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EAN : 9782754824606
168 pages
Futuropolis (26/08/2020)
4.26/5   21 notes
Résumé :
Né en 1828, Léon Tolstoï reste l’un des plus importants écrivains de la littérature mondiale. On l’a surnommé l’Homère de la Russie. Mais qui est Léon Tolstoï ?
Apôtre de la non-violence, révolté contre l’Eglise et la société, il est aussi éminemment contemporain par son interrogation sur le monde, le sexe, le végétarisme et la mort. La quête de sens est le moteur de son existence.

Fascinés par l’auteur de Anna Karénine et Guerre et Paix, Ch... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
♫Hoï
Hoï hoï hoï
Les Cosaques ont dessellés leurs montures
Ils ont rangés leurs chapeaux leurs ceintures
Autour du feu de camp leurs princesses
Les ennivrent de vins, de caresses
Les Cosaques épuisés par les batailles
Ont déposés leurs armes leurs ferrailles
Autour du feu de camp les guitares
Les invitent à manger et à boire
REFRAIN
Et les talons de bottes qui tapent tapent tapent
Les mains sur chaques notes qui tapent tapent tapent
Le vieil accordéon qui gémit
Leurs prières pour les plus jolies
Caline moi -caline moi- caline moi- caline (x4) ♫
-Patrick Sebastien- 2017-
(Si ce "Cas ça t'choque" -Hoï hoï hoï - 😁
Et de peur d'offusquer les plus inconditionnels d'entre nous, je vous mets en lien avec une version plus traditionnelle):
https://www.youtube.com/watch?v=uG476e4P6q0
----♪----♫----🧔----1828-1910----🧔----♫----♪----
Une vraie découverte que ce phénomène fort Boyard
Né chez les Grands "Talls-toy", une Star chez le Tsar
Il aime son peuple mais déteste sa promiscuité
"La littérature n'est pas un miroir de la réalité"
Jamais à court de Paradoxe
Ce Pèlerin en quête de la Vérité
Expulsé de son Eglise Orthodoxe.
Se ralliera au Doukhobors, et sera Excommunié
Un retour aux sources et aux valeurs rétrogrades
Comme on dit des mots magiques
Tout pour les moujiks
14 ans plus tard St Pétersbourg deviendra Léningrad.
Transporté, Embarqué dans cette calèche Nikov
(Le "v" en fin de mot se prononce off ) .
La littérature est un divertissement de riches
Ah si j'étais riche .....
♪Di gue da de da de da de da de da de da de day♪
😎






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Chantal van den Heuvel est scénariste de la bande dessinée/roman graphique. C'est une journaliste belge également scénariste pour la télévision et le cinéma.

Nous devons les dessins à Henrik Rehr, un danois.

Le scénario de George Sand : ma vie à Nohant a également été écrit par Chantal van den Heuvel. J ‘ai eu l'immense plaisir de le lire et de le commenter. Généralement on revient vers un auteur qui a plu.

Chantal van den Heuvel commence l'histoire par la fin de vie de Tolstoï. Sofia Tolstoï trouve dans un tiroir du bureau de son mari le testament de celui-ci où il lègue ses droits d'auteur au domaine public, ce qui engendre une dispute du couple. Léon Tolstoï décide de se séparer de sa femme et partir pour le Caucase. Son médecin décide de l'accompagner pour une partie du voyage. Ses plans changeront car il sera victime d'une pneumonie.

Ensuite l'auteur décrit la vie de Tolstoï de façon chronologique en intercalant de temps à autre des retours sur les discussions entre Tolstoï et son médecin où l'écrivain raconte une nouvelle partie de son existence.

Fort jeune, il perd ses parents et est élevé par sa tante Toinette dans un vaste domaine : Lasnaïa-Poliana.

Il étudie les langues orientales et le droit. Il abandonne ses études et décide de retourner en son domaine avec l'intention de s'occuper de ses moujiks. Il fonde une école et décide de leur enseigner différentes choses. Ces projets, ses résolutions portées par la mise en action connaissent échecs et réussites. Sa vie est faite de longues réflexions dans différents domaines. Ces réflexions le conduisent parfois à un virage à 180 degrés, ce qui fait que sa femme ne le comprend plus. Je remarque qu'elle est plus pratique : le travail, les enfants la famille.

Le rendu de Chantal van den Heuvel fait preuve d'une abondante recherche sur la vie et les oeuvres de Tolstoï. Elle construit son scénario à partir de récits autobiographiques de Tolstoï mais également de biographie issue d'autres plumes.

Le livre aborde de façon succincte les écrits suivants (dans le désordre) : Les Cosaques ; Guerre et paix ; Anna Karénine ; Résurrection ; La sonate à Kreutzer ; La Mort d'Ivan Ilitch.

Sont développées ses rencontres avec Tourgueniev et Tchertkov.

Tolstoï fut envoyé comme courrier à St Pétersbourg. Il y rencontra Tourgueniev qui le mis en contact avec des gens de lettres.

Tchertkov, ses relations sont mauvaises avec la plupart des membres de la famille Tolstoï qui déplorent son influence sur le vieil homme. La fuite de Tolstoï avant sa mort est considérée par la famille comme le fruit de cette influence. La comtesse est particulièrement critique envers son attitude vis-à-vis des biens matériels. Lorsqu'il vient à Iasnaïa Poliana, il vit aux frais de la famille, mais il critique le prétendu matérialisme de la comtesse qui rétorque qu'elle a le devoir d'élever une famille nombreuse (treize enfants) et qu'elle aide son époux (à sa demande) en recopiant et mettant au propre ses manuscrits. Il profite du vieil écrivain en lui faisant signer un codicille testamentaire dans lequel il peut, plutôt que la comtesse, disposer de ses manuscrits pour l'édition de ses oeuvres complètes car en effet Tchertkov était l'éditeur des oeuvres de Tolstoï.

Tolstoï voulu retrouver la quiétude de son domaine. Il y épousa Sofia qui fut une âme citadine qui dû vivre à la campagne. le couple connu une succession de jours heureux et de déchirements.

Tolstoï connu de grand moment d'angoisse. Il dit :
« Une force m'attirait hors de la vie. L'horreur des ténèbres était immense et je voulais m'en débarrasser au plus vite grâce à un noeud coulant ou une balle. »
Un peu plus tard Sofia son épouse dira :
« … ce qui compte c'est qu'il s'est remis au roman, il exorcise ses angoisses et j'en suis heureuse. » Ce roman, dont il est question, est Anna Karénine. Sofia en pris connaissance lisant les écrits de son mari.
« Vraiment, il émanait de cette femme un charme irrésistible : séduisante était sa robe en sa simplicité : séduisants ses beaux bras chargés de bracelets … séduisant, son cou ferme et entouré de perles … séduisants, les gestes de ses mains fines, les mouvements de ses jambes nerveuses … séduisant son beau visage animé, … mais il y avait de cette séduction quelque chose de terrible et cruel.

J'ai pu admirer le détail des dessins. D'une vignette à l'autre on reconnait bien les personnages. Tolstoï est représenté en trois ou quatre versions suivant sa tranche d'âge. Les couleurs sont dans les gammes de bruns clair à foncé ; bleu-gris ; vert-gris ; noir, blanc suivant les époques, le contexte, les circonstances, les lieux, ce qui à mon sens est bien pensé.

Roman graphique instructif à lire et à relire sans modération pour découvrir et redécouvrir bien des subtilités liées à ce grand homme de la littérature.

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« Les familles heureuses se ressemblent toutes; les familles malheureuses sont malheureuses chacune à leur façon ». Cet incipit d'Anna Karénine pourrait très bien s'appliquer à la famille de son illustre auteur qui connut son lot de bonheurs et de malheurs. Dans Léon & Sofia Tolstoï qui vient de paraître chez Futuropolis, Chantal van den Heuvel et Henrik Rehr retracent la vie du célèbre écrivain en l'abordant sous l'angle de ses rapports avec sa femme Sofia. Biographie certes mais qui se lit comme un roman au vu de ces deux êtres passionnés et passionnants qui se sont beaucoup aimés et déchirés. Je t'aime moi non plus.

Octobre 1910. L'album s'ouvre sur une énième dispute, la dispute de trop, celle qui causera le départ en catimini au petit matin de Léon à 82 ans au bout de 48 ans de mariage. Après avoir croisé et chassé des inopportuns qui ces derniers temps envahissent lasnaïa Poliana, le vaste domaine des Tolstoï situé dans la campagne au sud de Moscou, Sofia, hors d'elle, pénètre, une feuille à la main dans l'atelier où son époux s'adonne à des travaux de réparation. Ce document découvert dans un tiroir suite à une fouille méticuleuse n'est autre qu'un testament consignant la cessation des droits d'auteur de Tolstoï au profit du peuple russe. Ayant toujours mis sa famille au-dessus de tout, ne pouvant accepter que les siens soient spoliés, elle est la lionne qui défend ses petits. le ton monte, les noms d'oiseaux fusent, l'incompréhension est totale. le marteau est là, à portée de main … quand Léon tombe aux genoux de sa femme : «Pardon ! Pardon, Sofia Andreïevna, Je vais partir avant l'un de nous deux ne détruise l'autre pour de bon. » La rupture est consommée. Elle tentera de le retenir. En vain. Dès potron-minet, accompagné de son médecin, Léon prend le train, direction un couvent où vit sa soeur avant de rejoindre le Caucase, région dont il garde un excellent souvenir de jeunesse. C'est dans un modeste wagon 3ème classe, parmi ces gens du peuple auxquels il aspire à ressembler, que ce géant de la littérature russe va commencer à raconter son histoire faisant du docteur, et à travers lui, du lecteur, son interlocuteur. Il n'atteindra pas le Caucase. Après avoir quitté le couvent, il sera emporté par une pneumonie en novembre 1910 dans la maison du chef de gare d'Astapovo, au sud-est de Moscou.

Tout au long de sa vie, du dandy hédoniste de sa jeunesse au gourou prônant le dépouillement, la chasteté, la non-violence, adepte du végétarisme de ses vieux jours, il sera hanté par le néant et toujours en quête du sens de l'existence, à la recherche de la baguette verte sur laquelle son frère Nicolas a gravé le secret qui rendra tous les hommes heureux. La mort de ses parents alors qu'il n'était qu'un enfant ainsi que celle plus tard de ses deux frères, le souvenir des morts de la bataille de Sébastopol à laquelle il a participé y sont sûrement pour quelque chose.
Quant à ses rapports avec Sofia, fille d'un médecin du Kremlin … Elle aimait Moscou, lui ne jurait que par la campagne. Les premières années furent sereines et prolifiques avec l'écriture et la parution de Guerre et Paix et Anna Karénine. Tolstoï, n'écrira-t-il pas dans son journal: « J'ai vécu jusqu'à 34 ans sans savoir qu'on pouvait aimer autant et être aussi heureux.» Cependant, la très belle couverture de l'album représentant le couple jeune sur fond de domaine campagnard laisse présager la rupture à venir. Alors que Sofia nous regarde bien en face, le regard de Léon est absent et fuit vers le lointain. Cela fait résonance avec la dernière photo du couple Tolstoï prise peu de temps avant la mort de l'écrivain sur laquelle on peut voir Sofia penchée vers son époux qui demeure droit et distant.

La narration
L'autrice Chantal van den Heuvel a plusieurs cordes à son arc. Journaliste belge, outre les scénarios de bande dessinée, elle a également écrit pour le cinéma et la télévision, publié un roman et des contes pour enfant.
Doté d'un souffle romanesque, le récit richement documenté est passionnant tout en faisant preuve d'une grande clarté. le choix narratif de Léon racontant son histoire dans un train n'est pas anodin. Ce procédé maintes fois utilisé qui pourrait paraître éculé au premier abord fait en réalité subtilement écho à un autre récit, celui de la confession lors d'un voyage en train, d'un aristocrate russe qui s'avoue le meurtrier de sa femme dans la Sonate à Kreutzer, nouvelle profondément misogyne contre le mariage, « prostitution légalisée » publiée en 1889. Sofia en fut profondément blessée et répondit par roman interposé A qui la faute? «Ce récit me portait une blessure directe, me rabaissait aux yeux du monde entier et détruisait les restes de notre amour mutuel», écrira-t-elle dans son journal.[...]
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On connait (à peu près) l'oeuvre de l'ogre des lettres russes, un peu le récit rocambolesque de sa fuite et de sa mort, un peu moins le détail de sa vie.
Ce bio-dessinée, dans la grande tradition du genre, nous dévoile dans le détail les épisodes majeures de son parcours : du fils de bonne famille à sa jeunesse débauchée, du soldat dans les montagnes du Caucase au boyard tenté par des expériences socialistes.
Son mariage avec Sofia puis la venue au monde de nombreux enfants viennent alors mettre en tension ses idéaux artistiques et politiques avec une réalité domestique, source de tourments et de déchirements.
Le scénario pour classique qu'il soit est solide et tient sa ligne sans beaucoup de surprises.
Henrik Rehr, quant à lui, a choisi une palette de couleurs froides et monochromes pour traduire la force vitale mais aussi la violence de l'homme. Son approche austère se confirme par un découpage resserré de cases cernées d'un large trait. Si ce parti pris correspond à n'en pas douter à la psychologie de l'écrivain, son application systématique rend la lecture parfois monocorde, pour ne pas dire longuette.
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J'ai apprécié le travail des auteurs sur ces 176 pages que compte l'album. le récit bien agencé couvre toute la vie du couple légendaire dans ses phases saillantes dont la plupart sont largement répandues dans l'opinion. Les auteurs ont eu le scrupule de veiller strictement à la conformité du sujet traité. Peut-être pourra- t-on trouver au départ qu'on y va un peu fort pour ce qui est des brouilles fréquentes au sein du couple, mais c'est un Tolstoï vieillissant qu'on nous présente d'abord, et au fil des pages, on entrera dans la vérité des protagonistes qui me semble plus vraisemblable et assez démonstrative. Qui plus est, le récit s'intègre bien dans le contexte de l'époque cerné comme il faut, des références nombreuses militent dans ce sens et c'est très intéressant à lire ..

J'entends souligner aussi que la vie des Tolstoï décrite ici est un roman fleuve qui comporte bien des chapitres qui pourraient être encore développés. Ainsi le pensaient Jankélévitch, Dominique Fernandez ..
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
"Je pensais à celle qui m'a élevé, Tatiana Iorgolskaïa qu'on appelait Tante Toinette.
Grâce à elle, j'aurai été un orphelin heureux"

Ce fut une chance pour les Tolstoï d'avoir eu cette mère de remplacement, et tout se passa bien, du meilleur qu'ils pouvaient espérer, ce qui libéra leurs esprits jeunes de la lourde perte de leur mère (de haut rang, très cultivée..), puis de celle du père et tout cela est incontestable : Tante Toinette les éleva comme s'il s'agissait des siens, il y avait aussi cet engagement envers le père de Tolstoï quant à l'éducation des enfants, qu'elle connaissait bien mais dont la lignée et la situation ne permirent pas une union.

Une relation privilégiée naîtra entre Tante Toinette et Tolstoï doté d'une hyper sensibilité cachée dans un amour-propre démesuré; une grande complicité les unira, une abondante correspondance en témoigne.

On voit poindre chez Tolstoï une légère mélancolie dans ses premiers textes, surtout par effet de comparaison avec ses amis. Cette mélancolie s'accentuera encore au fil des années, mais sera latente, non exprimée : il prenait sur lui ! Elle expliquera en partie, à n'en pas douter, cette forme d'angoisse existentielle, ses tourments d'adulte. La perte de Tante Toinette, un peu plus tard, aura aussi un effet non négligeable sur son mental ..
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― Laisse-moi ! Tu as tellement changé ! Tu ne songes qu’à ton âme, ton peuple, alors que la priorité c’est la famille. Tu voudrais que je te suive dans ton évolution spirituelle. Je ne peux pas ! Je n’arrive pas à planer dans tes hauteurs. Désolé. J’ai mille tâches matérielles qui me rivent au sol. Et maintenant tu m’as confié la gestion du domaine mais je ne suis pas dupe ! Ce n’est pas seulement pour mieux te consacrer à tes écrits […] que je manquais d’occupation ? Eh bien figure-toi que je rêve d’autre chose, moi la petite fourmi laborieuse ! Je veux de la gaieté, de l’amusement, aller au spectacle !
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Je fus envoyé comme courrier à St Pétersbourg, mais je n’avais plus qu’une idée en tête : écrire, écrire !
― Donnez votre démission au plus vite. La carrière militaire n’est pas la vôtre. Votre arme n’est pas l’épée mais la plume !
― Venant de vous, ces paroles me vont droit au cœur, monsieur. Le nom de Tourgueniev pour moi brille au firmament de la littérature ! Vos récits d’un chasseur sont un chef-d’œuvre d’une portée universelle. Merci aussi de m’accueillir chez vous durant mon séjour à St Pétersbourg. C’est une délicate attention.
― Vous allez rencontrer l’élite de nos gens de lettres. La crème de la crème, comme on dit en France.
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Il repose dans les bois de Iasnaïa Poliana, là où ses frères et lui avaient enfoui la baguette verte sur laquelle était gravée la formule magique qui allait rendre les hommes heureux...
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Tolstoï était parti faire une cure de lait de jument fermenté, le koumys, dans les plaines du Kirghizistan quand la police du Tsar débarqua chez lui à IasnaIa Poliana pour chercher des écrits compromettants ; après une vaine recherche, ils en profitèrent pour mettre à sac l'école qu'il avait fondée. Le même été 61, un joyeux équipage descendit l'allée des Tilleuls, c'était Madame Bers et ses trois filles ...
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