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Citations sur Tours et détours de la vilaine fille (60)

Quella fu un'estate favolosa. Venne Pérez Prado con la sua orchestra di dodici professori ad animare i balli di carnevale del Club Terrazas de Miraflores e del Lawn Tenis di Lima, fu organizzato un campionato nazionale di mambo in plaza de Acho, che ottenne un grande successo malgrado la minaccia del cardinale Juan Gualberto Guevara, arciverscovo di Lima, di scomunicare tutte le coppie che vi avessero partecipato, e il mio quartiere, il Barrio Alegre delle strade miraflorine Diego Ferré, Juean Fanning e Colòn, disputò olimpiadi di fulbito, di ciclismo, di atletica e di nuoto con il quartiere di calle San Martin, che, naturalmente, vincemmo.
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- Tu n'es plus amoureux de moi ? fit-elle en riant.
- Bien sûr que si, apparemment. Pour mon malheur. Ce que tu m'as raconté me fend le cœur. Je ne veux pas qu'il t'arrive quoi que ce soit, je veux que tu continues à me faire toutes les misères du monde. Est-ce que je peux t'aider de quelque façon ? Je ferai ce que tu me demanderas. Parce que je continue à t'aimer de toute mon âme, vilaine fille.
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C'est bon d'être heureux et de le savoir pendant qu'on l'est.
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« Je t'ai appelée quatre jours de suite, à toute heure, la nuit, le matin, et comme tu ne répondais pas je suis devenu fou de désespoir. Je n'ai pas mangé, je n'ai pas vécu, jusqu'à voir que tu n'étais pas partie, que tu n'étais pas avec un amant. Tu m'as ramené à la vie, vilaine fille. »
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J''étais toujours fou d'elle. Il m'avait suffi de la voir pour reconnaître que, tout en sachant pertinemment que toute relation avec la vilaine fille était vouée à l'échec, la seule chose que je désirais vraiment dans la vie, avec cette passion que d'autres mettent à courir après la fortune, la gloire, le succès ou le pouvoir, c'était de l'avoir, elle, avec tous ses mensonges, ses caprices, son égoïsme et ses disparitions. J’étais trop fleur bleue, sans doute, mais c'était bien vrai qu'en attendant vendredi je ne ferais rien d'autre que pester contre la lenteur des heures et des jours.
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— Et si l'argent ne faisait pas le bonheur, vilaine fille?
— Le bonheur, je ne sais ni ne veux même savoir ce que c'est, Ricardito. Ce dont je suis sûre, c'est que ce n'est pas cette chose romantique et cucul que tu crois. L'argent te donne de la sécurité, te défend, te permet de jouir à fond de la vie sans te soucier du lendemain. Le seul bonheur qu'on puisse toucher [...] Tu es un brave type, mais tu as un terrible défaut : ton manque d'ambition. Tu es content de ce que tu as obtenu, non ? Mais ce n'est rien, mon bon garçon. Voilà pourquoi je ne pourrais pas être ta femme. Je ne pourrais jamais me contenter de ce que j'aurais. Je voudrais toujours plus.
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Elle était mince, pieds et mains menus, les cheveux maintenant noirs et non plus clairs retenus par un ruban et lui tombant aux épaules. Et ce miel obscur au fond des yeux.
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C’était un éditeur de vocation, qui aimait les livres et ne publiait que de la littérature de qualité, ce qui, disait-il, lui garantissait à coup sûr l’échec, économiquement parlant, mais aussi les plus grandes satisfactions personnelles.
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{Après 1968}

Les mœurs devinrent plus libres mais, du point de vue culturel, avec la disparition de toute une illustre génération – Mauriac, Camus, Sartre, Aron, Merleau-Ponty, Malraux –, ces années connurent une discrète décrue culturelle où, au lieu d’être des créateurs, les maîtres à penser devinrent des critiques, d’abord structuralistes, à la manière de Michel Foucault et de Roland Barthes, puis déconstructivistes, type Gilles Deleuze et Jacques Derrida, aux rhétoriques aussi pédantes ou ésotériques, chaque fois plus isolés dans leurs cabales de dévots et éloignés du grand public, dont la vie culturelle, en raison de cette évolution, devint de plus en plus banale.
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Les rues et les cafés étaient noirs de monde et les Parisiens avaient cette expression détendue et sympathique qu’ils ont les jours de beau temps, ce qui est plutôt rare.
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