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Infinity 8 - BD tome 4 sur 6
EAN : 9782369814047
36 pages
Rue de Sèvres (22/10/2016)
3.3/5   10 notes
Résumé :
Croisière intergalactique de L'infinity 8, jour 15. Le vaisseau est bloqué par un gigantesque amas d'artéfacts, de bouts de planètes et de sépultures. L'infinity 8 est-il condamné à finir sa carrière englouti dans ce répugnant mausolée géant ? Le sort de 88 000 passagers de 257 races différentes est en jeu... Les meilleurs agents du spacio-paquebot ont intérêt à se surpasser pour le sortir de ce pétrin. HUIT AGENTS, HUIT MISSIONS, HUIT REBOOT TEMPORELS POUR DEVOILE... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Une bande dessinée, ou plutôt, un pulp au format comics composé de 30 pages (pour chaque tome). Ou pas vraiment « pulp » en fait, car elle est sortie sur du bon papier souple, bien au-dessus de ce que devait être la qualité des pulps originaux. Infinity 8 est une série de plusieurs histoires qui vont être scénarisées et dessinées par différents noms de la BD, le tout dirigé par Lewis Trondheim. Malheureusement, la sortie au format comics ne se fera que pour les deux premières histoires (« Romance et macchabées » pour les tomes 1 à 3 et « Retour vers le Fürher » pour les tomes 4 à 6). Par la suite, les histoires 3 à 8 seront, ainsi que ces deux premières, publiées au format album BD. C'eut été mieux d'aller au bout du concept et de tout sortir en comics. Quitte à sortir ensuite la série au format album…

L'histoire va se dérouler au sein d'un bon gros vaisseau spatial (du type croisière) contenant 880 000 passages (rien que ça) et dans les 72 000 membres d'équipage, et tout ça pour au moins plus de 200 espèces d'êtres vivants (donc humains et aliens en tout genre). de plus le commandant du vaisseau, un extra-terrestre, a la possibilité de « bloquer » une trame temporelle sur une durée de 8 heures et soit d'y rester soit de revenir 8 heures dans le passé (et cela est possible 8 fois de suite, soit 8 histoires, vous suivez). Tout cela sera le point commun à toute la série de Infinity 8. Où l'on va probablement suivre à chaque fois, une agente, version pin-up, du service d'ordre du vaisseau.

Dans cette deuxième histoire « Retour vers le Fürher », scénarisée par Trondheim et Vatine et mise en dessins par Vatine, on découvre l'agente Stella Moonkicker, qui semble bien porter son nom… Elle est accompagnée par un robot de sécurité, qui semble être surtout là pour la surveiller elle et pour l'empêcher de commettre plus de délits qu'elle n'en fait déjà. Pour Stella, tout ce qui compte c'est son nombre de suiveurs sur les réseaux sociaux. Elle n'arrête d'ailleurs pas de se prendre en photo, que ce soit pour des moments cocasses ou que ce soit dans des moments où elle est en mauvaise posture.

Tout comme dans la première histoire, Stella va avoir à visiter le tas de décombres bloquant l'avancement du vaisseau. Avant d'aller plus loin, il y a un petit détail à signaler. Moonkicker a eu à surveiller le début de l'anniversaire d'une association. Une asso nazie ! Bon cette dernière est surtout friande de gâteaux et d'infusions à la verveine et elle accepte les humains et toutes les races d'aliens. Évidemment cela ne va pas s'arrêter là. On en revient au moment où Stella commence son excursion spatiale qui va la mener vers un groupe ayant retrouver la tête de l'autre taré à la petite moustache Hitler ! Et pour que la tête de ce dernier survive, le robot de Moonkicker, se l'implante dans son « cerveau ». Tout va aller de mal en pis. le robot moustachu va entrer devenir rageux, vouloir détruire toute forme de vie pendant que Stella suit ses directives, en fait elle fait l'agent-double…

Encore une fois, tout va dans le n'importe quoi ! La surprise de la première histoire est cependant passée. Et même si on est dans tout autre chose, plus de nécrophage, ça manque de matière. le scénario est déluré mais pas aussi original, surprenant que cela. J'aurai même tendance à penser que les auteurs auraient pu pousser encore plus le champignon, faire quelque chose d'encore plus « malsain ». Ben oui quoi, il font revivre Hitler, il devient violent, fou, maniaco-machin-truc, mais ça fait « plouf » !
Les dessins font même trop bien léchés par rapport à l'histoire. Je ne dis pas que j'aime pas le style, des cases, dont une superbe double page, rendent très bien. Toutefois, ce n'est pas assez pulp ! de plus, l'humour est moins mordant, quoique certaines situations sont tout de même bien barrées, le tout est moins « fin »…

Ça reste sympa à lire, mais il s'agit d'une histoire à laquelle j'ai moins accroché.
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http://dcafeine.blogspot.be/2017/06/infinity-8-t1-et-t2-trondheim-et-des.html

Dans le tréfonds d'une galaxy lointaine navigue le vaisseau de classe-A : l'Infinity-8. Sa destination ? la Galaxy d'Andromède. Sa cargaison ? pas moins de 900.000 passagers de toutes races parti faire bronzette les doigts de pieds bien écartés s.v.p.

C'est a son bord qu'officie la jeune et jolie Yoko Keren, agent de police qui porte fièrement le lycra comme une seconde peau et qui est en charge de faire respecter l'ordre d'une poigne de fer ... mais à sa manière; D'autant plus qu'elle à sur ces fesses le lubrique le lieutenant Reffo et le capitaine du vaisseau à la forme tentaculaire et qui a l'habilitée de pouvoir rebooter jusqu'à 8x un moments afin de faire une boucle dans le temps et d'éviter certains désagrément :)

Mais une situation d'urgence vient de survenir : le vaisseau vient de faire un arrêt inattendu suite à l'encontre d'un amas d'artefact d'origine inconnue façon gros dépotoir, surtout qu'il est rempli de vestige symbolisant la mort sous toute ces formes; que ce soit des morceaux de villes, des débris , ou autres.

L'agent Keren va devoir investiguer et s'assurer qu'aucun danger n'y est caché ... mais c'est sans compter certains passagers Kornalien, qui non content d'être de sacré nécrophage, sentent cette bonne odeur de mort les appeler.

Sexy, fun , décomplexé, ... voilà un sympathique Space Opera qui aura le mérite de vous mettre l'eau à la bouche avec ce premier épisode d'un cycle comportant pas moins de 8 numéros; Proposé aux éditions "Rue de Sèvres" , ce projet à pour origine le duo Olivier Vatine et Lewis Trondheim.

Alors je freine un peu tout de suite avant de continuer cette critique, mais celle-ci ne porte que sur les deux premiers cycles, je n'ai point eu entre mes fraîches mimines les deux derniers épisodes;

Alors, c'est bien ?

Chaque cycles ou épisodes de cette série est l'opportunité de vivre une nouvelle aventure mais sous un tout autre angle car un simple élément, l'effet papillon, va donner une toute nouvelle direction. La preuve en est le deuxième épisode ou l'agent doit mené l'enquête mais elle est surtout en train de tombé sous le charme de se jeune mouvement qui à le vent en poupe et portant fièrement la croix gammée.

Encadré par une charte graphique crée par deux main gantés (et clouté), j'ai nommé Olivier Vatine et Lew Trondheim, chaque récit est tenue par un graphiste différent offrant au lecteur l'avantage de retrouver facilement notre équilibre et nous offrir une cohérence et continuité entre chaque cycle temporels (oui je sais une continuité quand on parle de reboot ça fait très euclidien).

Scénaristique-ment les deux premières histoires sont très originales et complètement différentes. Des dialogue qui mon mouche à chaque crochet de page (mouche ... crochet ... non ?) et le graphisme, étant confié à un auteur de talent différent, est simple et sans chichi (c'est pas du Goya non plus hein) vous fera une lie qui donnera un moment d'évasion à nos chères esprits; d'autant que les dialogues sont amusants, frivole et même parfois sérieux.

L'on passe donc un très bon moment de lecture; à cela vous rajoutez une jolie couverture et je pense que cette série aura du succès si elle est diffusée correctement chez tous nos libraires.

Les deux premiers épisodes sont disponibles façon cartonnée , genre bd classique ou également en format comics très très sympathique.

Sauront-ils s'échapper de ce mystérieux amas d'artefacts morbide ? Huit aventures, Huit possibilités ... à vous de choisir la votre
Lien : http://dcafeine.blogspot.be/..
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Ok, c'est pour rire.
Déjà que le premier tome fleurait bon le sexisme à chaque page, mais rien ne nous préparait à ce qui arrive.
Dès le titre, on sait plus ou moins à quoi s'attendre. du second degré, au moins.
Ouverture sur des nazis futuristes en goguettes qui pensent que le national socialisme est un art de vivre et se réunissent dans une bourse d'échanges de tasses et de porte-clés à Swastika. Et il y a bien sûr la caricature du juif, alien bleuâtre et revendicatif. Je ne sais plus si on est au second degré, au troisième degré ou au fond du trou.
C'est alors que la tête cryogenisée d'Hitler surgit comme un diable de sa boîte. Nous en resterons là pour l'instant. Yann a sans doute fait pire dans ses meilleures années. mais ce Yann-là savait doser ses effets et faire du trash poil-à-gratter et irrévérencieux. Infinity 8 m'évoque plus le contentement béat de potes qui délirent mais qui auraient dû ce truc bien au chaud dans les pages d'un carnet d'idées.
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Contrairement aux autres pulp Infinity 8 c'est mieux , j'ai plus accroché, l'humour y est plus fin, les planches plus soignées et le graphisme me plaît plus. J'ai trouvé que c'était une idée intéressante de voir ce que cela allait donner de réactiver la tête d'Hitler. Ici l'héroïne Stella est accompagnée de Bobbie un robot qui la suit partout, ils vont se retrouver au milieu d'une bande de nazis et ils vont devoir être efficaces pour que le IVe Reich ne vienne jamais.

Je n'ai pas encore les deux prochains tomes qui viennent clore l'histoire alors je ne peux guère dire plus que ce que j'ai évoqué. Mais, j'ai bien envie de voir ce que donnera la suite, c'est plutôt bon signe.

VERDICT

Un pulp très année 60 qui plaira aux aficionados du genre.
Lien : https://revezlivres.wordpres..
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On se retrouve bien à bord de l'Infinity 8 avec quelques personnages récurrents, mais de nouveaux protagonistes font leur entrée, dont l'agent Moonkicker (qui prend la place de l'agent Yoko Keren, du premier tome).
Les illustrations changent beaucoup mais le ton des répliques reste le même.....................
Lien : http://libre-r-et-associes-s..
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critiques presse (1)
Sceneario
09 novembre 2016
Pour l'instant nous n'en sommes qu'à l'introduction, mais quand on y regarde de plus près on se rend compte que ces 30 pages sont très intensives, ils s'y passent beaucoup de choses.
Lire la critique sur le site : Sceneario
Citations et extraits (3) Ajouter une citation
- Fichu règlement !... Si on pouvait juste casser la figure aux méchants, on gagnerait du temps, de la paperasse et de l'énergie.
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- Je suis un de vos followers, agent Moonkicker... Quand vous postez une photo où j'apparais avec la légende : "Échange robot stupide contre flingue, arc ou même lance-pierre", j'y ai accès.
- Aucune importance, les robots ne peuvent pas être vexés.
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*KLK !*
- Les selfies sont formellement déconseillés au-dessus de 1000 km/seconde quand on est accroché avec un seul bras.
- Pff... Avec toi on peut rien faire...
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