je n'ai pas lu les livres de ludlum mais ayant beaucoup aimé les films, je me suis dit qu'une suite faisait toujours plaisir. Je n'ai pas été déçue. C'est un bon livre. Il y a un bon rythme, on ne s'ennuie pas même si on a du mal au départ à remettre le héros dans le contexte des livres et pas des films. Jason Bourne est un peu plus vieux et moins surprenant que dans mon souvenir. Par contre, il va avoir affaire à un tueur qui lui ressemble beaucoup et leur confrontation est le fil rouge du roman.
Bonne lecture, sans prétention. On est quand même pas dans la fan fiction mais c'est pas non plus le roman de l'année.
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Quatorze ans après, Eric van Lustbader reprend le flambeau de Robert Ludlum et écrit une suite à la mythique trilogie Jason Bourne. Si ce roman est un ton en dessous de l'oeuvre originelle, il n'en demeure pas moins un thriller efficace et agréable.
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Après les films, je me suis délecté de ce livre rempli de suspens! Jason n'a rien perdu de son agileté. J'ai bien hâte de voir le films tiré de ce livre!
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Rythmé, bonne lecture, nous tiens en haleine du début à la fin!
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Je ne supporte plus le cynisme des firmes de sécurité privées. Elles cherchent toutes à s’enrichir dans le bourbier du Moyen-Orient. En temps de guerre, le gouvernement devient une vraie vache à lait et dépense sans compter, comme si c’était la solution. Mais en réalité, il ferme les yeux sur ce qui se passe là-bas. Tout le monde profite du malheur des autres en toute impunité.
Les décisions stratégiques, en matière de renseignement, ont toujours été l’apanage de la CIA. Nous avons des réseaux hors pair, une armée de contacts patiemment mise sur pied. Le Pentagone est expert pour tout ce qui relève de la surveillance électronique, mais la CIA travaille sur le terrain. Ce sont là deux approches différentes, qui ne font pas appel au même savoir-faire.
Les habitants de l’Egypte ancienne avaient une bonne philosophie de la vie. Ils ne craignaient pas la mort. Pour eux, il s’agissait seulement d’un voyage d’un genre différent, à ne pas prendre à la légère, certes, mais tout de même garant d’une vie dans l’au-delà.
Peu importe les identités que j’ai pu endosser : je reste avant tout un linguiste. Parler une langue, c’est appréhender l’histoire d’un pays de l’intérieur. Tout y transparaît : l’identité d’un peuple, sa religion, ses choix politiques.
Les mercenaires, par définition, sont des hommes sans loyauté qui se vendent au plus offrant, remarqua Veronica. Il suffit de regarder l’histoire, de l’Empire romain à nos jours, pour s’en persuader.
Eric Van Lustbader discusses his book, The Testament