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EAN : 9781097513062
Ndb Editions (01/10/2018)
4.59/5   41 notes
Résumé :
Un infirmier, Antoine, est fou amoureux de sa collègue. Il idéalise son désir ardent dans ses pensées et ne voit pas la réalité de son quotidien lui échapper complètement. Une ambiance de service psychiatrique en mode nocturne. Une veillée habituelle, l'accalmie avant la monstruosité.

Suivi de 5 nouvelles d'anticipation sociétales et réalistes, ayant pour cadre un monde de demain pas très éloigné de celui dans lequel nous évoluons déjà. Une anticipati... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (42) Voir plus Ajouter une critique
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Comment concilier plaisir de la lecture avec réflexion pertinente sur la vie qui peuvent nous interpeller, nous mener par tous les chemins possibles ?
Que cela soit sous le format d'un roman prenant le temps du développement ou par le biais des fulgurances comme seules peuvent le permettre les Nouvelles, un seul objectif, lire jusqu'au bout et vous faire peut-être bousculer votre conscience, sur le mode de l'observation ou dans l'ironie mordante, tout est propice à ouvrir de nouvelles voies de questionnements sociétales en n'oubliant pas les fondamentaux de rapprocher nos sensibilités communes et propres à chacun.

Dans Blouse blanche et 5 nouvelles d'anticipation de Jb Antoon van Dyck aux NDB Editions, dont je remercie Nelly Daubry Bouyer pour l'envoi du SP, le plaisir a été proportionnel au temps pris pour savourer chacune d'elle, comme il se doit, à son propre rythme mais aux sons percutants et surprenants de l'écriture ciselée, des contre-basses ne manquant pas de vous faire oublier votre respiration, de l'air pernicieux sifflant dans les interstices fuyants, dans ces virées nocturnes le danger est partout, la menace d'un monde en perdition se mire en permanence de ses effets délétères, c'est le risque à vouloir tout comprendre les enjeux, de la réalité à un futur proche, il est parfois des choses qui nous échappent, le commun des mortels n'en a pas fini de grincer des dents et demain, c'est aujourd'hui !

Il est toujours un exercice délicat de chroniquer un recueil de nouvelles de par la dimension du texte et par la chute inévitable et incontournable pour qualifier une histoire de Nouvelle, sans tomber dans le piège de spoiler.

S'il est encore un genre de littérature relativement assez méconnu pour trouver un large public en France (au contraire des pays Anglo-Saxons), elle présente un avantage indéniable à être lue rapidement quand le temps vient à manquer, que des variables existentielles viennent perturber votre lecture, tous les grands auteurs d'antan et d'aujourd'hui ont commencé par en écrire ou s'en donnent à coeur d'en publier régulièrement entre deux romans, de ces courts textes peuvent regorger des petites pépites, des trouvailles originales ou singulières, de révéler un style, de marquer une voix différente pour toucher des cordes de toutes les résonances, appuyer sur le bouton d'alarme pour titiller des consciences, remettre en question des certitudes, pousser dans ses derniers retranchements le lecteur comme de le manipuler afin de lui faire sentir le souffle vertigineux de cette brutale course ... descendante !

Encore plus que le roman, la Nouvelle se doit de garder tous ses mystères dans la narration, dans ses personnages réduits à une expression libre voire deux dans le meilleur des cas, dans cette construction qui épargne des détails superflus mais n'en reste pas moins suffisamment incisive pour trouver le temps de mûrir en crescendo, l'idée d'associer des thématiques sensibles comme la surpopulation, les limites de la science au regard de l'éthique morale, le prolongement de la vie, la folie humaine s'ancre ici dans le filtre de l'individu comme du collectif, le poids des décisions, la nostalgie d'un monde oublié, le ressenti se mesure à hauteur des pages parcourues, l'impuissance à endiguer la poursuite effréné d'une planète au bord de l'implosion, jusqu'où la Terre pourra-t-elle encore résister à trop vouloir dévier de ses préoccupations majeures ? A traquer les sujets qui sortent de l'ordinaire, de mieux brider la chaîne humaine comme d'en contrôler la destinée de millions de personnes ?

L'auteur n'hésite pas à employer le ton corrosif pour irriter la peau et semer le doute, l'humour est un excellent remède contre la morosité, faire du sens un contre-sens et tourner en bourrique un microcosme à l'échelle d'un pays voire de toutes les populations, les traditions sont supplantées par des caprices et des désirs allant à l'encontre de l'intérêt commun, certaines de ces nouvelles crissent sous les pneus de cette violence à l'oeuvre, qu'elle soit sourde ou viscérale, la vie se conjugue ici à toutes les nuances du gris, du blanc au noir et vice-versa, c'est toute la richesse d'êtres humains qui se manifeste au travers des désirs secrets et étouffés par des voix de l'ombre, des personnages anonymes rêvant d'un futur meilleur ou de préserver encore l'once d'humanité qui leur reste, tout peut devenir opaque ou lumineux, dans l'attente d'une intervention divine, est-ce le fruit du hasard ou la concrétisation d'un plan mûrement planifié à l'avance, seul l'avenir le dira ...

Tout à tour imprégné d'un écran de fumée ou d'un filtre éclairant, il en résulte pourtant quelques subtiles solutions non dénuées d'intérêts profonds, l'ensemble démontre un fil rouge revisitant les principales craintes et incertitudes d'un monde en pleine turbulence, de la schizophrénie à la paranoïa, de la vie à la mort, du blanc au noir et inversement, du jour au lendemain, il est des nuits qu'il aurait mieux valu ne jamais avoir traversé !

Un recueil de nouvelles glaçantes mixant constatation implacable et humour noir, la satire d'une société en complète déconfiture n'est jamais loin, édifiant le mot est lâché, d'un ton jamais moralisateur mais dans la mouvance d'une réalité qui est peut-être déjà en train de se transformer radicalement, le compte à rebours a commencé, tic tac, tic ...

Entre deux romans, lire des nouvelles peut s'avérer salvateur et jubilatoire, dans le cas présent, l'auteur Jean-Baptiste van Dyck - Ecriture apporte une touche personnelle pour porter un regard percutant sur le monde d'aujourd'hui mais surtout celui qui risque d'arriver plus vite le temps de se retourner !
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La première partie de ce livre concerne une histoire qui s'intitule « Blouse Blanche » on y suit Antoine un infirmier de 25 ans qui travaille en hôpital psychiatrique. Un travail de nuit idéal pour cet homme, artiste dans l'âme un brin rêveur passionné par ses peintures. Mais son intérêt ne s'arrête pas qu'à ses toiles… car Antoine a une autre passion dans la vie et cette passion s'appelle Clarisse. Ensemble, ils forment le binôme parfait et notre jeune peintre n'aura de cesse de fantasmer sur sa jolie infirmière de jour comme de nuit. Cette bonne entente devrait « à priori » rendre l'atmosphère dans lequel ils évoluent moins pesante…

J'ai bien aimé cette histoire, qui nous entraîne dans une sphère où vont vite se mélanger des sentiments puissants, voir indécents. J'ai travaillé un court temps en service psychiatrique et je me suis vue remettre ma blouse blanche et arpenter ce genre de service dans lequel nos personnages évoluent. Mais alors la comparaison s'arrête là, car la situation va vite virer au cauchemar. Une nouvelle qui se lit bien et une tension qui monte crescendo au fur et à mesure que la nuit avance. L'amour n'a jamais été aussi proche de la folie que dans cette histoire.

« Silence Sépulcral. Froideur funèbre. Lumière lugubre. Fragrance macabre. L'horreur et la mort avaient joué ici de concret, leur récital le plus abouti. »
« Il fallait se jeter à l'eau maintenant, ne plus hésiter. Il fallait vivre cet amour, le rendre réel et s'y consacrer de toute son âme, car le temps file à toute allure et n'épargne pas les retardataires et les hésitants. »

« le cul de sac de Douglas » et « Cortex » sont deux nouvelles qui relèvent également du secteur médical. La première parle de chirurgie orthopédique, une opération qui va virer au désastre avec de beaux petits morceaux de corps humains éparpillés partout. La seconde concerne la neurochirurgie, elle est tout aussi passionnante que la précédente avec deux médecins jumeaux aussi fous l'un que l'autre. Ces deux nouvelles ont été mes préférées sur les cinq.

« Fortune macabre pour Jacques Athanée » est la troisième nouvelle de ce livre, elle traite le secteur de la santé publique. Nous sommes dans un futur pas si lointain que le nôtre. Grâce à de nombreuses dispositions budgétaires et matérielles, la population frôle une quasi-immortalité. Bienvenue dans l'air du 6e âge dit « âge noble » et le moins que l'on puisse dire c'est que l'immortalité est loin de faire rêver dans cette version futuriste. Une nouvelle très intéressante à découvrir.

« Fourmillements dans l'assiette » Là on passe à table, vive la grande gastronomie ! Qui dit gastronomie dit mets d'exception et quoi de plus appétissant qu'un choix de qualité de tous les insectes possible et inimaginable. Vous l'avez rêvé ? Les deux cuisiniers de cette nouvelle l'ont fait. Alors moi j'ai une légère préférence pour « le Tempura de phasmes ailés, grillés et gorgonzola fondant » oui dès qu'il y a du gorgonzola quelque part moi je suis partante!

« le monde en blanc » est donc la dernière nouvelle de ce recueil, elle est vraiment d'anticipation bien plus encore que les précédentes, car là le monde va très mal. Afin qu'il aille mieux et que la population puisse y (sur)vivre, des solutions ont été trouvées… Cette nouvelle sort vraiment de mon genre habituel de lecture, elle est très futuriste avec un impact mondial et de surcroit une solution radicale.

Comme le titre l'indique, la blouse blanche est mise à l'honneur dans ce livre, que ce soit du point de vue médical, gastronomique ou bien encore totalement visionnaire. Pourtant avec du recul cette société ne semble pas si éloignée de la nôtre et nous laisse avec de sombres réflexions. L'avenir pourrait-il se passer ainsi ? Je tiens à remercier chaleureusement Jean-Baptiste et NDB Editions pour ce Service-Presse et la découverte de ce livre.

Lien : https://lesmotsdelau.fr/l/bl..
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Je ne suis pas particulièrement fan des nouvelles, je ne suis pas non plus la lectrice idéale pour la SF ou les thrillers d'horreur. Donc c'était plutôt mal parti, mais l'auteur, prévenu de mon pedigree, a tout de même pris le risque de mettre entre mes mains ce recueil, son "précieux" de six chapitres détonants.

D'abord, j'ai eu très peur en découvrant le premier texte, mais un réel talent de dialoguiste, un vrai sens de la formule, du suspense avec un sacré retournement de situation et d'ambiance, m'ont scotchée. Oui, c'est gore, violent, sanglant mais au delà de cela, comme pour toute la suite du livre, cela part d'une réalité que nous connaissons tous : la peur des hôpitaux, surtout s'ils sont psychiatriques, l'impression que les fous ne sont pas forcément ceux qui sont dans les lits, des lieux où tout semble possible, où toutes les paranoïas se réveillent soudain malgré nous, car la frontière entre normalité et pathologie est très fine, difficilement identifiable quelques fois. Frissonnez mes amis !

" Un infirmier, Antoine, est fou amoureux de sa collègue. Il idéalise son désir ardent dans ses pensées et ne voit pas la réalité de son quotidien lui échapper complètement. Une ambiance de service psychiatrique en mode nocturne. Une veillée habituelle, l'accalmie avant la monstruosité."

Je vous déconseille fortement de vous plonger dans ce récit avant d'être hospitalisé ou de dormir. Décapant, flippant, avec une bonne dose d'humour et d'ironie. On rit même si....

D'ailleurs cela continuera tout au long des cinq autres lectures, au propos certes toujours aussi rythmé, transgressif, drôle, barré, et tendre pour le tout dernier passage.

L'exception de ce livre réside dans sa profondeur et sa richesse, sur des thèmes sociétaux, politiques, environnementaux, qui nous inquiètent énormément aujourd'hui. Il y a presque un aspect prophétique ici, puisque ce recueil fut édité avant le début du mouvement des gilets jaunes. Là encore, bluffée !
(Si nous laissons faire les gouvernements ultra libéraux, les grandes entreprises et les laboratoires nous allons droit dans le mur. C'est ce que je pense pour ma part.)

Le recours à la SF, pour pousser à l'extrême la réflexion sur les conséquences des décisions prises aujourd'hui, peut être délicat et pourtant ici c'est une réussite. Je suis restée très pensive et en cogitation depuis 24 heures, tant ces cinq nouvelles touchent juste. C'est un livre de prévention, d'alarme, par le biais de l'art et de la littérature. C'est bien là pour moi, au delà du divertissement, du rire et de l'émotion, la mission des artistes. J'attends vraiment impatiemment un roman de Jean-Baptiste van Dyck, où sur la longueur il pourra développer sa réflexion avec le même don.

Les titres des autres nouvelles sont :
- le cul de sac de Douglas (salle d'opération sous influence)
- Cortex (recherche Nobel désespérément, follement)
- Fortune macabre pour Jacques Athanée, (une de mes préférées dont j'adore la chute)
- Fourmillements dans l'assiette ( beurk ! Thriller gastronomique)
- le monde en blanc ( "white is white "... Très joli duo d'un grand père et son petit fils, moralité "vive la couleur").
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Jean-Baptiste van Dyck nous propose un recueil de nouvelles intitulé blouse blanche et 5 nouvelles d'anticipation.

Blouse blanche nous entraîne dans le milieu de la psychiatrie. Ses internés, son personnel, les relations qui peuvent se nouer entre ces derniers. La folie ne se trouve pas toujours du côté le plus évident.

Le cul-de-sac de douglas reste dans le monde médical à une époque futuriste improbable. du moins je l'espère, car, dès les premières lignes, on se demande où l'on est tombé. L'horreur de la situation apparaît encore plus grande quand on comprend le pourquoi de tout ceci.

Cortex nous plonge plus profondément dans la folie des hommes et leur désir de reconnaissance. C'est glauque, difficile à imaginer et pourtant… On s'enfonce toujours plus dans le sordide.

Fortune macabre pour Jacques Athanée c'est un regard sur ce que pourrait être un monde ou la longévité augmente de façon exponentielle. Un rêve pour beaucoup, mais pas pour tous. Et quand on lit ces lignes, si cette idée nous avait effleurés, elle passe très vite.

Fourmillement dans l'assiette nous entraîne sur des chemins gastronomiques. Les menus assez spéciaux de par leur composition semblent à la mode à cette époque. Un petit clin d'oeil à l'évolution de notre alimentation qui me donne envie de manger un steak frites dégoulinant de sauce.

Le monde en blanc, ou comment une idée de génie se transforme en règle, norme, obligation. Même quand elles partent d'un bon sentiment, les lois qui tuent la liberté individuelle ne devraient jamais exister. Heureusement, il y aura toujours des personnes pour s'opposer aux dérives.

Ce recueil est bien écrit. le vocabulaire est travaillé à la recherche du mot juste, le style est plaisant. C'est grinçant, mordant, ça fait sourire, ça glace le sang.
C'est fluide, agréable à lire, sans se montrer simpliste.
Certains dialogues sont un pur régal comme dans fourmillement dans l'assiette, à la fois très réalistes, rythmés, spontanés, naturels.
On voit bien le grand-père se mettre à la portée de son petit-fils pour lui narrer son histoire dans la dernière nouvelle comme cela se produirait dans la vraie vie.

Un fil conducteur lie tous ces textes, celui de la folie, de la plus basique à la plus cachée. L'homme sous tous ses mauvais aspects, dans ses pires dérives.

Des récits d'anticipation tout sauf agréables d'un point de vue social ou gustatif. Les tableaux dépeints, je préfère ne pas les connaître. Notre époque n'est sans doute pas parfaite, mais ces visions d'un possible avenir sont peu ragoûtantes et, pourtant, je ne peux m'empêcher de me dire que tout n'est pas complètement fantaisiste.
Chacune à sa façon fait réfléchir sur notre monde, ce qu'on en fait et plusieurs autres sujets d'actualité. Nouvelles d'anticipation, oui, mais pas totalement déconnectées de notre réalité, ce qui laisse une drôle de saveur en bouche.
Malgré tout, on termine sur une note d'espoir. L'homme n'est pas un mouton, il y aura toujours quelqu'un pour se battre pour ses convictions. Tout n'est pas perdu.
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Je n'irai pas par 4 chemins, j'ai eu un véritable coup de coeur pour la plume de Jean-Baptiste. Une plume à la poésie vivante et intelligente. Son secret? La puissance de ses mots, ils font mal comme un coup de poing dans la pomme mais c'est ce qu'il faut pour nous ouvrir les yeux et l'esprit (l'ouverture d'esprit n'étant pas une fracture du crâne je vous rassure). JBVD traite les problèmes de notre société actuelle avec une justesse fine et nous laisse découvrir un avenir pas si imaginaire que ça...

Un délicieux mélange teinté de noirceur et d'espoir, on passe de la table d'un chirurgien à la table d'un restaurant étoilé en passant par un monde où les gens ne meurent presque plus. Des nouvelles atypiques sur fond blanc.

Chacune de ses nouvelles nous laisse la gueule béante et la tête remplie de questions existentielles. On se questionne sur notre avenir, sur l'avenir de cette planète malade et jusqu'où irions-nous pour nous sauver? Chaque nouvelle se termine par une chute vertigineuse qui déstabilise chaque parcelle de notre être, chacune de nos convictions est ébranlée sous cette plume sismique.

Une nouvelle c'est court donc nous allons directement dans le sujet, incisif, épineux, dur. Sans fioritures, nous fonçons à grande vitesse dans le mur de la vérité sans aucune protection. J'ai terminé le bouquin hier et j'ai encore la tête qui fourmille d'idées et le corps qui frissonne d'effroi.

JBVD est un "cogitateur" né, ses réflexions sont pertinentes, utiles. Je ne peux qu'espérer un prochain recueil de nouvelles ou carrément un long opus.

Je conclue en remerciant Jean-Baptiste pour sa confiance et je vous invite fortement à découvrir cette plume visionnaire.
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Il fallait se jeter à l’eau maintenant, ne plus hésiter. Il fallait vivre cet amour, le rendre réel et s’y consacrer de toute son âme, car le temps file à toute allure et n’épargne pas les retardataires et les hésitants.
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Silence Sépulcral. Froideur funèbre. Lumière lugubre. Fragrance macabre. L’horreur et la mort avaient joué ici de concret, leur récital le plus abouti.
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