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André Simon (Autre)
EAN : 9782869301085
281 pages
Payot et Rivages (01/10/1987)
3.25/5   14 notes
Résumé :

C'était un homme gentil, étrange, sans aucun doute, mais gentil. Et bien habillé : une veste blanche de yachtman mettant en valeur sa large poitrine, une casquette de marin sur des cheveux blonds en désordre. Des cheveux longs, gardant l'empreinte du passage d'un peigne. De grands yeux bleus, calmes, des bras très longs contrastant avec des jambes courtes. Le corps d'un singe renfermant l'âme d'un homme intelligent et sensibl... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Le Babouin Blond est un bon polar comme on en croise souvent. Une enquête qui se déroule normalement, des suspects tous suspects, une victime qui cache des choses et qui était un peu apprécié de tout le monde, et deux policiers sympathiques qui s'entendent bien. Bref, je ne sais pas trop quoi dire sur ce livre en vérité. Il se lit doucement, parce que de nombreux passages sont pas intéressants, l'écriture en soit est assez commune, elle ne détone pas trop sauf pour quelques descriptions et encore, la couverture est assez étrange mais pas assez belle pour charmer. Mais, on va dire que le coupable est surprenant, et que les personnages sont quand même étonnants. le babouin blond surtout, qui est particulier, dans ce qu'il pense et ce qu'il fait. Ce livre est plutôt cool, mais je doute qu'il marquera mon esprit bien longtemps. L'enquête se déroule quand même bien, même si certains passages sont pas super utiles - pas tous -, et il faut être fort pour deviner le coupable, parce qu'on nous dit pas tout. Bref, c'est quand même pas mal, et si j'ai l'occasion de lire d'autres livres de cet hollandais, j'accepterais avec plaisir, mais je doute en être super fan.
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L'histoire est assez classique et pas très palpitante : une femme est retrouvée morte chez elle un soir d'orage, les policiers suspectent tout de suite qu'il ne s'agit pas d'un simple accident, et l'enquête commence, menée par les policiers Grijpstra et de Gier, accompagnés d'un novice et encadrés par un commissaire rhumatisant.

Les policiers interrogent différents témoins et sont séduits par un des protagonistes ; c'est le Babouin qui plait bien aux policiers car il refuse d'entrer dans le système et joue avec ses propres peurs. Et tout d'un coup, comme pour le Bourrel des Cinq dernières minutes, la vérité leur saute aux yeux et leur permet de confondre le responsable.

Les policiers de cette série sont peut être attachants à la longue mais ce n'est pas évident avec ce roman, à part le commissaire. le roman pourrait n'être que banal, mais en fait il est insupportable à cause du style. C'est daté, chichiteux, plein de préjugés (les Italiens sont plus frêles que les Nordiques) et je pense que même à la parution dans les années 70 c'était vieillot. Je ne sais pas d'où sort le traducteur mais parler d'un « sémaphore » à un carrefour ou dire qu'un personnage essuie les « lentilles » de ses lunettes est assez surprenant ; c'est inutilement précieux ou c'est un ancêtre de Google trad qui a été mis à l'oeuvre.

Lien : http://jimpee.free.fr/index...
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Tellement agréable de lire une enquête de Grijpstra et de Gier. Elle se passe dans les années 1978. Pas de laptop, de gsm, un rythme bien différent. Des questions, une enquête.
En plus, ce mystère est plus sur les policiers, ce qu'ils pensent, et comment ils solutionnent l'enquête qu'une enquête d'action à laquelle nous sommes habitués.
Et pour ceux qui aiment le bouddhisme, ils peuvent le voir partout dans le livre.
Passé un très bon moment de lecture.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Je lui ai fait ses portraits, elle m’a réglé rubis sur l’ongle et les a emportés. Je ne l’ai jamais revue. C’était une femme épatante, elle a payé sans marchander… ce qui n’est pas souvent le cas, je dois dire. Étonnant, ce que leur vanité l’emporte sur leur pingrerie ! Mais j’aime le fric aussi et je ne baisse jamais mes prix. Ou qu’elles aillent se faire peindre ailleurs, voilà ce que je dis. Et si elles discutaillent, je les fais payer d’avance, intégralement. À prendre ou à laisser.
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Je ne suis qu’un artiste peintre, un inoffensif portraitiste. Je n’ai jamais eu à mes trousses que les limiers du fisc. Le contrôleur s’imaginait que j’avais fait une déclaration frauduleuse. Ce n’est pas impossible, mais il n’a pas pu le prouver et il est reparti bredouille.
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Les calamités ne sont des calamités que si vous les définissez comme telles ; en réalité il n'y a que des événements et tous les événements peuvent être utiles.

(ma traduction du texte néerlandais)
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Quand rien ne peut être fait, ce n'est pas une mauvaise idée de ne rien faire.
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... et les suspects étant humains, ils se sont invariablement révélés être guère plus que des sacs en papier brun remplis de pets...
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