'agit de sujets délicats, mêlant un peu d'inexplicable, malgré de sérieuses études réalisées à l'étranger, il lui donne un coup de pouce en montant enfin une école pour ces chiens, en collaboration avec le Pr Vespignani : le projet ESCAPE.
Tellement de patients pourront en tirer bénéfice.
Il prend parti également pour ces éléphants que l'on dresse avec des méthodes violentes en vue d'en faire des artistes peintres dont les oeuvres se vendent à des prix défiant toute concurrence, parfois par le biais des galeries d'art de renommée mondiale. L'éléphant est un animal faisant preuve d'empathie extraordinaire, mais surtout, à l'instar du petit d'homme, il se reconnait dans un miroir avec le test de la tache, non pas sur le front comme les bébés humains, mais sur la tête. Étonnant ce que j'ai appris en lisant ce livre.

Il aborde également le sujet du terrorisme, et de l'antiterrorisme, toujours en rapport avec les chiens, seuls capables de déceler le TATP, explosif artisanal utilisé par les kamikazes djihadistes... de même que les centres de déradicalisation qu'il appelle avec humour
« les Daeshetteries », centres parfois controversés.


Enfin, c'est non sans humour qu'il glisse un sex toy sur la plage, pour rester dans l'ère du temps, et parle de « Jacuzzi sexuel ».

Il n' oublie pas non plus, sans être scolaire, un de ses sujets de prédilection, les ondes scalaires, dont il a défendu le « père » Nikola TESLA dans un livre précédent ( Au-delà de l'Impossible) et, qui interviendraient dans la télépathie, entre autres, entre les animaux et pourquoi pas nous. Avec cet auteur, la physique quantique n'est jamais loin, mais là, je n'y comprends rien !!!!!
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J'ai eu grand plaisir à retrouver Jules, le héros du roman de Didier van Cauwelaert.

Après qu'Alice, sa maîtresse, ait recouvré la vue, Jules est au chômage avant d'être affecté comme assistant pour une personne épileptique.
Tout aurait pu aller pour le mieux sans sa rencontre avec Victoire, magnifique femelle Braque de Weimar, anciennement utilisée pour la détection d'explosifs qui après la perte de l'odorat est condamnée à l'euthanasie.
Tout va être mis en oeuvre pour tenter de sauver Victoire.
Sous des dehors légers ce délicieux roman fait la part belle aux chiens héros du quotidien.
On retrouve la finesse de la plume de Didier van Cauwelaert qui, d'une main de maître, réussit à nous transporter dans ses univers. Ici, celui du chien guide d'aveugle, d'assistance ou de police, dont la vie n'a de sens que s'il mène à bien ses missions.

Une lecture détente, une bouffée d'optimisme, une lecture qui m'a fait sourire avec parfois une pointe d' émotion qui affleure.
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critiques presse (1)
LeJournaldeQuebec
07 août 2017
Deux ans après la publication de Jules, un énorme succès de vente en librairie, l’écrivain français Didier van Cauwelaert, à qui on doit aussi plusieurs best-sellers, propose une suite à cette belle histoire de chien d’aveugle avec Le retour de Jules.
Lire la critique sur le site : LeJournaldeQuebec
Citations et extraits (22) Voir plus Ajouter une citation
Zibal et moi avions passé le week-end chez les Bourdaine, pour maintenir un lien avec Jules. Il nous accueillait chaque fois avec la même joie décontractée, son doudou dans la gueule, et il nous emmenait jouer sur la plage dès notre sortie de voiture, sous le regard incendiaire de la plupart des promeneurs. À chacune de leurs réflexions, du style C’est une honte ! nous répondions merci avec un air flatté pour couper court aux leçons de morale. La cause de leur indignation était son nouveau jouet, qu’il avait trouvé dans le sable à marée basse en face du club de voile : un gode. Une grosse bite rose pâle délavée par la mer qu’il nous obligeait à lui lancer tous les dix mètres, et qu’il s’ingéniait ensuite à proposer aux familles, à l’heure du pique-nique, en échange d’un morceau de sandwich. Avec un malin plaisir, Zibal lui avait changé les piles. Quand le chien actionnait le mode vibreur, les dents fièrement serrées autour du membre qui gigotait en bourdonnant, j’expliquais aux vacanciers que c’était le meilleur système qui soit pour éliminer le tartre.
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Cette roue de camion, c’est son doudou depuis qu’elle a été recueillie ici, en provenance d’un centre d’éléphanthérapie où, devenue trop rhumatisante pour pouvoir balader les touristes en nacelle sur son dos, le personnel la battait à coups de barre à mine. Dans ces villages-vacances de remise en forme, quand les animaux ne peuvent plus servir de promène-couillons, ils font office de défouloir. C’est ça, l’éléphanthérapie. L’un des voyages à thème les plus en vogue sur le Net, paraît-il, après le tourisme sexuel, la visite des camps de concentration et les lieux de tournage de Game of Trônes.
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Dans les innombrables exemples de chiens qui étaient parvenus à destination après avoir parcouru des milliers de kilomètres, il y avait une constante : les animaux s’étaient branchés non seulement sur un lieu, mais sur leur maître. C’est lui qui les attirait, c’est son emplacement qu’indiquait leur boussole intérieure. Comment expliquer autrement les cas où ils avaient rejoint leur humain dans une nouvelle résidence qu’ils ne connaissaient pas ?
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C'est bien plus que le jouet de Victoire. C'est la clé de sa vocation, de son dressage et de ses six ans de carrière. Marjorie m'a expliqué que tous les composants d'explosifs possibles imprègnent la garniture du Marsupilami, afin que le chien détecteur mémorise les odeurs de chaque molécule. Ensuite, quand son maître lui cache son jouet, il va s'employer à en retrouver la trace olfactive dans un périmètre défini - stade, aéroport, école, salle de spectacle, appartement, voie publique, moyen de transport... En termes de motivation pour l'animal, la détection d'une ceinture explosive est fondée non pas sur la chasse à l'homme, mais sur le jeu. C'est pourquoi aucun kamikaze ne peut échapper à un chien qui traque son doudou.
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Un hôpital. Cet endroit plein de mort et de souffrance, cette fourrière pour humains. C'est là qu'on a mis l'enfant. C'est là qu'il faut aller. C'est là qu'irait Victoire.
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