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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Tout quitter ? Enfin presque, ça semble plus facile quand on a déjà une maison au bord de l'océan qui vous attend, un éditeur qui est prêt à vous éditer votre premier roman parce qu'on a fait partie de la maison. A moins d'être rentier ça me semble pas si simple ou devenir un "vagabond sur la route". Beaucoup aimerait tout quitter dans ces mêmes conditions, faire du surf toute la sainte journée, y a t il des amateurs ici présentement ? Ah ah , j'entends il y a du monde qui frappe à la porte ! Entrez entrez beau monde, la maison est grande ouverte, choisissez votre planche de surf, et hop tout le monde à la baille !

tout quitter : c'est laisser tout derrière soi, ne plus avoir de contact avec ses amis, parents, anciens collègues etc... c'est renaître autrement, ailleurs, et ne plus regarder en arrière. C'est pas tout à fait vrai pour cette dame. Mais bon ne nous formalisons point pour des broutilles.

Sinon hormis cette petite mise au point personnelle, j'ai trouvé l'écriture à mon goût, dénudée, épurée, un brin poétique, de belles réflexions à méditer.
Le temps d'une lecture, je me suis évadée dans les vagues, respiré l'air vivifiant, ça fait du bien en ces temps de confinement et quand la mer est loin.

Une auteure à découvrir, mais doit travailler le titre de ses prochains romans, elle commence par la dernière page, et pourquoi pas le titre et bien mettre le contenu adéquat dans le livre.

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Anais, la trentaine, décide de quitter son train-train pour aller vivre au bord d'une plage du Sud, l'occasion pour elle de revenir à une de ses vieilles passions, le surf.

Ce livre est une suite de petits textes, de pensées philosophiques qui vont au coeur des choses ou des souvenirs. On a le sentiment de (re)découvrir la simplicité de la vie en lisant ces lignes, et parfois on a besoin de se simplifier les choses, c'est comme une évidence qui est à portée de nous.

Un livre qui se relit.
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Un vrai bonheur de lecture ce premier roman
Mêlant souvenirs d enfance et saisonnalité a travers les 4 saisons.
Qui n a jamais rêver de tout quitter et réaliser ses rêves d enfance..
L écriture est belle et tendre avec tes textes courts qui s enchaînent donnant envie d y retourner.
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Qui n'a jamais rêvé un jour de tout quitter ? de laisser tomber tout ce qu'on a construit et qui semble ne plus nous correspondre, de mettre ses cartons dans sa voiture et de partir ailleurs ? C'est ce qu'a fait Anaïs Vanel il y a quelques années, et c'est ce qu'elle nous raconte dans son premier livre, « Tout quitter ».
Sa vie d'avant semblait pourtant idéale : éditrice de bandes dessinées, elle vivait sur Paris, sortait beaucoup et était bien entourée. Mais comme toujours, les apparences sont souvent trompeuses, et derrière cette façade se cachait en fait incertitude, stress et non-sens. Lorsque les terrasses de son quartier se sont retrouvées meurtries un certain 15 novembre, elle en prend véritablement conscience, et une énième réunion la décide définitivement. Son ailleurs à elle, ça sera l'océan et la solitude, avec au coeur de cela la réalisation d'une passion qu'elle a enfoui en elle depuis ses 8 ans : le surf.
Le livre n'est pas très gros, les paragraphes courts, mais il m'a cependant touchée. L'auteure y retranscrit les petites choses du quotidien qui changent et qui font en fait tout changer : la plage déserte hors saison, le temps de cuisiner, de regarder les rayons du soleil illuminer son nouvel appartement… Ce n'est pas un grand roman, mais un roman qui par petites touches et à travers l'expérience de l'autre fait aussi réfléchir sur soi. Bref, une petite pause bien agréable. Et en plus la couverture est très belle !
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L'histoire d'un nouveau départ.
Une jeune femme quitte du jour au lendemain sa vie à la capitale pour s'installer au bord de la mer dans le Sud profiter des vagues et de la plage.

Anaïs Vanel propose dans ce court roman initiatique de raconter des nombreux instants de vie et de ressenties sur son renouveau et le réapprentissage de nombreux plaisirs simples.
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"Tout quitter" est le premier roman (autobiographique un peu) de Anaïs Vanel.
Ce livre est comme un arrêt sur image.

Il pose le constat d'une vie dans laquelle il reste tant à explorer mais à l'instant où l'auteure a pris le crayon, le temps se fige. Elle veut transmettre ce qui a fait qu'un jour elle a pris sa voiture et est partie.

En lisant ce livre, chacun pourrait imaginer faire pareil que l'auteure un jour. La vie n'est pas figée et les choix font que la route prend un chemin plus ou moins tortueux. Mais tout le monde n'a pas la capacité de prendre ce risque et d'aller au bout. Pourtant Anaïs Vanel montre par une écriture facile d'accès, des images très parlantes que ce n'est pas impossible de changer de vie.
Un récit qui se lit vite et qui pose la question de ce que nous faisons aussi de nos souvenirs. Ils sont les façonneurs de nos vies alors en grandissant nous les gardons en tête pour en faire des bases de construction solide ou alors nous préférons oublier pour échapper parfois à notre destin.

Dans le cas de Anaïs Vanel, rapidement on comprend qu'ils ne sont pas loin mais qu'en fait-elle ?
Un premier roman qui m'a plu pour ce qu'il est, une promesse d'écriture riche et une découverte d'une nouvelle auteure à suivre !
Lien : https://leslecturesdelailai...
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Dans un premier temps, je tiens à remercier les éditions Flammarion pour ce nouveau Partenariat.
Étant un premier roman, il va de soit que je ne connaissais pas l'auteure, ancienne éditrice partie vivre sa vie dans le sud, préférant tout abandonner a bord de sa Berlingo pour se découvrir dans cette ville du sud qu'elle ne nomme jamais, mais que j'imagine être Hossgore.

Nombreux sont les gens, qui, comme Anaïs Vanet, aimerait quitter la routine du métro-boulot-dodo pour enfin commencer à vivre.

Roman autobiographique écrit à la forme d'un journal intime, où à chaque page nous découvrons une réflexion de l'auteur sur ses motivations, ses doutes et ce courage qu'elle aura eu pour tout quitter, balayer son passé et tout reconstruire.

Anaïs Vanet, avec cette magnifique plume qui est la sienne, nous parle de son existence d'enfant adopté et également de sa passion du surf qu'elle réussit à faire aimer au lecteur.

Je ne savais pas à quoi m'attendre en ouvrant ce livre, mais se fut une agréable surprise, que je vous recommande, un livre qu'on ouvre avec une envie le déguster page après page.


Lien : https://www.bouquinovore.com..
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Le courage de faire sa vie ailleurs, pour une meilleure vie ou pour l'illusion d'une meilleure vie ? Tout quitter, c'est le fantasme absolu. C'est revenir peut-être à l'essentiel et fuir ce qui, chaque jour, nous emprisonne un peu plus. Bien-sûr, ce n'est pas si simple et Anaïs Vanel parvient à parfaitement décrire ce questionnement : ai-je bien fait ? Au fil des pages, la réponse est clairement oui et cela nous interroge, forcément. Aujourd'hui, suis-je satisfait(e) de ma vie ou faut-il tout balayer pour reconstruire ailleurs ?
Si ce premier roman nous apporte quelques éléments de réponse, il laisse le lecteur face à ses propres motivations. A ses propres doutes !
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~ Tout quitter et vivre sa vie ~
Anaïs Vanel nous propose de découvrir un moment charnière de sa vie. Roman autobiographique, elle nous explique comment, un jour, elle a décidé de tout claquer pour vivre une vie qui lui ressemble plus.

Il faut un sacré courage pour tout quitter et partir. Anaïs en a eu marre de la vie parisienne bercée par le bruit, les gens et la pollution. Comment vivre ainsi toute sa vie ? Souvent, on parle du stéréotype de la vie parisienne. Moi qui ne suis pas forcément hyper fan des grandes et monstrueuses villes, je peux comprendre son besoin de partir, de s'aérer et de trouver mieux ailleurs. Finalement, est-ce vraiment un stéréotype ce genre de vie ? L'excitation de la ville qui ne semble jamais vraiment dormir comme sa copine la grande pomme retombe rapidement et permet à Anaïs de faire un comparatif intéressant entre ses deux modes de vie.

L'intrigue reste plutôt simple. Je pense même qu'elle est un peu trop simple. C'est ce qui m'a poussé à faire une petite pause entre les quatre grosses parties du roman. On suit la vie d'Anaïs sur un an. le roman est divisé en quatre saisons : Automne – Hiver- Printemps – Été. Si la vie d'Anaïs semble être à un tournant décisif, je m'attendais à un peu plus d'actions. On est vraiment dans un système narratif plat. On prend le temps de déguster les choses simples de la vie.

~ La plume : un bonheur littéraire à l'état pur ~
Lors de mes lectures, je photographie des pages du roman que je lis, j'aime mettre des citations tirées du roman. Pour Tout quitter, j'ai dû prendre au moins 15 photos tant la plume est belle, moderne et poétique. Qu'est-ce que c'est beau ! Qu'est-ce que j'ai adoré être bercée par les mots de l'auteure ! C'était une formidable expérience !!

L'auteure fait le choix de nous parler des petites choses de la vie : les promenades, le surf, l'océan, le tricot, la lecture et j'en passe. Ainsi, tous les sujets sont abordés. C'est un roman qui fait du bien tant on n'est pas préoccupé par le temps qui passe. le but de ce roman ? Faire du bien et voir la vie autrement que par le travail, le retour à la maison, les tâches qui sont incombent tous les jours.

Anaïs Vanel a une plume que j'adore. Elle est au service de l'auteure, bien sûr, mais cela va bien au-delà de ça. L'auteure nous montre qu'elle a enlevé ses oeillères et qu'elle envisage le monde autrement que durant sa vie parisienne. Style percutant et court, il rythme la lecture. J'ai embarqué avec elle dans son Berlingo. On vit au rythme des saisons, des souvenirs et des activités d'Anaïs.

~ Prendre du temps pour soi ~
Au-delà du roman autobiographique, ce roman est une leçon de vie. On tire une morale incroyable : il faut prendre du temps pour soi, quitter ce qui nous ennuie, trouver une solution pour vivre sa vie comme on l'entend. Respirer. Vivre. S'aérer.

Il est important de vivre une vie convenable, c'est indéniable. Cependant, il ne faut pas s'oublier dans l'histoire. Il faut savoir dire « Stop » et prendre du temps pour faire ce que l'on aime.

Anaïs Vanel nous parle de sa passion pour le surf. On surfe sur les vagues avec elle. On apprend aussi à aimer et apprivoiser cette grande étendue d'eau. C'est très beau.

Lien : https://satinesbooks.wordpre..
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Anaïs plaque sa vie parisienne pour la cuisine te surfeuse de l'Atlantique française. Elle se ressource, se redécouvre.
Pas besoin d'aller à l'autre bout du monde pour changer de vie , tout quitter, parfois c'est juste à côté.
Une année d'introspection, de communication avec la terre, les autres et surtout soi même.
Un livre qui se lit bien, fluide. Chaque page est un moment de vie, une émotion, un temps partagé.
Anaïs ne us montre comment ce recentrer sur ce qui est le plus important pour SOI.
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