Tout quitter

Tout quitter pour se réinventer, pour se retrouver. Remettre du sens, voilà une petite rengaine qui revient de plus en plus souvent dans nos quotidiens bousculés.
Anaïs Vanel l'a fait.
Elle a abandonné son métier dans l'édition, quitté sa vie parisienne et ses amis pour aller apprendre à surfer dans une petite station balnéaire, hors saison.
De jolies réflexions et une plume élégante pour ce livre qui a su me toucher.

Un beau récit sans paillette, en toute transparence.
Un roman sympa, qui manque un peu de rythme mais c'est sûrement assumé pour l'ambiance, pour décrire le changement de rythme.
Un beau moment de lecture en tout simplicité.
J'ai été un peu déçue par ce roman. Je l'avais dans ma liste à lire depuis un moment. J'attendais plus

A la façon du surfeur qui étudie sa vague et la courbe qu'il doit prendre pour sortir des flots, la narratrice a tout quitté pour mieux s'élancer. C'est donc vers La Sud, une plage qu'elle connait déjà, qu'elle est partie pour fuir son quotidien, pour se retrouver, se ressourcer, et au grès des vagues, sur sa planche de surf, réapprendre sa vie. Bon, bien sûr, c'est quand même dans sa maison du sud qu'elle va fuir la capitale, l'inconnu total n'est pas au bout du chemin ! Mais qu'importe, le pas est franchi, la vague est passée, sa vie va changer.

Voilà un court roman qui interroge sur nos options de vies, celles que l'on prend ou pas, que l'on regrette parfois de ne pas avoir saisies au bon moment, et qui nous rendent plus forts quand on arrive à les réaliser. J'ai aimé cette construction en touches fines déposées sur la page comme autant d'instants de vie qui permettent d'avancer, et qui sont chacune empreintes d'une certaine poésie.
Lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2019/10/23/tout-quitter-anais-vanel/
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Après avoir quitté son métier d'éditrice, sa vie et sa ville, Paris, Vanel se lance dans le surf et l'écriture. Ce petit roman candide et un poil niais est le fruit de cette histoire vraie. Il se veut reposant, optimiste et insouciant et c'est exactement ce qu'il est. Insouciant au point qu'on en oublierait presque que dans la vraie vie, tout le monde ne peut pas se permettre comme Vanel de "tout quitter".
Lecture facile et rapide, ce livre vous permettra de vous évader le temps d'une ou deux heures, de vous rêver à la place de son écrivaine, sur la plage, dans les vagues ou ailleurs sous le soleil.
Du feelgood express comme jamais.
Lien : https://www.babelio.com/livr..

Il y avait fort longtemps que je n'avais pas eu d'avis mitigé sur une lecture. Malheureusement, ce fut sur « Tout quitter » qui me proposait un roman d'aventure et de découverte de soi. Tout me plaisait dans ce dernier. le 4e de couverture qui nous proposait un roman épistolaire sur les aventures d'une jeune femme qui décide du jour au lendemain de fermer une porte de sa vie et d'en rouvrir une autre dans La Sud. Tout quitter, pour pouvoir se retrouver! Voilà ce qui se dégageait de ce titre, cette couverture et ce résumé plutôt alléchant.
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​Je ne suis pas une grande lectrice des romans épistolaires. Non pas que je n'apprécie pas, mais je n'ai juste pas eu la chance d'en rencontrer plusieurs. Ce dernier me faisait très envie puisque le tout se passe près de l'eau, un élément que j'affectionne tout particulièrement. Malheureusement, je n'ai pas accroché à la protagoniste Anaïs, qui est également l'auteure de ce roman. Ce roman, c'est SON histoire. SES propres aventures. Rien n'est venu me chercher ou m'accrocher dans ce dernier. Je n'arrive pas à mettre le doigt sur ce qui m'a dérangé principalement, mais nous ne sommes aucunement situés dans le temps. Pas de date ni de lieu spécifique, y sont abordés. du moins jusqu'à la moitié de ce dernier où j'ai dû me résoudre à abandonner ma lecture.

La plume de l'auteure ne m'a pas fait vibrer non plus. Elle est agréable à lire, mais sans plus pour ma part. Je sais que beaucoup de lecteurs ont apprécié ce dernier. Pour ma part, je n'ai pas détesté, mais pas apprécié plus que ça non plus. J'ai aimé cela dit la remise en question sur notre vie. L'auteure Anaïs nous permet en quelques sortes de faire une introspection sur notre vie. Sur ce que nous voulons pour notre futur et surtout, ce que nous ne voulons plus y retrouver. Des fois, il faut faire un grand ménage dans notre tourbillon afin de retrouver une paix intérieure et pouvoir se retrouver. Retrouver SA VRAIE NATURE.

Un roman qui se lit rapidement puisque chaque page nous raconte un moment de sa vie. le tout est séparé en quatre parties, soit les quatre saisons. Comme mentionné plus haut, je n'ai pas détesté ma lecture, mais elle m'a laissé neutre. Je vous le recommande si vous aimez les lectures légères qui nous font voyager et rêvasser.
Lien : https://frogzine.weebly.com/..

« Tout quitter » est, à mes yeux, une expérience.
Sa lecture ne ressemble à rien de ce que j'ai pu lire jusque là et m'a finalement procuré un étrange sentiment de calme. D'apaisement.

Pourtant, ce n'était pas gagné. J'ai débuté ma lecture comme on débute une histoire. Sans surprise, j'ai eu du mal : je ne comprenais pas ce que je lisais, qui étaient les personnages, quels étaient les axes…

Erreur sur toute la ligne !
« Tout quitter » est une expérience tant par la forme (une pensée, une page), que par le style (court, poétique, glissant), ou encore par l'histoire ( on suit finalement le cheminement des pensées et l'état d'esprit d'Anaïs Vanel durant 4 saisons).
Il m'a fallu repartir de zéro, et être au calme, pour découvrir ce texte. Au final, le récit d'Anaïs m'a embarqué.
Une jolie expérience !

📖 Anaïs travaille dans le monde de l'édition. Lassée de la vie parisienne, elle décide d'acheter un Berlingo, de vendre ses affaires, et de prendre la direction du Sud Ouest. Tout quitter !
Nous suivons son quotidien pendant un an, au fil du temps, des saisons et surtout des marées.

𝗖𝗲 𝗹𝗶𝘃𝗿𝗲 𝘀𝗲 𝗱𝗲́𝗴𝘂𝘀𝘁𝗲. Il ne se lit pas d'une traite, il se savoure. On picore des instants de vie, des sensations, des émotions, on note des phrases inspirantes, on les médite.

L'autrice nous montre que « tout quitter » n'est pas seulement une démarche courageuse. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝘀𝘂𝗿𝘁𝗼𝘂𝘁 𝘂𝗻 𝗯𝗲𝘀𝗼𝗶𝗻. Un besoin de retour aux choses simples, à la nature, à l'essentiel. Elle nous exprime aussi que bien souvent, cette décision si personnelle ne convient pas toujours à l'entourage. Qu'il impose d'être en suite en « décalage » avec le plus grand nombre
Ce livre n'est pas un guide, vous ne trouverez pas de réponses à vos propres envies d'évasion (quoi que ?). 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝘂𝗻 𝘁𝗲́𝗺𝗼𝗶𝗴𝗻𝗮𝗴𝗲.

J'ai aimé sentir le vent dans mes cheveux à la lecture de ce livre. J'étais avec elle et je la regardais griffonner dans son carnet au retour de ses sessions de surf.
J'ai ressenti un sentiment d'évasion.
Et je me suis sentie heureuse pour elle.

En plus de son quotidien, l'autrice nous livre les moments marquants de son enfance, une recherche d'identité en étant une enfant adoptée.
Elle nous parle de ses rencontres aussi, de ses blessures, de l'importance d'être à l'écoute de son corps et de ne faire qu'un avec sa passion.

J'ai souvent arrêté ma lecture pour écrire ses phrases dans mon carnet à moi.
Je l'ai trouvé inspirante. Bravo Anaïs Vanel !

Son premier roman est rafraichissant et apaisant.
Elle a vraiment ce petit quelque chose qui nous parle.
Si vous chercher une petite bulle d'air entre deux lectures exigeantes, je vous conseille ce livre.

Je voulais lire ce livre depuis très longtemps.
Tout quitter et vivre ses rêves.
Le début du roman nous replonge en été, dans le Sud. On sent le soleil sur notre visage, on entend les vagues se casser sur la plage, on sent l'odeur des lauriers fleurs, l'odeur du sud.
Mais une fois cette sensation passée, je n'ai pas réussi à plonger dans ses pages.
Ce roman est léger et plein de belles pensées néanmoins, je n'ai pas eu ce petit coup de coeur qui me pousse à dévorer un roman, d'une traite, jusqu'au bout.

Habituée à aux livres axés sur développement personnel, je n'ai pas été transportée par ce recueil autobiographique. J'ai trouvé l'ensemble trop léger, décousu dans sa construction (une tranche de vie par chapitre, des brèves parfois très courtes)... La forme m'a, en quelques sortes bloquée, pour être totalement embarquée dans ce voyage intérieur et pour capter le parfum des embruns. Dommage

Tout quitter. le rêve de tout un chacun non ? D'où la présence de ce livre en haut de ma PAL. Et c'est avec la ferme intention de m'identifier à une héroïne qui a "osé" que j'ai ouvert le livre...Espérant trouver LA recette du bonheur sous l'oeil inquiet de mon compagnon !

Déception.

L'héroïne quitte son tumultueux métro-boulot-dodo pour se mettre au "bleu", en bord de mer, et s'adonner au surf qui va devenir une véritable obsession, afin de se libérer des chaînes d'un quotidien déprimant, d'une enfance à l'identité difficile et d'un travail oppressant.
Elle quitte tout et atterrit dans un appartement en bord de mer avec vue sur l'océan - la Sud. Tout cela commence mal pour moi car je n'ai pas ce type de bien. Bref.
Les jours passent, les saisons aussi, tout comme les pages du livre contenant une vingtaine de lignes chacune, pendant lesquelles nous suivons Anaïs à ses cours de surf, sous la douche, au petit-déj, ou dans un souvenir d'enfance...
Mais concrètement, rien ne se passe.

Je n'ai pas vibré un seul instant dans ce roman autobiographique.
Il paraît que "les routes les plus difficiles mènent aux plus belles destinations", mais là, à travers les pages, je n'ai ressenti aucune difficulté pour l'héroïne. Elle a tout quitté, et tout va bien. Tout est beau, tout est bleu, il n'y a aucun problème à l'horizon. Et c'est bien là le problème.

J'avais envie de voir un personnage évoluer, de le voir gérer de multiples situations à la "Into the Wild", j'avais envie de rencontres, d'évasions, de questionnements, de prises de conscience.
J'aurais aimé avoir la réponse à la question : comment tout quitter ? Mais ce ne fut pas le cas.

Ce roman qui a été vite lu, sera très certainement très vite oublié...